Après la fin tout en suspense du premier épisode, cette suite reprend aussitôt après la dernière scène.
Londres, les portes de l'ascenseur se referment sur Brynne, laissant Ethan seul. Après quelques jours où la passion et la sécurité été présente constamment voici venu la solitude insupportable pour Brynne, mais aussi pour Ethan, dû à cette brutale rupture.
Ethan Backstone est un homme très autoritaire et dominateur. Auprès de Brynne, il a le sourire, il est amoureux et fera tout pour sauver sa belle.
Brynne Bennett est une jeune femme passionné. Elle a subi un traumatisme, mais elle se relève et avance.
La narration est du point de vue d'Ethan, c'est agréable de découvrir cette aventure à travers ses yeux, et surtout ses sentiments. de nombreux flash-back et cauchemars nous révèlent son passé pas si simple.
La romance est très érotique, seule une touche de suspense se place à la toute fin du roman. Les révélations sur leurs passés sombres sont constantes tout le long de la lecture.
Ce fut une suite tout à fait convenable. de l'érotisme, de la sensualité, une petite touche de suspense et d'action, le tout saupoudré de révélations et rebondissement. Un sacré duo qui nous promet encore quelques aventures dans la suite !
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— D’accord, dit-elle résolument. Viens me chercher.
Je n’en croyais pas mes oreilles.
— Que je vienne te chercher ? Je croyais que tu voulais dormir dans ton lit. Ce n’est pas ce que tu as dit…
Elle m’interrompit d’une voix coupante comme un rasoir :
— J’ai changé d’avis. Je n’ai plus envie de dormir ici. Je fais mon sac. Je serai prête dans cinq minutes. Appelle-moi quand tu seras en bas. Je descendrai.
— Entendu, chef !
J’étais complètement abasourdi, j’attendis qu’elle ait raccroché, puis je poussai un énorme soupir. Je secouai la tête aussi, et me pris à siffler une ou deux notes. En amoureux perplexe et transi que j’étais, il ne me restait plus qu’à aller chercher ma petite amie – un être à la chevelure de serpents, à la voix tranchante et aux réactions imprévisibles.
Les femmes… ces créatures effrayantes.
Maintenant, elle pleurait. Elle pleurait sans bruit. Elle faisait toujours ça, or ses sanglots silencieux traversaient l’espace entre nous comme des hurlements.