Gabzou est malade et doit se rendre aujourd’hui à l’hôpital Sainte-Justine pour une série d’encéphalogrammes. À onze heures trente, sa mère quittera elle-même l’école pour venir le prendre à la maison et l’accompagner à Montréal.
«Malade» est un bien grand mot. Deux fois, durant la récréation, Gabzou a cru recevoir un coup sur la tête mais il n’y avait autour de lui personne qui eût pu le lui donner. D’où une visite chez le docteur Doyon, qui a suggéré les examens les plus complets plutôt que le plus petit risque.