Août 1870. Tandis que les armées de Napoléon III ploient sous le feu de l'ennemi à proximité de Sedan, dans un hameau du Périgord se déroule une autre tragédie.
Parce qu'il aurait crié «Vive la République !», Alain de Moneys est battu à mort sur le foirail par la foule des paysans, forgerons et autres scieurs de long, ivres de sang, qui le tiennent pour un traître, pire encore : un Prussien !
Nicolas Desvergnes a participé à la curée ; ...
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