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3,63

sur 722 notes
Long... tres long.... et je ne parle pas du nombre de page. Une heroine qui ne semble pas peendre conscience se sa rupture avec son mari... Roman beaucoup trop lent à mon goût. L'impression de tourner en rond. Soulagée d'être arrivée à la fin.
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Écriture poétique, descriptions de paysages magnifiques mais je n'ai pas réussi en entrer dans l'univers du roman. On devine l'héroïne tétanisée par la rupture brutale de son mari, son désarroi est perceptible mais l'auteur peine à nous faire ressentir ces émotions. J'ai eu l'impression d'être à distance pendant toute la lecture. Seuls quelques passages descriptifs m'ont touchée.
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Elle a été l'exception, la dernière femme de sa vie.
Loin d'être une déclaration d'amour, ces mots mettent un point final à un mariage heureux. Lorsque son mari Floki lui annonce au beau milieu du repas de nouvel an qu'il la quitte pour son collègue, un autre Floki, spécialiste comme lui de la théorie du chaos, le monde en apparence si parfait de Maria s'écroule. Il la plante sur le champ avec ses interrogations et leurs jumeaux de 2 ans. Comment n'a-elle pu rien remarquer ? Pourtant, les signes étaient là et plus elle y songe, et plus il lui semble bien effet que Floki, le sien, pas l'autre, s'absentait souvent, travaillait tard, s'éclipsait pour répondre au téléphone... Heureusement, Perla, sa voisine envahissante qui cumule les emplois de conseillère conjuguale sans clients et de nègre pour un auteur de polars, incarne une présence attentive et réconfortante pour Maria.
Malgré un sujet délicat, ce roman est délicieusement rafraîchissant et résolument cocasse. Je suis définitivement séduite par l'univers et la plume poétique d'Olafsdottir qui réussit, sans avoir l'air d'y toucher, à nous questionner sur des thématiques importantes. Des personnages décalés et attachants, des intrigues simples mais qui trouvent écho en chacun de nous, le choix des mots justes ; c'est sûr, je suis bien partie pour poursuivre ma découverte de l'Islande en compagnie de Audur Ava Olafsdottir !
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Une femme se voit quittée par son mari qui lui préfère les hommes.Loin de cette idée elle s'épanouissait près de ses jumeaux et dans l'attente d'un adoption.Sa v
oisne,romancière naine l'aide à franchir cette épreuve.Sympa ,sans chercher plus car il y a beaucoup d'incohérence.
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J'aime énormément les livres de Auður Ava Ólafsdóttir, autrice islandaise dont je suis littéralement tombée en amour avec son livre Rosa Candida. J'ai aussi énormément apprécié L'embellie et le rouge vif de la rhubarbe. Mais ça ne peut malheureusement pas matcher à tous les coups...

Je viens de lire L'exception, et je suis déçue. Je trouve l'histoire tirée par les cheveux. Je reste sur ma faim, j'ai l'impression qu'on m'a esquissé une intrigue, qu'on m'a dépeint des personnages attachants, mais que l'on a pas pris la peine de développer l'histoire :/ La fin est d'ailleurs alambiquée, l'autrice y prend la parole en nous proposant diverses possibilités concernant la vie du personnage principal.

Concernant l'histoire pour celles et ceux qui seraient curieux, il s'agit de celle de Maria, femme splendide, mariée depuis 11 ans, mère de jumeaux et travaillant dans l'humanitaire. le soir du nouvel an, son mari, Floki, lui annonce qu'il la quitte pour un homme. Elle était son exception, il est homosexuel. Maria est prise au dépourvue, démunie, et se confie à sa voisine, Perla, une naine écrivaine et conseillère conjugale. Au même moment, le père biologique de Maria, qu'elle n'a jamais connu, refait surface et veut à tout prix la rencontrer. Et pour couronner le tout, l'agence d'adoption contactée il y a 6 ans se manifeste enfin ! Bref, ça fait beaucoup d'un coup, et c'est too much pour moi, je n'ai pas pu y croire... Dommage, car le pitch de base aurait pu être intéressant.
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C'était la première fois que je lisais un livre d'une autrice islandaise. J'ai beaucoup aimé cette histoire (même si, par moment, j'étais gênée par certaines réflexions autour de la virilité, et le personnage de Perla me gonflait parfois). On sent le désarroi d'une personne amoureuse qui se retrouve abandonnée par son mari, et qui revient sur son passé, sur des événements qui finissent par prendre tout leur sens. J'ai envie d'en découvrir plus!
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Ce livre était dans ma PAL depuis un moment, je l'avais échangé dans une boîte à livres, vraisemblablement attirée par la couverture (elle brille, elle a plein de couleurs et une silhouette de chat, moi ça me suffit :)).
Mon défi de lecture de l'année m'a donné l'occasion de le lire et ça s'est avéré beaucoup plus compliqué que prévu.

Déjà, il ne se passe rien ! le mari se barre et puis c'est tout… Les après-midis passés entre l'héroïne et sa voisine sont interminables et inutiles au possible.
Enfin, les pensées des personnages ne sont jamais dévoilées, c'est angoissant comme pas permis… La lenteur et la platitude ont contribué à créer chez moi un grand moment d'ennui abyssal.

Il est reparti au troc immédiatement !
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dès les premières lignes, l'auteur nous plonge dans l'ambiance de l'Islande en hiver : décorations et célébrations de Noël, terre gelée couverte d'une épaisse couche de neige, vêtements en duvet et autres accessoires ont presque réussi à me donner froid par trente degrés ! le décor est bien planté, et ce dépaysement pour le lecteur français fait partie intégrante du charme du récit.

Celui-ci se construit un peu comme une poupée gigogne : après l'annonce de l'homosexualité de son époux, qui la quitte pour un collègue, María va de surprise en surprise, rencontrant toujours de nouveaux personnages et voyant tous les pans de sa vie remis en question de manière plus ou moins brutale.

Témoin de ces bouleversements, son intrusive voisine, Perla, naine aux tenues extravagantes, fait irruption plusieurs fois par jour dans l'appartement de María pour commenter sa situation, l'abreuver d'envolées sur la difficulté du rôle de ghost writer ou de conseils plus ou moins judicieux, et lui extorquer des provisions. Ce personnage haut en couleur et surréaliste remarque fort judicieusement l'inexplicable abondance de faits marquants qui surviennent à la suite, expliquant que tant d'événements ne sauraient se retrouver dans un roman sans que cela semble invraisemblable. L'auteur entame alors un jeu malicieux avec le lecteur : jusqu'où peut-on promener celui-ci sans qu'il s'offusque du nombre de rebondissements ? Qu'est-ce qui est ou non vraisemblable ? La vie n'est-elle pas plus imprévisible que la fiction ?

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Maria apprend le soir du réveillon que son mari Floki, la quitte pour son collègue, prénommé Floki lui aussi. Un homme donc.
Tout est une atmosphère est créée par le biais de l'immersion dans le froid polaire islandais, à l'image des sentiments et de la révélation qui se sont abattus sur sa vie.
Tout est signe, tout est symbolique. Rien n'est anodin et chaque mot résonne juste. La voisine naine conseillère conjugale, nègre pour un auteur de polars, qui s'invente une vie trouve autant sa place que l'époux qui a quitté le domicile.

Les jumeaux de Maria, une fille et un garçon sont les doubles miniatures de leurs parents : la fille étant le sosie de sa mère et le garçon à qui Maria fait couper les boucles blondes pour qu'il devienne plus masculin. Il y a aussi cet autre enfant qu'elle va chercher si loin afin de lui offrir une nouvelle vie, à l'image de celle qu'elle va se construire seule, avec ses trois enfants désormais, une fois que les pages du roman seront fermées.
Il y a aussi tous les indices comme des pistes qu'elle n'a pas voulu voir, elle pourtant femme parfaite, toutes ces fois où l'Homme a menti, a fui, des dizaines de fois, pour d'autres bras.

Pour Maria la rencontre avec la vérité se fait aussi par le biais de l'entrevue avec son père qu'elle découvre, de sa mère qu'elle apprend aussi à connaitre.

Lees personnages de ce roman sont tous des êtres en devenir.

J'ai vraiment aimé l'atmosphère créée par ces nuits sans jour où la pensée tourne en boucle et où ce que l'on pensait figé se détricote, où l'expression des sentiments est gelée par la froideur du climat ; Maria, sans cris, sans colère admet la décision de son époux. Maria, sa foi en la vie et ses sentiments inébranlables...

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Un style très agréable, une histoire dans laquelle je me suis laissée emporter mais des personnages que je ne trouve pas du tout attachants...
Les êtres humains semblent avoir peu d'émotions et d'affects.
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