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De la poussière, du sang, du whisky et des Comanches prompts à scalper un colon. Tous les ingrédients sont réunis pour un bon western.

On retrouve avec plaisir Gus McRae et Woodrow Call, nos deux Texas Rangers préférés, mais aussi Buffalo Hump le terrible chef comanche, et Kicking Wolf le meilleur voleur de chevaux du Texas. L'humour est toujours bien présent. L'auteur arrive à nous transmettre parfaitement le climat de peur dans cette conquête de l'ouest, que ce soit du côté des colons comme des Indiens. En près de 800 pages, le roman couvre plusieurs années, à cheval sur la guerre de sécession. Une guerre qui sera peu abordée, tant elle est loin des préoccupations du quotidien dans ces contrées arrides.

J'ai adoré le dernier chapitre qui illustre tristement la défaite du peuple comanche, obligé de se soumettre aux colons.

Par contre, 800 pages c'est long. Je me suis senti parfois dans la peau de Gus McRae traversant le désert sans eau et sans cheval, ne rêvant qu'à se saouler dans un saloon d'Austin.
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J'ai retrouvé avec grand plaisir mes compères Call et Mc Crae.
Ambiance western dans les grandes plaines du Texas avec les indiens Comanches , la nature belle et sauvage.
J'y suis sur le cheval avec eux .
Que d'aventures ils vivent ces deux là
Gus Mc Crae est expansif , profite de la vie , il picole , court la gueuse .
Son pote Woodrow Call est totalement différent , renfermé , il rigole à chaque fois qu'il se brûle ( je ne sais pas d'où je sors cette expression ! )
C'est passionnant on les suit , on attend de voir les indiens attaquer , on veut qu'ils trouvent de l'eau quand ils crèvent de soif .......on voudrait aplanir les difficultés qu'ils rencontrent et que tout se passe au mieux.
Certains meurent , d'autres sont blessés , d'autres trahissent
Chez les Comanches c'est toujours Buffalo Hump , Kicking Wolf le voleur de chevaux , et un salopard le fils de Buffalo Hump : Blue Duck ; il ne respecte rien ni son père ni les aînés ni les coutumes ....un sang mêlé sa mère était une captive mexicaine .
Et nous avons aussi le charismatique capitaine Scull et sa femme Inès la foldingue
Tous les personnages sont hauts en couleur , ne passent pas inaperçus .
Sacrée saga et il me reste encore 3 livres où retrouver mes potes Call et Mc Crae , chouette !!!!!!

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Lune Comanche est le second volet dans la chronologie interne de la suite romanesque Lonesome Dove.

Les années ont passées pour Augustus « Gus » McCrae et Woodrow F. Call. Ils ont pris du galon, devenant capitaines, ce qui leur permet de commander une escouade de Texas Rangers, mais ce qui ne les exonèrent d'aller au rapport et d'accomplir des missions aussi périlleuses qu'absconses. Ils sont sous les ordres d'un singulier yankee, Inish Scull, érudit et suffisamment riche pour ne rien faire, mais de tempérament aventureux, préférant risquer sa vie que de devoir supporter les frasques d'une épouse atrabilaire et nymphomane. La nature du danger a quelque peu changée. Défaits, les Mexicains ont vu leur frontière reculer vers le sud, et à part quelques razzias sur Austin et des fermes isolées, le peuple Comanche est en voie de pacification, vaincu par les maladies apportées par des colons mieux armés, et réduit à la famine par la disparition des grands troupeaux de bisons, qui ont fui vers le nord l'avancée des pionniers. C'est la Guerre de Sécession qui s'annonce et le Texas est dans le camp des Confédérés. Il n'en demeure pas moins que de terribles bandits continuent à sévir dans le llano, le premier desquels étant l'impitoyable Ahumado, grand voleur de cheval devant l'Éternel, terrorisant la troupe de ses hommes de mains, par le spectacle horrifique des tortures qu'il réserve aux malheureux qui tombent entre ses mains. Ils restent donc encore bien de la tâche ingrate à faire pour nos Texas Rangers, qui échappent en conséquence à la carrière funeste de soldat dans une guerre fratricide.

Avec ce second opus, le récit prend singulièrement de l'épaisseur, grâce à une multiplicité de courants de narration, avec notamment une plus grande importance accordée aux personnages comanches, dont le terrible chef Buffalo Hump et le furtif Kicking Wolf, ainsi que l'apparition de personnages féminins demeurant à Austin. Voilà de quoi s'attacher à nos Texas Rangers; on peut dire qu'on est suffisamment "férré" pour aborder avec enthousiasme le plus fameux des volets de la série : Lonesome Dove.
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Un préquel remarquablement réussi, d'une qualité incroyable.

Cet opus arrive en seconde position dans l'ordre de lecture mais 4eme dans l'ordre d'écriture, on sent que le grand Larry McMurtry est pleinement à son aise dans cet univers si envoutant qu'est celui de Lonesome Dove.
Après nous avoir maltraité son inénarrable duo de héros lors d'un premier préquel exténuant d'intensité, ce bon vieux Larry remet ça pour notre plus grand plaisir.

J'suis pas franchement emballé à l'idée de faire un topo sur qui fait quoi et ce qu'il s'y passe car soit vous le savez et ça n'a aucun intérêt, soit vous avez envie de lire ce livre et je ne me risquerais pas à vous spoiler. Soit vous ne connaissez pas encore la série et cela ne vous sera donc pas d'un grand secours.

Je vais plutôt me focaliser sur le ressenti. Ça a été intense, un de ces romans qui marquent une vie de lecteur, on a beau s'en envoyer des wagons, j'ai été profondément touché par la qualité de celui-ci. Il brille par diverses qualités.
Commençons par la plume, bien qu'étant une prose assez concise, terre-à-terre et réaliste, elle brille par sa simplicité et son efficacité. On saluera ici l'excellent travail de traduction du pavé de presque 800 pages par Laura Derajinski. le style est parfaitement adapté et colle merveilleusement à la sobriété de la description à la frugalité du quotidien et à l'épure de personnages inoubliables.

On est un peu loin des stylistes du genre et s'il n'y a pas l'opulence et la richesse torturée d'un Cormac McCarthy, on a peut-être ici un des facteurs importants du succès littéraire de la saga : son accessibilité et sa justesse qui en font un chef d'oeuvre réputé.

Larry McMurtry est d'une sensibilité rare et d'une acuité précieuse pour nous croquer des personnages hauts en couleur qu'on retrouve avec une impatience certaine et que l'on quitte à grands regrets. Ses personnages je les aimes tous. du ranger simplet qui se demande ce qu'il fout là, à la fille de joie qui rêve d'évolution sociale, au pisteur indien à l'aise comme jamais dans un univers hostile, en passant par un capitaine de cavalerie d'un héroïsme frisant la folie, ou par le chef indien aussi sage que sanguinaire, ils sont tous extra.

La construction scénaristique est d'une efficacité redoutable et la hype monte crescendo. Ce procédé quoique déjà bien poncé n'est ici nullement déceptif car à chaque fin de rebondit toujours sur d'autres évènements dont on à hâte de connaitre l'issue.

Ajoutons à ce joli topo une connaissance poussée de l'époque, des moeurs et modes de vie de chacun des peuples. Cela procure un sentiment d'intimité et de connivence poussé, galvaniser par une maitrise déconcertante de facilité du style nature writing qui finit de ferrer le lecteur.

Le plaisir de lecture que j'ai ressenti à été fervent, ardent, et entrecoupé d'autres lectures pour faire durer la sauce. C'est avec excitement mêlé de désarroi que j'ai refermé cette fresque absolument épique, sachant qu'il ne me reste plus que Les rues de Laredo à arpenter de long en large avant de clôturer la lecture de cette immense série qu'est Lonesome Dove.
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Toujours un immense plaisir de se plonger dans la mythique saga "Lonesome Dove", même si j'ai tout lu dans le désordre (j'ai fait 1-3-4-2 ... et il me reste le 5e !).

On retrouve dans "Lune Comanche" tous les éléments qui font le succès de cette suite : l'incroyable talent de raconteur d'histoires de Larry McMurtry, des personnages (y compris secondaires) finement développés, une grande culture historique, le souffle de l'aventure, et des personnages féminins comme on en voit peu !

Dans ce tome qui se déroule de façon à peu près contemporaine à la Guerre de Sécession, la réflexion sur la frontière, sa consolidation et son évolution est particulièrement passionnante. C'est le tome de transition entre les rangers sur la frontière sauvage (La Marche du Mort) et les deux tomes centraux de la série où les inoubliables Call et Gus sont contraints de se transformer en ranchers.

Gros pavé dont je me suis délectée, donc, que j'ai savouré de bout en bout, un peu triste qu'il ne m'en reste plus qu'un ...
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790 pages d'une écriture serrée, et ce n'était pas encore assez.
Je les aurais suivis plus loin et plus longtemps.
Les texas rangers, les capitaines Mc Crae, Call, Buffalo Hump, Kicking Wolf, Insih Scull.
je les accompagnés pendant plusieurs décennies.
Ensemble nous avons parcouru le Texas - en long, en large et en travers -  nous avons chevauché  dans l'ouest américain, parcouru les frontières mexicaines.
Nous avons combattu les mexicains, les comanches et notre peur du vide, notre besoin de vie. Nous avons eu très soif et très chaud, très froid et très peur. Nous avons été excités, emballés, motivés, extasiés, malheureux.
Nous sommes tombés amoureux, avons pleuré des morts, subis des tortures, commis des violences. Nous avons vu les blancs affluer dans ce coin perdu du monde, puis les bisons disparaitre, puis les tribus comanches libres disparaitre elles aussi. Nous avons ressenti la tristesse de ce peuple, lorsqu'ils ont compris que les jours d'antan été révolus.

Et pourtant, ce n'est toujours pas assez. Je les aurai suivi plus loin et plus longtemps.
4e roman d'une grande fresque - épopée - saga d'aventure historique, j'ai retrouvé ici tout ce que j'avais tant aimé dans Lonesome dove 1 et 2.  Des aventures de fou, un voyage dans le temps et l'espace,  une immersion totale dans l'ouest américain, et des personnages justes géniaux. Plein d'humour, de courage, de forces, de faiblesses.
Ce n'est que parce qu'il reste encore un roman que ma tristesse de refermer ce livre se trouve un peu atténuée.   
Un coup de coeur, une lecture géniale, et ça fait du bien!
Lien : https://www.cinquantedeuxliv..
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Épisode fort en évènements qui explore la profondeur de la cruauté humaine. Dans toutes les épreuves, la force de caractère des personnages principaux, Gus, Call et le capitaine Scull nous tient en haleine de bout en bout. Ce n'est qu'à la fin du récit que l'on ressent un peu de répit, une fois arrivé à Lonesome Dove, la saga éponyme. Un vrai roman d'aventure !
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Une Lune Comanche avant le crépuscule

La « Lune Comanche », c'est traditionnellement la lune d'automne, celle qui voit les tribus Comanches fondre sur le Mexique pour « tuer, piller et ramener des prisonniers ». Mais le grand chef redouté Buffalo Hump sait bien que le temps de son Peuple est terminé. Les Blancs sont devenus trop nombreux, trop armés et organisés. Avant que cette fin arrive, il décide de lancer une grande attaque inattendue, lors de la lune froide de février.

Voici donc le deuxième volet de la série Lonesome Dove. (si l'on s'en tient à l'ordre théorique de lecture en considérant les années évoquées- car sinon, Lune Comanche a été écrite après Lonesome Dove et Les Rues de Laredo).

Lune Comanche est le parfait trait d'union entre La Marche du Mort et Lonesome Dove.

D'abord parce qu'on en retrouve les principaux personnages : les deux (anti) héros de la série, Woodrow Call et Augustus McCrae, devenus plus matures (enfin, pour McCrae, cette notion reste relative), les autres principaux rangers, l'éclaireur Famous Shoes, Clara Forsythe l'éternelle fiancée, mais également les redoutables Comanches Buffalo Hump et Kicking Wolf….

Ensuite parce que le décor reste le même : ces paysages entre Texas et Mexique, abritant de terribles déserts, des canyons dangereux, des fleuves de boue…

La trame du récit est également connue.
Tout comme La Marche du Mort dont l'histoire se situe quelques années auparavant, ce livre repose essentiellement sur le récit d'expéditions des Texas Rangers aux alentours de la frontière mexicaine, vers 1850. Et des expéditions peu suivies de succès puisque comme le dit Gus McCrae : « On a l'habitude maintenant, de faire des expéditions pour rien. C'est presque toujours le cas. On chevauche dans un sens, et puis on fait demi-tour et on repart dans l'autre. »

Pourtant, s'il suit grosso modo la même construction, Lune Comanche s'avère plus riche encore que La Marche du Mort, notamment en entrelaçant les expéditions de Gus et Woodrow, de récits autonomes faisant la part belle à d'autres aventures individuelles, mais également en exposant leurs histoires sentimentales qui se révèlent tout aussi bancales et erratiques que leurs longues courses à cheval.

Enfin, Lune Comanche prépare également la suite en réglant le sort de certains personnages tout en en introduisant de nouveaux et surtout, en faisant apparaître pour la première fois, la ville naissante de Lonesome Dove.

Ce livre est tellement riche qu'il se permet d'évoquer la guerre civile en pointillés ou de faire un saut d'une dizaine d'années, sans que le récit en souffre.

Une nouvelle réussite donc pour McMurtry et son épopée à base de voyages aussi absurdes qu'initiatiques, fourmillante de détails, d'études de caractères, et d'humour.

Bien que le récit offre de quoi faire dresser les cheveux sur la tête (pratique pour le scalp), notamment pour les scènes de torture, il n'use jamais d'artifices pour en accentuer le caractère horrifique. Il écrit « à plat » et contribue ainsi à une unité de style d'une redoutable efficacité.

Une dernière remarque : McMurtry est le plus grand auteur des fins de paragraphes. Chaque phrase qui conclut l'une des 44 parties, pourrait être citée en exemple.
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Bon sang, par où je commence ???
Les chevauchées épiques ? La beauté sauvage et inhospitalière des vastes étendues texanes ? Pourquoi pas.
À moins peut-être d'ouvrir mon billet sur le duo emblématique de la saga, à savoir le vaillant Call Woodrow et son impayable compère Gus McCrae ? Je pourrais alors enchaîner sur la bravoure des autres Texas Rangers, les frasques de leur capitaine Inish Scull et les penchants éhontés de sa femme Inez...
Non. Réflexion faite, il faudrait mieux démarrer avec Buffalo Hump, le valeureux chef indien, et évoquer ensuite la hargne sanguinaire de son fils Blue Duck, l'incroyable adresse de Kicking Wolf le légendaire voleur de chevaux, ou la cruauté sans borne de "Black Vaquero", l'ignoble bandit mexicain.
Mais alors dans tout ça, quelle place dois-je réserver au souffle mystique qui anime de bout en bout cette formidable aventure ? Quand devrais-je mentionner la puissance des esprits, le poids des légendes anciennes et des forces surnaturelles qui règnent sur ces terres comanches, théâtre de si terribles affrontements en ce milieu de XIXème siècle ?

Bon, c'est peine perdue : jamais je ne trouverai d'accroche satisfaisante.
Inutile de chercher à énumérer en quelques lignes la multitude d'ingédients savoureux réunis sous la plume de Larry McMurtry, qui à mes yeux produit là LE western parfait !
On y trouve bien sûr les chevaux, les raids indiens le long de la frontière, les odeurs de poudre et les relents de whisky, la témérité des colons et la résistance acharnée des tribus autochtones, mais à partir de ces indispensables fondamentaux, McMurtry nous offre bien plus que la traditionnelle bataille de l'Ouest. Au coeur de l'éternel combat entre l'envahisseur Blanc et le rebelle Peau-Rouge, il a l'intelligence de ne pas prendre véritablement partie, et dans chaque camp il nous donne à voir les mêmes rêves de gloire, le même sens du sacrifice, les mêmes travers sanglants...
Il mène en outre plusieurs histoires de front avec une aisance peu commune, et les nombreux personnages qu'il met en scène sont tous adroitement mis en valeur. Chacun apporte sa juste contribution au récit, et aucun ne m'est apparu plus "faible" comme c'est parfois le cas dans les romans-fleuves de cette ampleur.
Le résultat est époustouflant, et sous le soleil ravageur des plaines texanes, jamais la moindre ombre d'ennui ne vient ternir l'éclat de ces 800 pages pleines de rebondissements !

Le temps pour moi de souffler un peu après ce long périple, de me remémorer la complicité de Gus et de Call, la beauté de la jeune Clara, la science sans pareille du pisteur Famous Shoes, l'héroïsme crépusculaire de Buffalo Hump et de son peuple (dont on pressent déjà l'inexorable disparition...) et bientôt c'est promis, je me remettrai en selle pour un prochain McMurtry grandiose, épique, inoubliable.
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Et hop ! 800 pages d'aventure et de cavalcades ! C'est vraiment un bonheur de lecture car Larry McMurtry est un incroyable conteur.

On retrouve Gus et Call environ 10 ans après la Marche du mort et quelques années avant Lonesome Dove. Ils sont déjà des texas rangers aguerris et un peu blasés. Ils sont toujours inséparables même s'ils se chamaillent tout le temps. Ils vivent à Austin sous le commandement de l'excentrique capitaine Scull (encore un incroyable personnage inventé par l'auteur !). Celui-ci va décider brutalement d'abandonner la troupe pour aller à la recherche de son cheval et les voilà bombardés capitaines !

Avec un sens du récit affûté, Mc Murtry mène de nombreuses histoires de front : bien sûr celle de Gus et Call et de leurs collègues Pea Eye, Long Bill, Deets mais aussi celle du grand chef comanche Buffalo Hump dont il fait un émouvant portrait, le voleur de chevaux Kicking Wolf ou le renégat Blue Duck, ou encore l'histoire de Scull et de sa femme aussi riches que fantasques, ou celle de l'affreux tortionnaire mexicain etc…Comme dans une série, il entremêle les intrigues et les portraits et nous tient en haleine pendant des centaines de pages. On s'attache aux personnages qu'on peine à quitter la dernière page tournée. On rit de bon coeur et la page suivante on est saisi d'effroi à la lecture des tortures mexicaines ou lors de la description d'une attaque sanguinaire des comanches.

J'ai trouvé ce tome nettement supérieur au premier et d'un niveau équivalent à Lonesome Dove. Avec le même mélange d'énergie et de mélancolie, car l'auteur sait aussi bien raconter des aventures trépidantes que nous étreindre de tristesse lorsqu'il décrit la disparition d'un peuple.
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