Le livre commence avec l'aigreur d'Iris, sa jalousie envers sa soeur, mais est devenue lucide sur qui elle est vraiment : une personne superficielle, vide, sans coeur. Pendant ce temps, nous vivons le rapprochement entre son mari Philippe et sa soeur Joséphine. Ce rapprochement n'est pas forcément très sain (quand même entre beau-frère et belle-soeur) mais je suis contente pour ces deux-là.
Joséphine, qui avait eu un penchant pour Luca, le largue enfin ! Elle se rend compte qu'il ne se préoccupe pas plus que ça d'elle. Et cette histoire avec son frère jumeau Vittorio qui rabaisse sans cesse Joséphine sans que Luca ne prenne sa défense...
Ce livre est l'objet d'agression mais aussi de meurtre. On sent rapidement que le meurtrier, on le connait. Mais qui est-ce ? On soupçonne Luca, Lefloc-Pignel, Antoine même !
Oui, Antoine, car grâce à Mylène, tout le monde pense qu'il est vivant avec les envois de cartes postales aux filles.
Finalement, on constate, on devine certaines choses intéressantes :
- Vittorio et Luca ne font qu'un (heureusement que Joséphine l'a largué !)
- Hervé n'est pas tout clair avec les règles établies chez lui que voient Joséphine
Je suis sceptique sur la fin tout de même : comment Iris a-t-elle pu se laisser influencer comme ça ? Comment un homme a-t-il pu avoir le dessus sur elle ? Mais sa mort résout bien des choses. Par contre, l'attitude d'Henriette envers Joséphine suite à ce décès reste abominable, haïssable.
Petit bémol sur Junior, le fils de Marcel et Josiane : pourquoi avoir voulu en faire un petit génie ? Dans le texte, on comprend que c'est apparemment
Albert Einstein qui serait redescendu sur Terre dans cette peau de bébé (réincarnation). le petit bout de science fiction, je ne suis pas pour.