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Critiques filtrées sur 4 étoiles  

Deux hommes se rencontrent au Mans, l'un est anglais et professeur d'histoire française à Londres, il se prénomme John ; l'autre est un châtelain français et s'appelle Jean de Gué.

Ce sont deux sosies parfaits : physique, voix, gestes sont identiques.
Médusés, ils engagent la conversation : John est un être solitaire qui se considère comme un raté, rêve d'avoir une famille et parle le français sans aucun accent ; Jean,comte de Gué, au contraire, se sent étouffé par sa famille et ne rêve que de liberté.

Après avoir fait boire John jusqu'à l'évanouissement, Jean échange leurs vêtements, papiers d'identité, clés ... C'est ainsi que John se réveille travesti en Jean le lendemain et Jean a disparu avec toutes les affaires de John.
Après avoir tenté de révéler l'imposture, John voyant que personne ne le croit car il est encore légèrement ivre ce qui arrive fréquemment à Jean, John décide de jouer le jeu et se rend au château conduit par le chauffeur de John.

Tout lui est étranger, il ignore où se situe sa chambre et ne connaît évidemment aucune des personnes qui font partie de son soi-disant environnement familial. A force de ruses et de psychologie (laisser parler les autres en feignant ne pas se rappeler de certains événements), il convainc tout le monde et pas une seconde son imposture n'est soupçonnée par son entourage familial.

Il découvre une famille complètement dysfonctionnelle, situation dont le vrai comte Jean de Gué est en grande partie responsable. Il perçoit que le comte en question est un être cynique, sans intérêt ni sentiments pour sa famille.

Il va progressivement s'attacher à cette famille et tenter d'améliorer les choses, notamment en faisant amende honorable auprès de ceux qu'il a blessés et ça va fonctionner.

N.B : seuls les chiens ne se laissent pas berner ;-)

Tout va donc pour le mieux jusqu'à ce que ...

J'ai beaucoup apprécié ce roman qui conjugue les thèmes du bien et du mal et de la notion d'identité avec un suspense assez agréable.

Toutefois, il ne m'a pas fascinée comme "Rebecca" l'avait fait.

A lire sans problème mais n'espérez pas y retrouver les mystères haletants et le suspense lus dans "Rebecca".
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Qui n'a jamais rêvé un jour de vivre la vie de quelqu'un d'autre ? L'herbe est toujours plus verte chez le voisin, n'est-ce pas ?

Eh bien John, un professeur d'histoire anglais solitaire, sans famille, sans attaches, neurasthénique, prêt à passer quelque temps à la Trappe pour enfin trouver un sens à sa vie, va pouvoir expérimenter cela, à son corps défendant !
En effet, il rencontre dans une gare un homme en tout point pareil à lui, comme si c'était son double. En plus, il s'appelle Jean. Chose étrange ... Celui-ci n'aime pas sa vie non plus, il est chargé d'une famille encombrante et voudrait en être débarrassé. Un troc se fait alors, sans que John le veuille. Il se retrouve donc en pleine campagne française, dans un petit château pas bien entretenu, affublé d'une mère, d'une femme, d'une fille, d'une soeur, d'un frère et d'une belle-soeur, ainsi que d'une entreprise périclitant. Personne ne se rend compte qu'il n'est pas Jean...Drôle d'affaire ! Il sent alors qu'il fait office de bouc émissaire, car il porte sur lui tous les ennuis de son « jumeau ».

Et je peux vous assurer que des ennuis, il en a ! Cette situation extrême le met en face de lui-même, le « trompeur » (car cela ne sert à rien qu'il donne sa véritable identité, on ne le croirait pas tellement la ressemblance est frappante).
Cependant, « pourquoi tromper quand la tromperie apporte tant de tourments au trompeur ? »
« Etre complice d'une farce n'impliquait pas que je dusse accepter d'en être la victime. »
Ces deux citations vous prouvent que ce roman de Daphné du Maurier sonde les profondeurs de l'âme.
Le nouveau comte pourra-t-il se glisser dans la peau de l'ancien, et donc subir le poids de son passé, de ses fautes anciennes, de son comportement récent ?
C'est très psychologique, mais la famille et la société en prennent aussi pour leur grade : description détaillée des rapports familiaux, et de la société hiérarchisée de ces années 50, où « Monsieur le Comte » est encore abordé avec déférence, même s'il a commis un méfait inavouable, même s'il est d'une superficialité ahurissante. Les domestiques, les ouvriers de l'entreprise, les amis chasseurs, le notaire, le médecin, le curé, ...la maitresse, tous ont un rôle à jouer, mais le plus grand rôle, c'est celui de John, le bouc émissaire.
Comment concilier son caractère tendre avec celui qu'il remplace ? Comment réparer les fautes de l'Autre sans qu'on le reconnaisse comme un imposteur ?

J'ai été un peu déçue par le dénouement assez mièvre et certaines situations trop improbables, mais, malgré cela, je dois dire que c'est un roman passionnant pour tout qui s'intéresse aux rapports humains, et à la place qu'on veut jouer, à la façade que chacun veut montrer aux autres, sans aliéner son moi le plus intime.
Edifiant !

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Vous connaissez mon amour pour Daphné du Maurier, alors quand j'ai découvert sur livraddict une lecture commune sur le bouc émissaire, organisée par unchocolatdansmonroman, forcement, je me suis inscrite.

Le roman se déroule en France dans les années 50. John, un anglais, est en vacances en France, il est prof universitaire spécialiste de l'histoire de France. Il est seul, paumé, a l'impression d'avoir raté sa vie. Quand soudain, il rencontre Jean, son parfait sosie. Ils boivent beaucoup et le lendemain, John découvre que Jean a disparu, il se voit contraint de prendre sa place... Il arrive donc dans une famille aristocrate ou l'atmosphère est tendue. Il y a des secrets, des non-dits depuis des années et même si John commet quelques impairs, je dois dire qu'il se débrouille plutôt bien. Il va tout faire pour rendre heureux les gens autour de lui mais une tragédie se prépare dans l'ombre.

C'est un excellent roman comme tous ceux de l'auteure mais, je dois avouer que j'ai eu un peu de mal a rentrer dans l'histoire, a mémoriser tous les noms et les personnages que l'on croise. Une fois l'intrigue mis en place, tout s'arrange, jusqu'à cette fin que je n'avais absolument pas imaginé....

Bref c'est encore une fois une belle découverte.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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On ressort perplexe et frissonnant de ce roman vaguement malsain et délicatement angoissant, au point d'avoir envie de se rassurer en se disant que tout cela n'était peut-être qu'un mauvais rêve.

En villégiature en France, John est quasiment au fond du trou quand, ayant fait le constat amer qu'il a raté sa vie, il se retrouve face à Jean. Son double parfait. Son jumeau qui lui prête sa vie de châtelain désargenté, cynique et volage. D'abord contre son gré puis de plus en plus engagé, John/Jean tente de réparer les dégâts dans sa nouvelle famille qui, si elle l'a adopté sans l'ombre d'un doute, ne lui voue pas unanimement un amour indéfectible...

Ambiance de secrets lourds, d'aristocratie décadente, d'hystérie latente et de drame sur le point d'advenir : Daphné du Maurier installe au fil des pages un climat pesant, dérangeant, servi par un style éblouissant de finesse dévoilant peu à peu des âmes qui noires, qui abîmées, qui lumineuses.
un thriller troublant, dans la lignée de Rebecca que d'aucuns jugent meilleur que ce dernier. Quant à moi, j'aime les deux!
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Imaginez qu'un jour, vous tombiez sur votre double. Même physionomie, même voix, mêmes tiques. Imaginez qu'à cette époque, vous êtes déprimé(e), vous vous dîtes que votre vie ne vaut pas grand-chose, vous êtes seul(e) et solitaire.
Imaginez que vous vous réveillez un matin, après une soirée trop arrosée et un coup sur la tête, et que le chauffeur de votre double vienne pour vous ramener au château.
Imaginez que vous prenez la place du Comte Jean de Gué. Vous avez une mère, une femme, une fille, un frère et une soeur, et des maîtresses. A part les chiens qui flairent la tromperie, personne ne s'étonne, vous êtes Jean. Vous vous mettez dans la peau du personnage, vous jouez votre rôle. Vous découvrez petit à petit secrets de familles, espoirs déçus et amertumes. Jusqu'au jour du drame, qui changera tout. Ou rien.

C'est un roman très intéressant que nous livre Daphné du Maurier et qui développe ici une question qui nous est sûrement un jour passé par la tête à tous : et si j'étais quelqu'un d'autre ? Et si ma vie était différente ?
Une question sur l'identité propre à chacun, sur le mensonge, le devoir, la frustration. Publié en 1957, le souvenir de la guerre est encore très présent et joue également son rôle dans le récit : sentiments exacerbés, lâchetés humaines, manipulations abjectes. La plume est toujours aussi agréable à lire, le décor apaisant et inquiétant, la psychologie des personnages fouillée. Une belle découverte.
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John, célibataire anglais d'une quarantaine d'années, enseigne l'histoire de France à Londres. Il passe ses vacances en France, son second pays, mais ne trouve aucun sens à son existence. Sans attaches, il se sent inutile et considère qu'il a raté sa vie. Il a pour but d'aller faire un séjour chez les moines de la Trappe pour trouver des réponses à ce vide existentiel. Mais alors qu'il s'est arrêté au Mans pour aller boire un verre, il croise son exact sosie. Ce double, Jean de Gué, est chargé d'une famille accaparante, d'un domaine au bord de la ruine et d'un lourd passé…

Après une soirée bien arrosée Jean va disparaitre et lorsque que John retrouve ses esprits c'est pour découvrir qu'il lui a laissé non seulement ses vêtements mais son identité. L'Anglais va devenir malgré lui un gentilhomme français à la tête d'une famille dont il ignore tout, des rites et des secrets.
Histoire étonnante car John va se prêter au jeu, entouré d'étrangers, pris dans les rets d'un personnage peu scrupuleux. Peu à peu, à la fois maladroit et sincère, il va redonner à chacun ce sens que lui-même avait perdu, soucieux de réparer le mal que son double égoïste, désinvolte et frivole avait semé. Avec la complicité de la petite Marie-Noëlle, la fille de Jean, qui révèle les vérités qui étaient restées soigneusement cachées jusque-là, il va reprendre le fil d'une histoire pétrie de rancoeurs et figée dans un passé désuet pour insuffler un sang nouveau au domaine. John-Jean va aller au bout de la logique du mal mais pour le bien de tous…jusqu'au dénouement tragique mais inévitable.

Un roman à la fois très émouvant et très drôle car l'absurdité de la situation révèle les non-dits d'une famille décadente et de son personnel faussement dévoué où l'hypocrisie règne en maitre. Malgré quelques invraisemblances, l'histoire parvient à nous convaincre car ces deux hommes identiques et si différents sont aussi une métaphore de la dualité qui réside en chacun de nous. L'un souffre d'une solitude qui semble liberté pour l'autre. L'un étouffe dans une famille qui offre à l'autre l'occasion de se sentir utile. Jean n'assume rien, le domaine et sa famille sont devenus ingérables et il vient de griller leur dernier espoir. Alors quand se présente l'occasion de faire porter sa charge par un autre…Cela nous donne un roman psychologique envoutant et non dénué de cet humour anglais qui peut s'avérer très décapant…

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Un classique à emporter pour les vacances ? Pourquoi pas ce roman moins connu que Rebecca de Daphné du Maurier.

John et Jean de Gué, le buffet de la gare, un grand miroir, deux regards absolument identiques se croisent.

John l'anglais, plus français que nature, passionné d'histoire, vient faire le point, dans l'Abbaye de la Grande Trappe, sur sa vie. Aucunes attaches, il est un professeur de français amoureux de la France, personne ne l'attend. Jean de Gué, Bordelais, fils de famille de riche verriers rentre d'un périple parisien. Il n'a pas précisé quand il rentrerait au domaine.

Ces deux-là vont dîner au Buffet de la Gare du Mans, comme pourraient l'avoir fait deux êtres interloqués par leur si profonde ressemblance.

Seulement voilà, Jean voit en John l'échappatoire qu'il n'attendait plus... Jean de Gué étouffe dans sa vie de châtelain, les non-dits de sa famille pleine de rancoeurs, sans véritable joie, ni amour. La verrerie familiale lui pèse, il est acculé. Il va raconter son histoire à John, lui proposer de prendre sa place comme s'il s'agissait d'une aventure et devant le peu d'empressement de l'anglais, forcer le destin en lui volant son identité, ne lui laissant aucun autre choix que celui de se mettre dans sa peau.

John a bon fond. Il va s'attacher à Marie-Noëlle, la fille de Jean, aux femmes de cette famille, à la verrerie. Il va découvrir la maîtresse du châtelain, mais aussi son profond égoïsme, sa désinvolture. Lui qui se rêvait français, va se sentir enfermé dans cette drôle de situation, la tension va monter crescendo au fur et à mesure de ses découvertes concernant la personnalité de Jean et de son environnement. Il a l'illusion d'avoir trouvé une famille, de n'être plus seul mais les problèmes à régler et ce qu'il va mettre au jour sont si lourds... N'était-il pas mieux dans sa petite vie triste ? Comment peut-il trouver les solutions tant espérées pour sauver la verrerie, le domaine ? Existe-t-il un syndrome du sauveur chez John, endosser la vie de son double suffira-t-il a donné un sens à sa propre vie ?

Beaucoup de sujets sont abordés dans ce roman, la solitude, l'hypocrisie, le pardon, l'opportunisme y compris pendant cette période trouble de la Seconde Guerre mondiale. Le suspense et la tension qui montent jusqu'à cette fin très inattendue rendent le roman addictif.

On veut savoir si Jean reprendrait sa place, si John saura faire prendre à sa vie un tour plus heureux... Cette histoire est un questionnement sur l'identité, le bien et le mal. Tout le monde a-t-il réellement été dupe ? J'ai beaucoup aimé ce roman, à vous de le découvrir maintenant !
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John,trente-huit ans, vit et enseigne l'histoire de France à Londres. Seul, sans famille, démoralisé, voire désespéré par sa vie, nous le retrouvons à la fin de ses vacances au Mans, où il compte passer la nuit avant de se rendre à l'abbaye de la Grande Trappe. Une retraite auprès des moines et de Dieu lui donnerait peut-être les réponses aux questions qu'il se pose sur lui-même.
John est passionné par la France et son histoire, et il souffre profondément de n'être pas reconnu en tant que français. Même si son langage est parfait, on finit toujours par percevoir en lui un étranger, alors qu'il n'aspire qu'à "...cette chose impossible: être l'un d'entre eux, élevé, instruit parmi eux, uni à eux par des liens de famille et de sang qu'ils reconnaîtraient, qu'ils comprendraient, de façon à pouvoir vivre au milieu d'eux en partageant leurs rires, en ressentant leurs peines, en mangeant un pain qui ne serait plus le pain de l'étranger mais le mien et le leur." (p.13)
Il est également déçu par lui-même. Il sent qu'il aurait pu avoir une autre personnalité, lui toujours soucieux de bien faire et du respect des lois. " Mais quelqu'un en moi appelait au secours." (p.14) "J'étais si habitué à lui refuser la parole que son caractère m'était inconnu; mais il avait peut-être un rire moqueur, un coeur sec, une âme violente et un langage cru." (p.14)
Au bord du gouffre, il décide d'aller boire au bar de la gare. C'est là qu'il fait une étrange rencontre. Il se trouve nez à nez avec un certain Jean de Gué, son jumeau parfait, son double. Sauf que lui est français, Comte, possède un château, des terres, une famille, et est plutôt malveillant...Rêve ou réalité? Rencontre divine ou tentation du Diable? "- Vous n'êtes pas le diable, par hasard?
"-Je pourrais vous poser la même question"
Au lendemain de cette soirée trop arrosée, John se retrouve piégé dans la vie du Comte, qui s'est éclipsé avec ses affaires. Arrivé dans son nouveau château, personne ne se doute de rien et John fait face aux situations en tant que Jean de Gué.
A l'issue de cette étrange aventure, John aura peut-être trouvé beaucoup de réponses à ses questions.
C'est un roman étrange et envoûtant, comme sait si bien les construire Daphné du Maurier, et l'on y retrouve tous ses codes: le château, une famille hantée par un passé tragique, la présence des disparus qui plane...
Pas si simple qu'il n'y paraît, il traite de la quête d'identité, du Bien et du Mal, du sens de la vie, de la résilience. Encore un très bon roman de cette grande autrice.
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Merci pour la découverte à scarlett12.
L'échange de leurs vies par deux inconnus.
Une rencontre fortuite de deux personnes au Mans.
L'un s'enfuit et laisse sa vie et ses emm… à l'autre.
Comment ce dernier va s'en sortir ?
Et sa véritable identité sera-t-elle découverte et par qui ?
Arrivé dans une famille détruite, John va essayer de comprendre les personnalités et les secrets de famille, avec sa patience et sa compassion.
Le Bouc émissaire laisse souvent apparaître des détails autobiographiques de son auteur :
- Daphné du Maurier a situé l'action dans des endroits (Le Mans, Tours, Blois, La Ferté Bernard) qu'elle avait visités et en rapport avec ses ancêtres français,
- ses personnages : des femmes faibles, que Daphne du Maurier, femme énergique et presque masculine, ne pouvait comprendre, alors que Marie du Gué et Jean reflètent son côté aimant et vif.


un très bon moment de lecture.
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Tout commence dans la ville du Mans, lorsqu'un historien britannique rencontre Jean de Gué, son sosie parfait, propriétaire du château de Saint Gilles.
Le lendemain, Jean de Gué a disparu et le narrateur se retrouve dans la peau de son double.
Pendant une semaine, il va devenir Jean de Gué, entrer dans son univers et l'appréhender avec ses propres valeurs.
Sa mère, la comtesse de Gué, son épouse Françoise, sa fille Marie-Noëlle, son frère Paul, sa belle-soeur Renée, sa soeur Blanche ainsi que tous les autres personnages qui gravitent autour de Jean de Gué, comte atypique, égoïste et cynique, qui recèle de nombreux secrets.
Le remplaçant finit par prendre des décisions et influer sur le destin de la famille de son double, prenant sa place et se confondant totalement avec lui.
Daphné du Maurier, avec sa parfaite maîtrise du récit, nous tient en haleine du début jusqu'à la dernière ligne. Une idée de départ géniale servie par une narration haletante.
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