Entre Dieu et moi, c'est fini

Après avoir lu le Mec de la Tombe d'à Côté, j'ai vraiment été déçue par la lecture de ce roman de Katarina Mazetti... le 1er tome était encore assez intéressant avec l'analyse de la meilleure amie du personnage principal et les conséquences de sa mort sur le quotidien d'une ado.
Le 2e tome par contre n'avait vraiment aucun intéressant car pas du tout réaliste... le personnage en était même agaçant !
Bref, je n'ai pas été convaincue et ne lirai pas la suite...
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Analyse tendre et pourtant crue des états d'âmes d'une adolescente complexée face à la mort de sa meilleure amie.
Décorticage minutieux d'un âge souvent synonyme d'insouciance. Une agréable découverte, une plume suédoise à suivre.

Linnea est une jeune adolescente de 16 ans, mesurant 1m80 et énormément complexée. Amoureuse d'un jeune garçon fort beau mais n'ayant les faveurs que d'un jeune homme aux charmes moins visibles, vivant chez sa mère avec son beau père et son demi-frère Knotte, elle tente de trouver sa place. le jour où elle rencontre Pia, elle pense que sa vie va changer. Pia est pleine d'assurance et de répondant, mais Pia va mourir.

Linnea va alors déverser son chagrin en parlant et en réfléchissant sur la vie, sur la mort, sur l'amour, sur Dieu...

Voilà un petit roman très fort, qui parle avec beaucoup d'humour et de recul de la mort et de la signification de la vie.

Premier tome d'une trilogie, "Entre Dieu et moi, c'est fini" raconte la vie de Linnea, une adolescente comme les autres. Elle aime sa mère, ignore son beau-père, voit rarement son père et ne peut se passer de son petit frère. Mais, par-dessus tout, elle idolâtre Pia, sa meilleure amie, son âme soeur. Pia, un peu particulière. Pia, que personne ne peut ignorer.

Avec Pia, elle partage tout : ses doutes, ses idées, ses coups de cafard, ses interrogations. Elle se pose beaucoup de questions sur la vie, sur l'amour, sur Dieu,...

Le lecteur sait dès le début du livre que Pia est morte, mais il ne sait pas comment.

Linnea se raconte et raconte Pia, leur vie à deux, leur complicité, les années qui ont passé très vite jusqu'à la disparition de celle qu'elle ne parviendra jamais vraiment à oublier...

Un roman jeunesse qui ne m'a pas touché plus que ça, alors que j'avais adoré "Le mec de la tombe d'à-côté". Un roman, qui, je le pense plaira aux adolescentes.
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Par curiosité, j'ai lu ce premier volume d'une trilogie, apparemment plutôt destinée aux adolescents, de l'auteure du "mec de la tombe d'à côté". Linnea est une jeune lycéenne (ou collégienne peut être) qui a perdu sa meilleure amie, Pia. Celle-ci s'est suicidée. le récit tourne autour de ce point aveugle, que Linnea ne peut pas, ne veut pas évoquer. Il est assez attachant et plutôt bien écrit. Je pense que je lirai la suite, d'autant plus que c'est assez court.

Deuxième livre que je lis de cette auteure et non décidément, le style de Katarina Mazetti m'insupporte.

L'héroïne parle tour à tour comme un livre puis comme une poissonnière ce qui, à mon sens, n'est pas très cohérent.

Linnea, héroïne du roman, n'est pas attachante pour un sou. Elle est très autocentrée et égoïste.

Pourquoi Pia est-elle morte ? On en saura rien, ce qui me donne l'impression d'avoir lu ce livre pour rien. Peut-être que la raison du suicide de Pia est annoncée dans le tome 2 ou le tome 3 mais en tout cas, ce sera sans moi.

Le titre m'avait beaucoup interpelé, je ne comprenais pas vraiment le lien qu'il pouvait avoir avec l'histoire. Je me suis rendu compte au fil des pages, pourquoi ce titre. Qui aujourd'hui aimerait croire en Dieu alors que la personne qu'on aime plus que tout se suicide sans aucunes explication ? Je me suis mise à la place de Linnea, c'est dure de perdre une amie. Les émotions que ce livre dégage sont très forte.

j'ai acheter ce livre après avoir lu le mec de la tombe d'à coté, que j'ai adorée. J'ai voulu découvrir un autre livre de cet auteur. Cependant je l'ai moins apprécier, même si on retrouve le même univers, et le même genre particulier ainsi qu'un personnage intéressant, j'ai moins accrocher à l'histoire. de plus je l'ai lu vraiment très rapidement et ai regretter de l'avoir payer aussi cher.

Linnea, 15 ans, vient de perdre sa meilleure amie Pia. Elle se souvient de leur rencontre, leur amitié mais aussi du moment où elle a appris son suicide. Pourquoi Pia ne s'est pas confiée à elle et a préféré mettre fin à ses jours?
La période de l'adolescence est assez bien retranscrite dans ce livre de Katarina Mazetti mais je n'ai pas vraiment accroché avec son style d'écriture.

Linnea a seize ans, plein de complexes, et pas mal de questions qui lui trottent dans la tête. La seule qui la comprenait, c'était Pia. Sa meilleure amie, son amie pour la vie. Enfin, pour cent vingt jours, « sans compter les week-ends », Linnea a fait le calcul une fois. Maintenant que Pia est morte. Avec Pia, elle pouvait parler de tout : de l'amour, de la mode, de Markus, le beau gosse dont toutes les filles rêvent, du prof de bio qui devait se faire interner mais qui au lieu de ça harcèle la classe entière, de son père qu'elle voit deux fois par an, de sa mère qui a une liaison tumultueuse. Et de Dieu. Qu'est-ce que ça signifie « croire en Dieu »? Car ce n'est pas exactement la même chose que le père Noël. Une chose est sûre, ce n'est pas la peine de compter sur Dieu pour résoudre les équations du second degré.

Incisif et énergique, ce roman se lit vite et sans effort. Linnea nous fait partager son quotidien, ses questionnements, ses contradictions, ses angoisses d'adolescente de seize ans, comme si nous étions le mur du placard de sa grand'mère. Elle n'attend pas forcément de réponse. Elle parle. Et surtout de Pia. Son amie. Sa meilleure amie. Qui ne l'est restée que cent vingt jours. Et ça, elle a du mal à le digérer.
Le ton cynique plaira aux adolescents, l'autodérision et les joutes verbales entre filles également.
Pourtant, sans en avoir l'air, ce roman aborde des sujets graves qui préoccupent les jeunes de générations en générations.
A lire dès 15 ans.