Vous voulez envoyer une lettre d'amour, d'amitié ou de rupture, ou un message pour remercier une personne ou pour témoigner de votre douleur lors du décès d'une autre que vous appréciez, ou encore une lettre au… Paradis ? mais vous ne savez pas comment vous y prendre, il ne vous reste qu'une chose à faire, entrer dans
la papeterie Tsubaki.
Vous y serez accueilli par Hatoko, avec beaucoup de discrétion, d'humanité. Une petite boisson rafraîchissante, et vous voilà à raconter votre vie à « Poppo ».
N'ayez crainte, avec beaucoup de délicatesse, d'attention dans le choix de crayon, plume, calligraphie, papier, encre, enveloppe, ou encore de timbre, votre lettre arrivera à bon port, telle que vous auriez aimer l'écrire.
Mais pas seulement. Autour de Hatoko, la nourriture est présente, délicate, savoureuse, elle est prégnante dans tout le roman.
Il y a également l'entourage que nous allons côtoyer autour d'Hatoko.
Un bon moment de lecture qui apprend beaucoup sur le Japon, notamment en ce qui concerne les sentiments.
Une histoire délicate comme le lotus, ou les cerisiers du Japon au printemps…