L'argument de départ de cette série de BD est un ensemble de pièces anciennes, détenant toutes un pouvoir différent. Les possesseurs de ces deniers forment une société secrète, les "régents", qui gouverne anonymement le monde.
Dans ce troisième épisode, la régente List, femme des plus cruelles, s'est fait voler quatre deniers. Elle est furax et est convaincue que Rose, l'alliée de Yann Gral, est l'auteur de ce vol. Ce n'est pas le cas. Mais lorsque Yann vient sauver Rose à la résidence des régents pour l'Europe (qui ressemble furieusement au château de Chenonceau), List réplique en enlevant la fille de Yann.
Beaucoup d'action dans cet épisode, plus décousu que le précédent. Beaucoup de scènes à déconseiller à de jeunes lecteurs aussi.
Le dessin reste assez faible, Pécau retombe sur ses pattes à la fin du tome, mais n'enthousiasme pas.
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Suite de la série dans la veine des tomes précédents.
De l'action et un scénario qui s'étoffe sans perdre de rythme.
Des dessins et une colorisation en appui du scénario. Efficace.
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Dans le temps on plaçait une pièce de monnaie sous l'oreiller des nouveaux nés. De même avant un mariage on donnait des pièces au curé pour qu'il les redonne aux jeunes épousés pendant la cérémonie... Je pourrai continuer longtemps comme ça !
Les superstitions sont souvent des expériences que l'on a oublié.
"Jour J, qui a tué le président ?", Fred Duval, Jean-Pierre Pécaud, Colin Wilson, éditions Delcourt
Conseil lecture de la bande dessinée par Stéphane Nappez, co-fondateur de l'association Baraques Walden.
Entretien mené à l'Abbaye de Jumièges (département de la Seine-Maritime)
Vidéo : Paris Normandie