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4,02

sur 3476 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
J'ai vu le film, joué par Will Smith au cinéma, avant de découvrir ce livre. Et je tiens à mentionner que le film ne partage quasiment rien avec cet ouvrage mythique.
Le résumé nous dévoile le contexte: seuls des morts-vivants, ou peut-être des vampires, subsistent sur Terre. Robert Neville pense être le dernier être humain et il lutte jour après jour pour sa survie: barricader les fenêtres, ne pas sortir dès le coucher du soleil, couvrir ses volets de chapelets d'ails, s'approvisionner quotidiennement en eau et nourriture, tenter de massacrer le plus de "vampires" dès le lever du jour...
A chaque ligne, on sent la tension qui l'anime et l'angoisse qui l'étreint. Il est seul, rongé par les remords, le passé et la solitude. Il rêve d'en finir, rêve de rencontrer un autre être vivant à qui il pourrait parler, rêve de découvrir ce qui aurait pu causer la destruction de l'espèce humaine. Parfois il sombre dans l'alcoolisme et le désespoir mais toujours cet instinct de survie presque animale le retient. Un épisode m'a particulièrement ému : celui du chien.
Moi qui ait toujours un peu fui la SF, je me suis retrouvée complètement accro à cet ouvrage. J'ai adoré passer ces quelques heures avec Robert Neville. Il n'y a pas un seul moment où je me suis ennuyé, pas une seule longueur.
L'auteur a un talent de conteur et maintient le suspens de chapitres en chapitres. Son style d'écriture est très fluide et très agréable. La fin est tout simplement superbe: je suis restée muette de stupeur. Et là, mes neurones frétillaient de joie devant toute la subtilité de l'auteur et toute cette réflexion qu'il nous offre: "C'est la majorité qui définit la norme, non les individus isolés". Je ne vous en dirais pas plus pour vous laisser découvrir ce chef-d'oeuvre!
A lire de toute urgence !
Lien : http://leslecturesdehanta.co..
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Passé au classique du genre, ça fait toujours du bien.

Très bon roman qui se lit très facilement et vite.

Dans la première partie du roman, on suit comment le héros, Robert Neuville fait pour survivre dans un monde où il est cerclé de vampires qui ne pense qu'à le boulotter. On voit comment il s'organise, comment il boit face à cette épreuve. La peur, la crainte et la solitude qui pourraient le mener doucement vers la folie.Puis on le voit s'interroger sur les origines de ce drame,les recherches qu'il fait pour mieux comprendre et de se défendre contre les vampires qui le harcèlent. On touche alors à la médecine, à la religiosité et à la psychologie. Bien que les vampires ne semblent pas très "vivaces" d'esprits, ils ne sont pas des bêtes sans cervelles, ils sont des restes de leurs passées humains.D'ailleurs, il y a deux types de vampires les "morts" et les "vivants".

Dans une seconde partie, alors que Neuville a prit goût à sa vie d'ermite, il rencontre une femme, une survivante ?

Malgré son côté suspicieux il essai de reprendre un mode de vie "sociable". Ce qui parait jouer sur la jeune femme. Mais cette demoiselle est en fait un vampire. L'espèce a muté, elle commence à mettre en place sa propre société. Les "vivants" se débarrassent des "morts" (des dégénérés...) puis s'en prennent à Neuville.

Et c'est vraiment la fin du roman qui est prenante ! Toute sa vie, Neuville a lutté pour sa survie, il a tué de nombreux vampires. Aujourd'hui, les vampires font de même : ils cherchent à éliminer le dernier homme sur terre car il représente une menace pour leur espèce... Les rôles sont alors inversés ! Ce ne sont plus les vampires qui sont des monstres, mais Neuville ! Ha quel fin ! C'est pour cela que Neuville est une légende !



Un livre que je recommande vivement !!!
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J'ai retrouvé l'ambiance d'un film que j'adore, mais en encore mieux !



Bon ben encore un livre qui s'est lu tout seul, trop, beaucoup trop vite ! J'ai adoré !

Tout d'abord, j'ai vu, comme beaucoup de monde, le film à sa sortie, et il fait partie du haut de mon classement. J'adoooore ce film ! (Will Smith n'y étant certainement pas pour rien !) J'ai appris en 2012, moment où j'ai déniché le livre qui fait l'objet de cette chronique, que son scénario était tiré d'un roman, écrit par Richard Matheson. Oui, en fait, je suis tombée par hasard sur le livre, en brocante je crois bien, et j'en ai tiré les conclusions qui s'imposent, quoi ^^.

Ce livre traîne donc dans ma PAL depuis lors, mai 2012 pour être précise. Mais vous l'en avez sorti en me proposant ce titre pour constituer ma "PAL Urgente de Janvier" :) Et je vous en remercie parce que j'ai passé vraiment un super moment, beaucoup trop court ! Effectivement, 24h pour un livre, même de 228 pages, ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé, tout en allant bosser et en ayant mes activités de maman !

Il faut avouer que j'ai retrouvé dans le livre l'ambiance qui m'avait tant plu dans le film, tout en découvrant une histoire totalement différente. Bon j'avoue avoir eu du mal à me représenter le héros en grand blanc, blond, aux cheveux raides ! Pour moi, tant pis, Will Smith sera resté Robert Neville dans ma tête, même pour la lecture ! Surtout que mon édition arbore l'affiche du film en guise de couverture...

Je sais pourquoi j'aime tant l'ambiance de cette histoire. C'est parce que même s'il s'agit de vampires, on est dans un univers de survie en territoire infesté (ça ne vous rappelle pas quelque chose dont je suis super fan, par hasard ?) Les créatures n'ont qu'une idée, se nourrir des vivants, et les exterminer. Et les survivants n'ont qu'une option, tuer tout ce qui cherche à les tuer. Voilà une atmosphère qui ne peut que m'embarquer si vous me connaissez un peu !

En effet, Neville semble être le dernier humain sur Terre. Isolé, esseulé, il en souffre énormément. Sa famille est morte (puis revenue, puis remorte), ses voisins, les habitants de sa ville, les habitants de toutes les villes ont été contaminés par un virus qui les a transformés en mort vivants. Des vampires.Sensibles à la lumière du jour, à l'ail, aux miroirs, et aux pieux dans le coeur. La défense de Neville s'organise petit à petit, il massacre le jour tous les vampires qu'il découvre, les chasse, les traque, se fournit en tout ce qu'il peut avoir besoin, et se terre la nuit dans sa maison bunker, quand tous les vampires assoiffés sont de sortie.

J'ai trouvé très triste que Neville n'ait même pas le chien qui l'accompagne dans le film, au début. Puis j'ai compris que ça rajoutait encore à la folie qui l'embrasait du fait de son isolement. Un état d'esprit que Matheson a su parfaitement rendre. On conçoit très bien, grâce à des mots parfaitement choisis, à quel point il est au bord du gouffre. Ce gars pète carrément les plombs par moment, et ça se comprend !
Et puis, finalement, il y a aussi un chien dans le livre. Même si sa présence et leur relation va être complètement différente, je l'ai trouvée tout aussi touchante. On ressent la même tristesse.

Par contre, sur le principe même des créatures, du virus, du but de tout ça, et surtout la fin, le livre et le film sont vraiment totalement différents. Un peu comme si le film (que j'aime toujours hein !) n'avait pas saisi l'essence même de ce que Matheson racontait.
L'action est moins présente dans le livre, c'est beaucoup plus psychologique, (bon, pis comme y a pas Will Smith... :p ) mais tout aussi prenant. On ne s'ennuie pas une seconde.
Et quand surgit ce qui a tout l'air d'être un autre être humain, ça devient carrément trippant, et on ne lâche plus le roman.

La fin est terrible !

Bref, vous l'avez compris, j'ai aimé ce livre des premières aux dernières lignes, et je vous le conseille grandement ! Si vous avez aimé le film, vous ne serez pas déçu. C'est certes différent mais on garde tous les bons côtés, en en rajoutant d'autres :) Et si vous n'avez pas aimé le film, peut-être que les différences seront les déclencheurs d'un plaisir insoupçonné :)
Lisez-le, quoi !



Cali
Lien : http://calidoscope.canalblog..
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Un coup de coeur découvert grâce au club lecture de Babelio.

J'avoue que j'ai bien aimé le film de Francis Lawrence, malgré son manichéisme primaire. Du coup, je peux maintenant dire que, certes, le film s'inspire du roman mais qu'il est loin d'être une adaptation fidèle. Chacun choisira donc son camp selon son goût !

Et je l'avais d'ailleurs en tête quand j'ai entamé le livre. Première surprise, le héros, Robert Neville est un grand blond de type Nordique et qui n'a pas de chien. Seconde surprise, les affreux méchants sont des vampires !

L'histoire est glaçante : au milieu des années 70, une terrible épidémie transforme la plupart des êtres humains en vampires. du reste de l'humanité, on ne saura rien, l'écrivain s'attache aux pas de l'unique survivant (apparemment) de la ville de Los Angeles. Il s'appelle Robert Neville, il a perdu sa femme et sa fille, et est capable de résister à cette mutation.

Cette vie morne de prisonnier est passablement étouffante, et Neville noie d'ailleurs ses angoisses dans l'alcool. Rien de mieux qu'une bonne cuite pour oublier les autres, là, dehors.

Pour moi, les scènes les plus terrifiantes débutent le soir. Oh, il ne se passe généralement rien de sanglant. Ils sont là, à attendre Neville devant sa maison barricadée. A l'insulter, le défier, jeter des caillasses sur la façade.

On ne peut être qu'admiratif devant la résistance de cet homme solitaire qui pourrait en finir si facilement avec cette vie qui ne rime à rien. Mais voilà, il va s'accrocher, faire une découverte scientifique d'importance, croiser brièvement le chemin d'un pauvre chien (l'un des passages les plus émouvants...) et là, je n'en dirai pas plus.

La vision de Matheson sur le destin de l'humanité (ne pas oublier que le roman a été écrit dans les années 50) est noire et pessimiste.

"C'est la majorité qui définit la norme, non les individus isolés."

Que devient-on, quel regard porte-t-on sur les autres créatures, quand on devient soi-même un objet de crainte ou de dégoût pour une espèce différente ?

La lutte de Neville contre les vampires (qui ne sont ici qu'un prétexte, il pourrait s'agir de n'importe quelles autres créatures), qui semblait légitime, apparait soudain dérisoire et inutile. Et cette société nouvelle qui s'installe, en quoi est-elle si différente de la société humaine ? le constat est effrayant, amer, et la phrase finale est aussi belle et juste que terrible. Une lecture qui me marquera certainement longtemps...
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Dernier humain résistant à une horde de vampires dans une ville devenue fantomatique, Robert Neville est une « légende » vivante. Il tente de survivre en se barricadant dans sa maison la nuit, et en tuant les vampires comateux le jour. Ce faisant, il mène des recherches pour comprendre le phénomène du vampirisme et le combattre, avec pour seule ressource, la bibliothèque : « Même sans cela, pour inexplicable que cela paraisse, le silence n'était jamais aussi mortel à l'air libre qu'entre quatre murs, en particulier ceux de cet énorme bâtiment de pierre grise abritant la littérature d'une civilisation éteinte » (pp. 100-101). Et surtout, il s'interroge sur sa condition de dernier être humain : la vie a-t-elle encore un sens lorsqu'on est voué à une solitude infinie ? « Bientôt, tu cesseras d'être un Robinson Crusoé, prisonnier d'un îlot de nuit cerné par un océan de mort » (p. 108).

Le style est efficace et le découpage cinématographique en courtes séquences, addictif. Nombreux sont les monologues intérieurs de Neville, qui traduisent ses interrogations, ses moments de doute, de désespoir et qui rendent l'histoire crédible. On entre avec facilité dans son quotidien éprouvant.

Si la première partie nous plonge au coeur de l'action, au milieu du bras-de-fer qui oppose Neville aux créatures, la deuxième et la troisième alternent présent et flash-back pour nous faire prendre toute la mesure de la catastrophe qui a affecté la surface du globe.

Paru en 1954, ce roman propose une interprétation habile et moderne du mythe du vampirisme. Si les buveurs de sang sont bien là, leur « mal » est rationalisé, expliqué à la lumière de la science. L'auteur pourfend les clichés et prend ses distances avec la littérature romantique : « le tout sans vampires aux yeux injectés de sang menaçant de chastes héroïnes endormies, sans chauves-souris voletant derrière les fenêtres d'un manoir, sans la moindre intervention surnaturelle ! »
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Samedi j'ai fait l'acquisiton du livre Je suis une légende de Richard Matheson. En temps normale comme quand on achète un bon vin de garde, je l'entrepose dans la bibliothèque et je le laisse vieillir un peu, prendre des saveurs, de la robustesse. Mais dans le cas de Je suis une légende tous les éléments sont en place et il prêt à être consommé sur le champs. Donc j'ai laissé en plan le douzième tome de la roue du temps, sans trop de difficulté, pour me plongé dans une lecture marathon de ce chef d'oeuvre.
Je suis passé par une pléiade d'émotion en ce dimanche paisible ou la tornade Sandy frappe à notre porte. Suffocation, anxiété, espoir, colère, le personnage Robert Neville ma fait ressentir tous ces sentiments. En fait à bien y penser, ce dimanche seul dans ma maison j'étais Robert Neville.
Ce livre est un chef d'oeuvre du genre, il nous rappel la fragilité de la vie, de vivre le moment présent et de profiter de nos êtres chère. La finalité étant que la majorité défini la normalité et que l'ennemi réside dans la différence.
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Matheson est une légende . Auteur phare de ma jeunesse, empereur indiscuté de la nouvelle à chute, Roi de la SF mais plus encore du fantastique et de l etrange, ce n est pas aujourd'hui que je minorerai la dévotion que je lui vouai alors.
Il a beaucoup influencé Stéphane Roi ( traduire en anglais), mais autant ce dernier peut tomber dans la loghorrée autant Matheson était concis dans son style voir sec, voire brutal comme un twist final dans la dernière ligne de l histoire façon uppercut dans l estomac!
Ah les veinards qui n ont pas encore lu du Matheson...
Savez vous pourquoi ce livre s appelle je suis une legende ? si pas...lisez le!!!
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La première fois que j'ai lu ce petit chef-d'oeuvre (petit par la longueur, immense par la qualité), je devais avoir douze ans, il m'a hanté des nuits et des nuits, des cauchemars épouvantables.

L'histoire est terrifiante, et le propos universel (qu'est-ce que l'homme ?).

La preuve : on n'arrête pas de l'adapter au cinéma (la version avec Will Smith est étonnamment intéressante, bien que peu fidèle à bien des égards) et les idées qu'il contient ont été pillées maintes et maintes fois par les scénaristes de ces vingt dernières années.

La force de ce roman, c'est de vous placer - vous, lecteur ! - immédiatement dans le peau de Robert Neville, le héros de l'histoire.

Comment ne pas se mettre à sa place, comment ne pas se sentir complètement impliqué dans ce qui lui arrive... !

(Lire la suite de ma critique sur le site le Tourne Page)
Lien : https://www.letournepage.com..
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C'est le premier livre de science-fiction que je lis, si je retire les quelques exceptions datant du collège ! Une petite appréhension à la base mais j'avais tellement entendu de bien de ce roman que j'ai eu très envie de le lire. Tout d'abord nous ne sommes pas perdus dans une foule de détails et de termes techniques. Mais concernant la narration une question vient à l'esprit... Comment l'auteur peur faire de son roman une lecture attrayante alors qu'il n'y a qu'un personnage ? Cela exclut forcément les dialogues... Et si c'est pour se contenter de raconter comment celui-ci vit on ne voit pas vraiment l'intérêt. Et bien non ! Dès la première page Richard Matheson nous offre son style tout à fait passionnant et entraînant, qui fait que dès qu'on lit la première ligne on n'a pas envie de refermer celui-ci.

Richard Matheson est un auteur connu même si on n'a jamais lu de ses oeuvres. Et je confirme que l'intrigue est très bien menée, que l'idée est originale même si des lecteurs assidus de science-fiction pourraient me dire le contraire à force de lectures de ce genre. J'ai découvert la science-fiction avec ce roman et j'ai bien envie de continuer à lire des romans comme celui-ci.

Pendant tout le roman on ne peut s'empêcher de se mettre à la place de Robert Neville, ce dernier être humain sur Terre alors que nous sommes tellement nombreux. Comment serait la vie si nous étions la dernière personne vivante, craignant chaque soir la venue des êtres contaminés, prêts à prendre votre sang ? Cela me fait penser qu'il serait temps que je me mette aux romans de vampires ;)

J'ai plus qu'apprécié cette lecture, cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu un livre aussi vite et avec autant d'ardeur ! Je le conseille vivement à tout lecteur, même novice en science-fiction car il donne réellement envie de s'y mettre ! Je vais certainement regarder le film très bientôt, mais j'ai lu sur divers avis qu'il ne ressemblait pas vraiment aux éléments donnés dans le roman.
Lien : http://mary-book.blogspot.fr..
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Dans un monde apocalyptique, vidé de ses habitants par une étrange épidémie, Robert Neville vit totalement seul, barricadé chez lui dès que la nuit tombe. En effet, c'est à ce moment que les hommes transformés en vampires, qui donc craignent la lumière du jour, sortent en quête de sang frais. En groupes frénétiques, ils traquent les derniers représentants de la race humaine. Chaque nuit tourne donc au cauchemar pour le pauvre Neville qui profite du grand jour pour tenter d'exterminer ces étranges mutants quand, affaiblis et endormis, ils se terrent dans des endroits sombres…
Au-delà d'une importante recherche sur les phénomènes de vampirisme, cet excellent bouquin de science fiction nous amène à réfléchir sur ce qui reste de morale et de vie sociale quand l'homme se retrouve seul et qu'il doit assurer sa survie à n'importe quel prix. Il ne retourne ni plus ni moins qu'à la barbarie des premiers âges… Il est assez bizarre de noter combien ce genre littéraire est obsédé par ce retour en arrière alors que tous les auteurs d'anticipation du XIXème siècle n'imaginaient qu'un avenir radieux obtenu par les progrès de la science couplés à ceux de l'intelligence humaine. Signe des temps, sans doute… Désespoir secrété par un siècle de plomb, de conformisme et de sauvagerie incapable de susciter de grandes espérances…
Un très bon bouquin qu'on ne peut que conseiller aux amateurs.
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
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