L'homme chauve-souris

C'est un auteur que je voulais découvrir, j'ai eue de la chance, j'ai trouvé le tome 1 dans une boite à livres…
Une chose est sûr, je suis ravi d'en avoir finis… trop de cliché répété, flic alcoolique, enlèvement de la dulcinée... et puis c'était long… trop long… je me suis ennuyé et j'ai finis par sauté des passages, des descriptifs qui ne servaient à rien… à part faire du contenu pour du contenu…
Vous aurez compris je n'ai pas aimé… ce n'est pas grave tant d'autres lectures m'attendent..

Un point positif tout de même, le sujet sur les aborigènes en Australie, très intéressant…


bonne lecture !

Premier Joe Nesbo. Avec « L'homme chauve-souris » je me suis retrouvée en Australie, au milieu des kangourous avec un duo pour le moins original : un norvégien et un aborigène.

L'inspecteur Harry Hole, policier norvégien alcoolique notoire, se retrouve sur une voie de garage (sous le soleil d'Australie, tout de même) et doit enquêter sur la mort de l'une de ses compatriotes. Désabusé, cet enquêteur irrespectueux des usages, a une vie sociale et sentimentale désastreuse.

L'enquête est longue à démarrer puis s'embrouille et même s'il y a quelques rebondissements, ceux-ci sont sans surprises. Hole est limite, se fie à son intuition, basée sur des délires imbibés, qui fait surgir des pistes inattendues.
Je me suis ennuyée à partager ses délires et je ne peux pas dire que j'ai vraiment été emballée par ce premier Nesbo.

Première lecture et découverte de Jo Nesbo qui n'aura pas été une réussite pour ma part.
La façon d'écriture ne m'a pas emballée et je ne me suis pas du tout accroché ni aux personnages, ni à l'histoire.
Je tenterai, peut être, dans quelque temps avec la suite des aventures de l'inspecteur Hole mais il va falloir laisser un peu de temps entre ces deux lecture de manière à repartir d'un oeil neuf.

Mauvaise nouvelle, ce premier Nesbo de la famille "Harry Hole", ne casse pas des briques. Il est carrément fait de bric et de broc...Ayant été séduite par l'inspecteur blessé et bourru, je ne m'attendais pas à cette espèce de monstre de Frankenstein, dont les morceaux qui le composent sont encore frais, mais qui, une fois mis bout à bout, donnent un tout mal dégrossi et qui ne sent pas très bon. Tout le monde n'est pas Mary Shelley.

Avant d'en venir à l'action proprement dite, Harry, qui a passé le plus clair de son temps à roucouler, écoute avec intérêt les "contes et légendes" des aborigènes. Je l'avoue, les lézard et les petits serpents ne sont pas ma tasse de thé. Les aphorismes non plus. Il y en a pléthore et pas des meilleurs. "La vie n'est qu'une succession de coïncidences tout à fait incroyables" .(exemple: la loterie). "La violence, c'est comme le coca-cola et la Bible : un classique". Mouais. "La vérité, c'est que personne ne vit la vérité, et partant, que personne ne s'y intéresse. La vérité que nous élaborons n'est que la somme de ce qui arrange tout le monde, pondéré du pouvoir que chacun a." Oh la la! de plus, je vous pose la question : qui ne sait pas que les aborigènes ont été spoliés de leurs terres, que leurs conditions de vie sont difficiles, entre le chômage, l'alcool et la drogue?

J'ose espérer que Mr Nesbo n'est pas en train de nous mitonner un Harry Hole chez les esquimos...

A l'Aquarium où Harry passe la nuit avec xxx, vous apprenez tout sur les poissons et l'effet de la lumière sur eux "ils ont besoin d'un rythme journalier pour ne pas être stressé. Ils ont une horloge biologique tout comme nous". Et il y a aussi les freshies et les salties. Pardonnez-ma vulgarité mais on s'en tape.... de l'action, du suspense!

Bon, j'exagère un peu, il y a aussi les amours de Harry (on nous l'a changé, depuis). Birgitta dont les cheveux sentent si bon. les yeux bleus d'Harry, si innocents. La raison de son alcoolisme. En ce qui me concerne j'aurais préféré un bon mystère durable, heureusement que je n'ai pas lu ces romans dans l'ordre, car j'aurais eu tendance à penser qu'il avait la mémoire courte. Je n'en dis pas plus. L'auteur doit le regretter à l'heure qu'il est car ça ne fait pas honneur à la police Norvégienne. Trop tard.

J'oubliais un détail qui a son importance : on se croirait revenus aux romans du 19° siècle qui paraissaient en feuilletons avec des têtes de chapitres qui donnent un petit aperçu. Genre : "Une pute sympathique, un danois grincheux et le cricket". "Une exécution et Birgitta se dénude". Alors, c'est quoi, un polar ou une satire des polars. Hum! Polar pas terrible, satire itou.

Bref, on arrive à la moitié du livre avant de voir poindre le suspense et Harry déplier son grand corps : on ne lui la fait pas.

Une note d'espoir, et là je m'adresse à tous ceux, de plus en plus nombreux, qui veulent tâter de la plume : commencez, continuez, on ne sait jamais! Mais suivez le conseil de Raymond Carver : "Coupez!"
C'est ce que j'ai fait un jour, à coups de sabre : le problème c'est qu'à la fin il ne restait plus rien :)

Désirant découvrir Police et Harry Hole, l'inspecteur de Jo Nesbo. Je me suis tourné vers le premier volume de la saga qui en compte 10, afin de connaître l'homme, découvrir son passé etc…

Pas de chance, la saga démarre en Australie, Harry Hole est appelé suite à la découverte du cadavre d'une touriste norvégienne. Je pense qu'ils ont voulu se débarrasser de lui au poste de police de Gronland, et l'envoyer en vacances.

Une enquête fastidieuse, longue, qui n'avance pas, un Harry qui est à longueur de pages est bourré comme un coin, c'est un grand adepte du Jim Bean. Il aime tellement le whisky qu'il se roule dans son vomis. Sa seconde activité favorite est de baiser : une Suédoise, une prostituée ….

A la moitié du polar, j'avais presque abandonné, je me suis donc décidé à boire un peu de whisky pour accompagner Harry. Mais cela ne m'a pas aidé à la compréhension. Il y a bien les trois-quarts du polar qui sont ennuyeuses à mourir. Mais écrit avec une certaine poésie très imagé « Torche mon putain de cul poilu avec ta gueule, sale enculeur de porcs… ».

Heureusement, il y a quelques récits, contes et légendes aborigènes qui viennent embellir le récit. Et également un guide touristique des endroits chauds.

Vraiment j'hésite à continuer, avec Harry …. c'est pas beau de boire comme ça !!!

Incompréhension ce polar a reçu deux prix. Il a été écrit en 1997, il a peut-être pas vieilli aussi bien que du bon whisky.

Bref : mauvais karma pour moi car mal construit, style vulgaire, très décousu, lecture pénible.

Un polar " nordique " écrit par un norvégien : une surprise car l'action se situe en Australie !
Un inspecteur Harry Hole qui est envoyé par sa hiérarchie soucieuse de se débarrasser de lui pour enquêter sur le crime d'Inger Holler, jeune norvégienne qui a été violée, étranglée et jetée du haut d'une falaise !
Aéroport de Sidney : l'inspecteur Andrew Kensington l'attend pour le guider et le faire participer aux recherches d'un potentiel meurtrier..Andrew est un aborigène qui a été arraché à ses parents ( comme tous ceux de sa génération ) pour être confié à une famille blanche, un flic qui oscille entre ses 2 cultures, qui a fait de la boxe à haut niveau et qui connait parfaitement les zones d'ombre de l'Australie. Ils vont aller au bar " Albury " ou Inger était serveuse, un bar ou se côtoient les hétéros et les homos, les putes et des individus de ces différents ethnies qui peuplent ce grand continent. C'est là qu'Harry va succomber aux charmes de la rousse et suédoise Birgitta Enquist et rencontrer le clown travesti Otto Rechtnagel qui fait équipe avec celle des boxeurs de Toowoomba.
Harry et Andrew vont écumer ce pays étrange ou les aborigènes ont souffert d'une colonisation britannique qui a voulu anéantir leur âme et leurs racines , ce pays ou l'on rencontre des kangourous, des diables de Tasmanie, des chauve-souris ( symbole de la Mort pour eux ), des crocodiles et autres animaux exotiques ! Mais, Harry qui était déja alcoolique en Norvège, va pendant 500 pages écluser des bières, des whiskys, des vins et autres.."baiser" et trainer dans tous les tripots pour chercher le copain d'Inger qui est trafiquant de drogue. L'équipe de MCCormarck ( son chef ) a noté que le tueur a une préférence pour les femmes blondes sans enfant, et après avoir perdu Andrew, Otto : ils vont cibler un suspect dans la communauté aborigène...
Est-ce qu'Harry en proie à ses démons norvégiens et embourbé dans ses problèmes d'alcool va enfin se comporter en fin limier ?
Un polar, long qui s'attarde surtout sur les problèmes sociaux post décolonisation, sur les immenses paysages, sur le génocide et sur le multi-racialisme !
L.C thématique de décembre 2022 : littérature étrangère ( hors U.E ).

Une de mes collègues m'avait conseillé la lecture des ouvrages de Jo Nesbo en me disant de commencer par ‘Bonhomme de neige'. En grande utilisatrice de Wikipedia, je me suis directement renseignée sur cet auteur venu du froid et, constatant que le premier épisode des aventures de l'inspecteur Harry Hole était ‘L'homme chauve-souris', c'est avec celui-là que j'ai commencé.
Force est de constater que ma collègue m'avait certainement conseillé la lecture d'un tome qu'elle trouvait particulièrement réussi parce que je n'ai vraiment pas été transportée par « L'homme chauve-souris ». Dès les premières pages, j'ai trouvé assez déroutant que pour une première histoire un enquêteur norvégien se retrouve en Australie. Enfin, ce n'est pas en soi un problème et j'ai continué ma lecture…quel ennui ! Pendant la première moitié du livre, on se demande presque où est l'intrigue, j'ai eu l'impression de lire un guide sur l'Australie : son histoire, ses peuples, sa démographie, les années 70 vue par les Australiens, par les Aborigènes...J'ai cependant trouvé très intéressantes les mythes Aborigènes qui émaillent, par-ci-par-là le récit. Pour le reste, les dialogues sont plats, bourrés de banalités.
Dans la seconde moitié du livre, j'ai repris espoir : l'histoire décollait enfin et l'intrigue revenait au premier plan avec, je dois bien le dire, de l'action (enfin) et quelques rebondissements intéressants (même si on a l'impression de tourner en rond par moment). Mais le vrai problème est que tout cela arrive trop tard. On suit l'histoire, on n'essaye plus de la devancer et quand le final est arrivé, assez prévisible, les dernières palpitations m'ont laissée de marbre.
Toutefois, le personnage est attachant malgré ses monstrueux défauts et je me dis que les considérations élogieuses de ma collègue me pousseront sans doute à renouveler l'expérience et à tenter un autre épisodes des aventures de Harry Hole (en Norvège cette fois ?). Mais pour l'heure, c'est avec soulagement que j'ai tourné la dernière page, posé le livre et tendu la main vers le haut de ma PAL.

Pour faire connaissance avec Jo Nesbø, j'ai choisi son premier roman, L'homme chauve-souris. C'est mon ami Jérôme qui m'a conseillé cet auteur norvégien.

L'homme chauve-souris est paru en 1997. La plupart des romans de Nesbø se déroulent en Norvège, mais celui-ci nous fait voyager en Australie. C'est un polar très dense. Il y a beaucoup de personnages (j'avoue que je ne me souvenais pas toujours de qui était qui) et l'intrigue est assez compliquée. Je n'ai pas franchement accroché sur l'histoire et j'ai eu l'impression de ne pas avancer dans ma lecture.

En revanche, Harry Hole est un personnage intéressant. L'inspecteur trentenaire semble avoir profité de cette enquête en Australie pour fuir la Norvège et sa vie et c'est dans les bras d'une jolie serveuse suédoise que l'on comprend ce qu'il a envie de laisser derrière lui. En ce sens, Harry Hole ressemble un peu à Harry Bosch, un des personnages créés par Michael Connelly.

C'est Harry Hole qui – à mon avis, hein! – sauve le roman et qui ne me fait pas complètement fermer la porte à Jo Nesbø. J'emprunterai peut-être la suite à la bibliothèque dans quelques temps. Mais pas tout de suite.
Lien : http://mademoisellemaeve.wor..

Fan de polars, j'ai lu ce livre sur la recommandation de l'une de mes nombreuses amies de lecture, qui m'avait signalé que ce livre en particulier avait fait le succès de Nesbo.

Malheureusement, je n'ai pas du tout accroché. Voici un policier norvégien envoyé en Australie enquêter sur l'assassinat d'une concitoyenne.

L'histoire met un temps infini à démarrer, et tout semble écrit pour donner à notre policier norvégien l'occasion de se raconter à tout bout de champs.

Et bien sûr, une belle femme tombe amoureuse de lui, passe son temps à le faire parler de lui, oublie de lui en vouloir lorsqu'il sombre dans l'alcool et la trompe, accepte de servir d'appât au méchant meurtrier en série, et bien sûr meurt à la fin (désolée, mais de toute façon il n'y a même pas de suspense sur son sort).

Bref. Il m'a semblé lire la version livresque de ces films pour ados boutonneux qui-n'ont-rien-pour-eux-mais-qui-font-craquer-les-plus-belles, dans lesquels les femmes sont toujours de magnifiques potiches muettes.
Quel ennui ... et cet Harry Holy, une franche tête à claques!

J'ai été voir LE BONHOMME DE NEIGE au cinéma. Après avoir effectué des recherches, il s'est avéré que le film était tiré d'un livre, que le livre était issu d'une longue série.
J'ai commencé par ce dernier. Je m'y suis arrêté. Je n'ai adhéré à rien. Ni à l'intrigue, ni aux personnages, ni au "grand méchant".
Sans saveur.