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3,46

sur 372 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je viens de terminer ce livre après quelques heures de lecture. Donc très cours mais intrigue relativement intéressante. Déjà largement commenté, je ne m'y attarderai pas. Je ne vois pas toujours le lien entre l'intrigue et la notion de peur, qui est le thème principal, mais globalement, tout se tient assez bien. Un petit bémol tout de même, l'écriture est assez détestable. Style et vocabulaire bien souvent familiers. Un peu plus de tenue n'aurait pas nui.
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Deuxième roman que je lis de cet auteur. J'avais lu « du haut d'un brin d'herbe, on voit bien la Terre », une histoire simple est efficace où il est question d'abeilles et de protection de la nature en général. Dans celui-ci, à nouveau le titre à rallonge qui a tendance à me séduire bien que plus difficile à retenir. Par contre, pour ce qui est de l'intérieur, ce n'est pas la même chose.
Bien plus compliqué !

Dans celui-ci, l'auteur évoque la Peur. Celle qui nous cloue sur place et nous empêche d'avancer dans la vie. « La vraie peur est une bonne chose, elle permet d'apprécier le danger et de réagir vite. Mais elle est rare. La fausse peur, la plus commune, cette peur qu'on se fabrique pour des raisons stupides, te tue. »
Il a choisi Paul pour illustrer ses dires. Au début du roman, il a peur de tout mais ne se l'avoue pas. Il va faire des rencontres, ses Yodas, comme il les nomme, qui vont tous aller dans le même sens. Pour se redresser et marcher sur ses deux pieds, il faut qu'il arrête d'avoir peur de tout.

Mais j'ai trouvé le temps long sur ce livre si court. L'auteur aurait peut-être dû approfondir un peu plus les personnages car je n'ai pas réussi à m'attacher à eux. Paul me semble pénible et les autres, le père Zack, Tanaka et Loren, sont assez inconsistants. Et puis il fait plusieurs digressions avant de lancer « mais nous y reviendrons plus tard » !
Je me demandais aussi pourquoi l'auteur avait choisi ce titre ? Il m'a fallu attendre plus de la moitié du livre pour le savoir !

Ce n'était peut-être pas le bon moment pour lire ce livre ou j'en attendais peut-être trop.
Je vais toutefois attendre de le digérer avant de voir si je rajoute un autre livre de cet auteur à ma PAL.
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Comme beaucoup, au vu des critiques déjà parues sur Babelio, je me suis d'abord laissée séduire par la couverture de ce livre qui en fait, dans sa version collector, un bel et attirant objet. Puis un coup d'oeil rapide sur la très légère quatrième de couverture me fit me dire : « Après tout, pourquoi pas ? Qui ne tente rien…. ».
Voici donc ce qui ressort de cette tentative deux jours plus tard.

Antoine Paje a conçu cet ouvrage comme une série de tableaux couvrant approximativement 8 ans de la vie de Paul Lamarche, son personnage principal. Ce dernier relate donc une succession de rencontre avec ceux qu'il appelle rétrospectivement ses « Yodas » - entendez par la des personnes qu'il considère comme des sages - et qui lui ont permis, plus ou moins consciemment, d'atteindre une forme d'éveil sur la question de la compréhension et donc de la maîtrise de ses peurs.

" « Yoddha » signifie « guerrier » en sanskrit et « Yodae » « celui qui sait » en hébreu. Un guerrier de sagesse ? "

Ce court roman, environ 140 pages, de style courant voire familier, s'avère facile et rapide à lire. La forme épurée met en exergue le fond dont le message - exposé dans l'introduction, soutenu dans le corps du récit puis rappelé une énième fois dans l'épilogue - est limpide et immanquable : apprendre à distinguer les « fausses peurs » que l'on se fabrique et les éradiquer comme autant de non sens afin de vivre plus sereinement ou « apprendre à marcher » comme le dit l'auteur.

Seul bémol, même si l'on fait abstraction de l'introduction et de l'épilogue pour ne s'attacher qu'au récit à proprement parler, tout est dit, ou presque, dans le second chapitre « Père Zachary Lamont, Yoda Zach ». le reste ne sert au final qu'à étayer la thèse et enrubanner le tout avec une jolie histoire d'amour très fleur bleue, ce qui n'est en soi pas dérangeant voire agréable même si l'on reste un peu sur sa faim. C'est sans doute le revers obligatoire de la médaille lorsqu'on s'attache à faire passer un message fort mais unique. Cependant, comme le dit si bien Antoine Paje :"" le cheminement importe autant, sinon plus, que la destination." Alors embarquons avec lui et profitons du voyage…

En conclusion c'est un petit roman fort plaisant à lire et qui peut s'avérer utile au développement personnel de chacun, fonction de son degré d'évolution lors de la découverte de l'ouvrage.
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C 'est un court roman sur le cheminement de soi ...On découvre que le parcours est aussi important que l'arrivée .Le mal de notre époque reste la peur sous toute ses formes celle qui paralyse nos choix et fragilise notre perception de la réalité ...L 'écriture est limpide .....Un bon roman initiatique
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C'est la couverture et le titre qui m'ont fait de l'oeil et j'ai succombé sans même lire la 4ème de couverture.

Et il fallait que ça parle des fausses peurs alors oui on ne peut que se trouver dans ce petit roman sympathique à moins d'avoir appris à marcher !
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Je suis un tantinet embarrassée d'écrire mon avis.

Tout d'abord, la couverture m'a clairement induite en erreur. Tout comme le titre. Je m'attendais à quelque chose de plus subtile et délicat. La quatrième de couverture n'était pas très explicite non plus.

Je n'ai pas été convaincue par l'histoire. Ce livre se lit bien. Il est court ; ça aide. Mais l'histoire en elle-même n'a vraiment rien de bien intéressant.

Par contre, j'ai aimé le message délivré : ne nous laissons pas dicter notre vie par différentes peurs infondées. Ce n'est pas simple d'y parvenir. Sans doute pas si simple que l'histoire ne nous le laisse imaginer. Mais je suis en accord avec cela.

Une lecture mitigée donc. Pas totalement inintéressante, mais pas la révélation de l'année non plus.
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J'ai beaucoup aimé les enseignements de ce livre sur la peur, qui nous fait agir de manière totalement inadéquate. Les références à la culture japonaise sont nombreuses et fort intéressantes également. Quant aux « yodas » de Paul, ils apportent à celui-ci des petits « cailloux » qu'il doit semer et que nous pourrons semer nous aussi.
A part cela, je me suis demandé pourquoi faire un roman… L'histoire de Paul en elle-même est plutôt inutile. le personnage de Paul ne devient vraiment intéressant que lors de la rencontre de son dernier « yoda ». Par contre, développer l'histoire de chacun des « yodas » de Paul aurait vraiment eu du sens.
Bref, ce petit roman à la jolie couverture et au titre plein de promesses ne m'a pas conquise, même si certains messages doivent être retenus.
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C'est un court roman initiatique qui ressemble à un conte philosophique. Il nous parle de rencontres avec un R majuscule qui vont bousculer Paul, le faire exister lui qui est obnubilé par la réussite.
C'est une histoire sans prétention mais j'ai beaucoup aimé certaines pensées comme " Nous mourrons tous un jour. Autant vivre pleinement jusque-là".
La lecture fut plaisante et sympathique mais j'ai largement préféré " Mes mots sont les fleurs de son silence" du même auteur .
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Un roman qui traite de la fausse peur, celle qui nous paralyse face à des choix, des décisions, un changement...celle qui nous fait fuir la différence, celle qui nous empêche d'être nous-même! et également des rencontres qui ne sont pas le fruit du hasard car elles apportent le changement en nous, celui que l'on désire secrètement. La découverte de soi un vaste sujet romancé par Antoine Paje, une lecture rapide, simple qui fait réfléchir ceux qui ont besoin de grandir et les amateurs de livres philosophiques...

"je ne sais pas si j'ai trouvé le vrai moi. Peu importe. Je sais juste, et c'est si bête à dire, mais si authentique, si fondamental, que je m'aime enfin, que j'aime les autres et ce qui m'entoure."
"je n'ai plus peur de la fausse peur!"
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J'ai eu l'impression de lire les première jets d'un roman feelgood, auquel l'auteur devait encore ajouter pas mal de chapitres pour développer son récit et les idées qu'il souhaitait transmettre. Là, on a un texte de récit de vie plat et inutile. Un mini article exposant les conséquences de la peur, de manière générale, sur nos vies, aurait été plus adapté au peu d'idées de ce récit!
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