L'instant présent

Mon second Musso,
Celui-ci m'a mené jusqu'au bout avec son intrigue , son suspens, l'attachement de çes personnages. Que va devenir Arthur , sa famille, quelle est cette malédiction qui touche cette famille? Çe phare ? Ce chiffre "24" et cette vie d'errance dans les longs couloirs, arriveront-ils à conjurer le sort de cette famille? Jusqu'au bout , je me suis interrogée... Sans savoir poser ce livre. ( réconciliée avec Musso, merci à l'ami qui a tant insisté pour que je le lise.... Car j'avais peur d'errer dans l'ennui, et finalement je l'ai lu en 24 heures) 😉

Quand j'ai su que ce Musso sortait en poche, je n'ai pas hésité un instant à l'acheter. Surtout que j'essaye de lire tous ces romans avant la fin de l'année. Autant dire que celui-ci ne fait pas exception, il est génial.

L'histoire est celle d'un homme pas comme les autres. Il a hérité de la résidence de son grand-père : Un phare isolé avec un salle condamnée par un muret. Malgré la promesse à son père de ne pas l'ouvrir, il va le faire, ce qui le mènera à ne plus vivre une vie normal. Il va faire la rencontre de Lisa, une jeune comédienne, qui lui redonnera espoir pour la suite de sa vie. Ensemble, Arthur et Lisa doivent déjouer les pièges que leur impose le plus impitoyable des ennemis : le temps…

Autant dire que le mystère autour de ce phare m'a tout de suite pris dans l'histoire. Au même titre que le personnage principal, je voulais savoir ce qui se passait derrière ce muret et surtout résoudre son mystère par la suite.

Comme dans chaque Guillaume Musso, la fin est époustouflante. Je ne m'attendais pas à une fin comme celle-ci, mais si et je trouve cela juste magique.

Arthur est un jeune urgentiste, qui va devoir vivre une vie comptée et domptée par le temps. Cela ne va pas être facile, mais il arrive quand même à créer une relation avec Lisa et même à avoir des enfants. On voit que c'est un homme curieux et courageux, qui veut tout faire pour arriver à vivre une vie quasiment normale. Bref, il m'a paru un peu en retrait de la réalité au départ, mais après, il cherche vraiment à découvrir le mystère de ce phare et à construire ce que chaque homme désir : Une famille.

Lisa fait des études d'art dramatique et travaille dans un bar de Manhattan pour pouvoir les payer. Quand elle fait la connaissance de Arthur, c'est le coup de foutre. Mais cet homme n'a pas une vie normale. Elle va donc essayer de se construire avec lui avant de se raviser pour aller voir ailleurs – ce que l'on peut comprendre vu que Arthur est continuellement absent. Mais l'amour l'emporte et elle va retourner dans ses bras pour construire une famille à ces côtés. Mais si du point de vue d'Arthur, elle m'a parfois agacé, je la trouve courageuse de vivre avec lui cette aventure hors du commun. Un personnage très attachant.

Le style d'écriture est comme d'habitude avec Guillaume Musso : Magnifique et magique. Comme j'aime, il y a beaucoup de description des paysages, des actions, des sentiments, des ressentis… J'adore vraiment cet auteur et ce roman ne fait pas exception à la règle.

En général, j'ai adoré ce roman de Guillaume Musso, qui ne fait pas exception de son talent pour le suspense.
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Attention : ne pas prêter attention à la quatrième de couverture qui, je trouve, n'est pas du tout représentative du livre et au contraire trompeuse.
Elle suggère un roman assez fleur rose, alors que l'intrigue est au contraire fantastique avec bien entendu un aspect autour de l'amour et du leitmotiv CARPE DIEM, donnant le titre au roman.

Ce roman m'a accroché dès le début avec le mystère de son intrigue et je ne l'ai pas lâché avant épuisement physique vers 3h du matin. Un véritable page-turner!

Je dois dire que je m'attendais à un roman du niveau de "La fille de papier", mais je l'ai moins apprécié !

Une histoire très originale bien que quelques longueurs m'aient lassée par moment.

Belle écriture, belle intrigue. J'ai juste eu un peu du mal avec la compréhension du twist final... J'en reste toujours dubitative!

Mais en conclusion, c'est un roman touchant où j'ai finalement versé une larme à la fin !

Waouh ! J'ai commencé le roman un peu avant le changement d'heure cette nuit et j'ai eu bien du mal à le lâcher pour dormir (un peu), préparer le déjeuner à mon chéri et aller voter. 363 pages en un peu moins de 15h, sommeil compris...

Là je dis bravo ! encore une fois, il y a de l'action, des dialogues qui rythment le texte, des personnages attachants, principalement Arthur et Sullivan, des péripéties parfois un peu rocambolesques. L'auteur nous entraîne aux quatre coins de l'Etat de New York, et c'est comme si on y était : les magasins, les restaurants, les noms de rues, l'ambiance, tout est là. Ca va vite, ça pulse la vie, et l'intrigue est originale. Ca parle du temps qui passe, de la nécessité de vivre pleinement l'instant présent, de la famille.

Guillaume Musso est un magnifique story-teller, preuve en est la fin qui m'a littéralement scotchée et m'aurait presque donné envie de relire le roman pour vérifier si j'aurais pu la voir venir... C'est de la littérature populaire, au sens noble du terme, ça fait passer du bon temps et Dieu que j'aime ça !!



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Un beau roman qui me rappelle comme la vie est courte et qu' il faut profiter de chaque instant qu'elle nous offre.
Voir ses enfants grandir, être auprès des gens que l'on aime, il n'y a rien d'aussi précieux.

Un premier livre de cet auteur que je lis. J'ai trouvé le début un peu long mais a partir de la moitié, il devient difficile à lâcher. La course contre le temps est haletante avec l'envie de faire un maximum de choses en très peu de temps.
La fin m'a fait cependant un peu tiquer, son réalisme à parfois manqué

Mon premier Musso, je le confesse. La tentatrice qui m'a prêté ce livre et les collègues s'y mettant ont eu raison de moi ... Pour être tout à fait honnête, j'avais déjà fait une tentative et ... le livre m'était tombé des mains. Alors quand j'entendais : "Qui n'aime pas Musso de toute façon ?" Ma petite voix intérieure criait fièrement : "Moi, moi, moi !" alors qu'elle était cette frustration de ne pas avoir trouvé le Grall moi aussi ? Bref, oui, j'ai succombé !

L'histoire :

Boston, 1992, Frank Costello apparaît brutalement dans l'appartement de son fils Arthur qu'il n'a pas vu depuis des mois pour l'inviter à une soi disant partie de pêche. Arrivés au Phare des vingt quatre vents, leur résidence secondaire, Frank confie à son fils qu'il va lui léguer ce phare pour seul héritage, à la condition qu'il n'ouvre jamais la porte murée se trouvant dans la cave.
Le soir même, Arthur se saisit des outils laissés intentionnellement et casse le mur abritant le mystère irrésolu qui semble tant terrifier son père. Derrière la porte se trouve une salle vide bétonnée, au sol meuble dans laquelle pénètre notre héros avant que la porte ne se referme sur lui.

Mon avis :

Je l'avoue ; j'ai dévoré le livre sans honte. Je pense même qu'il vous aurait été impossible de me le faire lâcher. Musso m'a attrapé et maintenu sans que je ne fasse preuve d'aucune résistance. Faible que j'ai été. Me voilà prise au piège de ses charmes incommensurables comme toutes celles avant moi et il ne me laissera pas avant de m'avoir fait goûter l'étendu de son imagination.

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Arthur vient d'hérité de son père d'une petite maison près de la mer. Son père le préviens qu'il y a une porte murée, qu'il ne faut absolument laissée fermée, ne l'ouvre jamais lui dit-il, c'est la seule condition que je te demande. Arthur n'en fera qu'à sa tête, mal lui en pris il se réveille un an plus tard, ne se souvient que d'un grand vent est la pièce qui tourne et puis plus rien. Il va devoir déjouer les pièges de son ennemi……….LE TEMPS.

Si vous avez aimé le film "Inception" alors vous devriez apprécier cette lecture.

Un homme, une pièce dans un phare qui vous embarque dans un vortex.
Arthur ouvre cette porte et se voit transporté dans le futur plus ou moins proche, 24 fois. 24 jours, 24 ans...... Dans ce voyage il rencontre Lisa, avec qui, par amour, ils vont tout faire pour sauver cette histoire romanesque.

Mais comment démêler la réalité de l'imaginaire ?

Un Musso comme on les aime avec une fin digne de se faire des noeuds au cerveau.