Laurence Pelletier parvient à cartographier un espace pour la critique et l’écriture des femmes et à mettre au jour le « désir épistémologique » dont témoignent ces autrices et artistes, leur recherche d’une définition existentielle. Parce que le féminisme est aussi une histoire de formes, c’est dans la création littéraire et artistique que se joue cette quête formelle et que des sujets féminins se trouvent à même de produire un autre savoir – une autre nudité.
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