AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,57

sur 400 notes
Un homme qui sombre suite à la mort de son épouse ! il souffre. Il fait une belle rencontre qui va peut être l'aider à revoir la vie d'une autre façon.
Nous voyageons entre deux eaux ! aujourd'hui en France et hier dans la Grèce antique
Commenter  J’apprécie          40
Laissez vos esprits retrouver un peu cette magie de l'enfance, laissez vous croire au merveilleux, lâchez prise et explorez les archives de votre coeur.
Un livre qui ne vous laisse pas indifferent. Très touchant.
Un véritable ascenseur émotionnel.
Une belle découverte.
Commenter  J’apprécie          32
Dans Croire au merveilleux, on retrouve César, personnage rencontré dans le précédent roman de l'auteur, Plonger qu'il n'est d'ailleurs pas nécessaire d'avoir lu. Depuis la disparition de Paz sa femme adorée, César est inconsolable et dans une telle détresse qu' il décide de mettre fin à ses jours. Son suicide est bien orchestré, Hector confié à ses grands-parents, les médicaments achetés en dose suffisante, César est prêt. Mais son geste est interrompu par la visite de sa jeune et magnifique nouvelle voisine, qu'il va suivre dans un voyage onirique et hellénique où il trouvera peut-être enfin les réponses à ses questions.

Je n'ai malheureusement pas réussi à croire au merveilleux ! Et quel dommage parce que je me faisais une joie littéraire de ces retrouvailles. Peut-être que, tout juste lu après La salle de bal de Anna Hope, ce roman a souffert de la comparaison. Je n'y ai pas cru, je me suis ennuyée…


Lien : http://www.levoyagedelola.com
Commenter  J’apprécie          30
Un très beau roman sur la nécessaire résilience après le deuil de l'être aimé et sur la transmission filiale. Une écriture poétique qui mêle rêverie, mythologie et réalité.
Un bon moment de lecture!
Commenter  J’apprécie          30
Un roman émouvant, érudit, poétique et virtuose où comment survivre au décès de l'être cher. A la fin de premier opus « Plonger », Paz disparaissait et se noyait laissant César et son fils désemparés.
César décide de mourir en dépit du sourire et de la présence affectueuse de son fils, dont le visage et les yeux lui rappellent douloureusement Paz. Comment pourrait-il devenir père dans ces conditions ?
Et puis, une jeune voisine férue de lectures antiques va débarquer dans le quotidien de César, s'intéresser à sa bibliothèque, à lui le quadra triste, noyé dans le chagrin.
Il s'ensuit une quête à Amalfi en Italie où Paz et lui ont vécu leur passion.
Un voyage salvateur en hommage à Paz où le deuil, l'amour, les mythes apaisent, où les sirènes et les Dieux côtoient les vivants.
J'ai aimé l'omniprésence de l'eau qui purifie et noie les larmes. S'y perdre serait vain, César reprendra-t-il goût à la vie ?
Un grand plaisir de lecture que ce roman enchanteur où la vie triomphe en dépit des douleurs et des renoncements aux êtres chers.

Commenter  J’apprécie          30
J'ai été heureuse de retrouver César, que j'avais découvert dans le précédent roman de Christophe Ono-dit-Biot, « Plonger », dans ce roman lumineux. L'auteur nous parle d'amour, de chagrin, de deuil mais aussi de bonheur et d'espoir, tout cela dans une écriture très poétique. La quête de César qui nous mène de l'Italie à la Grèce, de Paris au Japon, entre souvenirs d'enfance et adolescence et nouvelles rencontres, nous baigne dans la mythologie grecque et dans son imaginaire. Ce livre est pour le moins envoutant, et la fin un peu déroutante. « Croire au merveilleux » est un très beau voyage intime, celui d'une renaissance d'un père pour son fils. Un texte et des mots qui font du bien.
Commenter  J’apprécie          30
J'ai lu Plonger et je n'ai pas vraiment aimé, sauf la fin. Je m'étais dit que je ne lirais pas Croire au merveilleux. Et puis, je l'ai vu à la bibliothèque et finalement je l'ai emprunté. Tout ce que je n'ai pas aimé dans Plonger se retrouve ici, en pire.

Je n'avais pas aimé l'étalage de culture, toutes les références à la mythologie car trop, c'est trop. Et bien là, c'est pire. L'auteur a choisi un personnage féminin grec, Nana, comme ça il a un prétexte (si besoin est) pour en rajouter des louches sur la culture grecque. Il nous cite des phrases en grec. Mais rassurez-vous lecteurs incultes comme moi, il en donne la traduction. Et il rajoute ici sa culture sur les meubles de designers. L'égo de Christophe ODB va sûrement en prendre un coup si je le compare à Guillaume Musso, mais pour l'étalage de culture, je les mets dans le même sac. En effet, comme chez Musso, quand César entre chez Nana, il commence par nous donner le nom des créateurs des meubles, très connus peut-être, mais pas de moi.

Je n'avais pas aimé le monde de bobos. Et bien là, c'est pire. Sa Nana vit dans un appartement luxueux plein de meubles de grands designers et on a l'occasion d'assister à des repas et soirées entre gens qui vivent dans un monde de nantis tellement superficiels.

Je n'avais pas aimé l'écriture pompeuse. Et bien là, c'est pire avec de nombreuses phrases ridicules que je ne citerai pas, n'ayant pas le courage d'aller les rechercher dans le roman et de me les farcir une deuxième fois.

Je n'ai pas aimé les descriptions de guide touristique à Chambord, à Chenonceau, en Italie (il y a du basilic, vous le saviez?), aux Canaries.
Je n'ai pas aimé les nombreuses références au terrorisme dont beaucoup sont discutées avec son fils de 6 ans.

L'histoire est sans queue ni tête, même si cela s'explique à la fin. Il m'a quand même fallu me coltiner toutes ces pages avant de comprendre. J'ai encore ici survolé tous les moments d'étalage de culture, les soirées entre bobos, le passage quasi final en Grèce, summum du sans queue ni tête (là on se dit, mais c'est quoi ce délire ?). Et j'ai trouvé la fin au Japon complètement sortie du chapeau et ridicule.
Si vous aimez l'étalage de culture, les fêtes chez les bobos, les histoires sans queue ni tête, ce livre est pour vous. Mais ce n'est que mon humble avis. Après deux romans, ma découverte de ODB s'arrête ici.
Commenter  J’apprécie          33
César a perdu sa femme Paz qui s'est noyée. Il se retrouve seul avec son fils. Mais malgré l'amour que lui porte celui-ci, il n' arrive pas à faire son deuil. Grâce à sa voisine Nana, il va apprendre à revivre.
Ce roman est un voyage de reconstruction, une renaissance. Un récit riche qui nous transporte en Italie en passant par la Grèce et par d'étonnantes Îles !
Commenter  J’apprécie          30
Ce livre est vraiment très bien écrit et l'auteur montre une certaine érudition. Il raconte l'histoire de César, et de son mal de vivre depuis la mort accidentelle de sa compagne adorée, Paz, qui lui a laissé un fils. Il ne parvient pas à surmonter sa douleur et il est tout proche de se supprimer lorsqu'un moment précis du dernier geste, une jeune fille sonne à sa porte. Elle s'appelle Nana, et tout le livre est une quête de l'être disparu à travers cette fille pas tout à fait inconnue de César, et pourtant insondable. Toute la clé de ce roman est dans le titre. C'est une tentative intéressante de lier le réel et le merveilleux, sans tomber dans l'impossible. Une réussite.
Commenter  J’apprécie          30
Le roman de Christophe Ono-Dit-Biot commence au crépuscule. César, jeune père resté veuf, ne souhaite rien d'autre que rejoindre sa femme disparue. Véritable femme monde, celle-ci le laisse démuni, père d'un jeune garçon qui ressemble douloureusement à sa mère.
Et puis, survient l'incursion de l'irréel, de l'impalpable qui le contraint à revoir les limites de sa connaissance et de ses croyances. Croire au merveilleux est le récit d'une errance dans le passé, des retrouvailles avec les mythes de l'enfance, du pouvoir de l'intime et des rêves.
Une quête riche, non linéaire, à la frontière du réel et de l'inattendu. le dialogue intime d'un homme sauvé par ses croyances et par les mythes de son enfance. Un retour salutaire sur les terres du conte pour un récit de passage, de l'enfance à l'âge adulte, de celui qui apprend à celui qui transmet.
Un récit riche, solaire, porté par une écriture dense qui nous transporte de la solaire Italie à la magnétique Grèce en passant par de bien étonnantes îles… Croire au merveilleux est une ode à la reconstruction, aux rencontres improbables, impalpables et merveilleuses. Une oeuvre délicate, entre dialogue et introspection. A découvrir.
Lien : https://leblogdeyuko.wordpre..
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (802) Voir plus



Quiz Voir plus

Monstres de la mythologie grecque

Je suis une créature hybride, mi-homme mi-cheval.

Le Minotaure
Le Centaure
La Cavale
La Manticore

12 questions
3459 lecteurs ont répondu
Thèmes : monstre , mythologie grecque , créatures mythologiques , mythologie , mythesCréer un quiz sur ce livre

{* *}