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« Le gardien de Téhéran » de Stéphanie Perez (grand reporter à France Télévisions) est un livre marquant, je m'en souviendrai longtemps.
C'est l'histoire du gardien du musée d'Art Moderne de Téhéran qui se donne la mission de protéger des oeuvres inestimables, jugées anti-islamiques par les religieux au pouvoir en Iran.

Ce roman, tiré de faits réels, est passionnant et tellement d'actualité.
Je vous le recommande chaudement.
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Nous connaissons Stephanie Perez, grand reporter, qui couvre les grands conflits mondiaux pour France Télévisions. Nous découvrons, ici, son premier roman qui nous raconte l'histoire incroyable de Cyrus, ce gardien du Musée contemporain de Téhéran, héritage des années de l'ère Pahlavi.

Dans les années 70, l'impératrice, la femme du shah d'Iran souhaitait doter l'Iran d'un musée d'art contemporain pour devenir une passerelle entre l'Est et l'Ouest. Elle désirait apporter une preuve de l'ouverture du pays vers le monde et s'ouvrir à l'occidentalisation.
La volonté de l'ère Pahlavi de s'ouvrir à la lumière pendant que le pays allait s'enfoncer dans le noir,
dans l'obscurantisme de cette révolution islamiste.

Coup de coeur pour ce roman inspiré d'une histoire vraie qui nous entraîne dans les méandres de la dictature politique de l'ère Pahlavi et ensuite de la révolution islamique en 1979 et nous fait rencontrer Cyrus, le gardien de ce fabuleux musée.

Devenu gardien de musée malgré lui, Cyrus est pudique et touchant. Au mépris de ce nouveau pouvoir islamiste et de ses fanatiques, il prendra soin de ces tableaux, formidable héritage de l'ancien pouvoir, parfois même au péril de sa vie. Les considérant comme ses enfants, il se fera un devoir de les protéger. Il réussira ainsi à sauver 300 chefs d'oeuvre d'art moderne.

C'est une histoire terriblement émouvante et méconnue. Je trouve particulièrement courageux de la faire connaître au grand public et d'en faire un véritable devoir de mémoire à travers ce livre.

Pour avoir écouté Stephanie Perez prendre la parole au sujet de son livre, elle parlait du « pouvoir de l'art comme arme contre l'obscurantisme » et c'est très bien dépeint dans ces pages.
Cyrus existe réellement (même si son prénom n'est pas celui ci) et c'est l'une de ses plus belles rencontres en 28 ans de reportage. Tout est dit !

Vous l'aurez compris, je vous recommande vivement ce livre.
J'ai appris plein de choses sur ce pays fantastique et tellement riche d'un point de vue culturel et historique. Et qui s'oppose avec cette actualité sombre et sans espoir que nous vivons aujourd'hui.
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L'histoire vraie et touchante sous forme de roman du gardien du Musée d'art contemporain de Téhéran, engagé comme chauffeur de camionnette pour le transport des oeuvres acquises sous le Shah d'Iran au milieu des années 60, collection voulue par Farah Diba et achetée par son directeur artistique. Puis fait irruption en 1979 la contre-révolution islamique de Khomeiny qui chasse les anciens souverains et leur odieux régime. Les oeuvres du musée (des Picasso, Renoir, Bacon, Rothko, Pollock, Warhol...) risquent la destruction par les obscurantistes gardiens de la révolution. le gardien du musée, autodidacte ému par toutes ces oeuvres, va les préserver de la destruction pendant des dizaines d'années en les masquant derrière des oeuvres insignifiantes. Une histoire très touchante sur l'universalité de l'art. Il semble que ces oeuvres, toujours dans le musée d'art contemporain de Téhéran, ne seraient pas visibles du public, mais vu leur valeur incommensurable, elles sont conservées précieusement. Elles appartiennent désormais au peuple iranien.
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« Ce roman s'inspire d'une histoire vraie, celle du musée d'Art contemporain de Téhéran, ouvert en 1977. Un musée dont le destin est intimement lié à celui de son gardien, gamin des bas quartiers, qui a contribué à sauver et à conserver les trésors de l'impératrice Farah Diba lors de la révolution islamique de 1979. »
Ensuite, Stéphanie Perez modifie des noms, ajoute des éléments de fiction et écrit ce premier roman. On ne peut que louer l'intention de ce roman. C'est une ode à l'art, à la culture et à la liberté. Cependant j'ai vraiment peiné à trouver le rythme, la petite musique de l'écriture de l'autrice. Je n'ai pas eu de coup de coeur comme mes camarades anciens jurés du Prix Orange du Livre. Ce n'est donc pas un titre que je défendrai pour figurer parmi les finalistes même si je pense qu'il plaira à un grand nombre de lecteurs.
Je vous laisse donc découvrir l'incroyable aventure de ce jeune gardien de musée à Téhéran, Cyrus Farzadi, qui sauva de la destruction de nombreuses toiles de grands peintres occidentaux. Les passages où il s'ouvre à la peinture sont touchants. Vous pourrez vivre à ses côtés la révolution islamique et comprendre un peu mieux l'Iran.
Stéphanie Perez est grand reporter pour France Télévisions. Elle connaît très bien son sujet. Peut-être a-t-elle eu du mal à franchir la frontière de la fiction et s'affranchir de l'écriture journalistique.
Lien : https://joellebooks.fr/2023/..
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1979, Cyrus Farzadi, 25 ans, se retrouve, par les circonstances, gardien du musée d'arts de Téhéran, musée construit très peu de temps auparavant, volonté de Farah Pahlavi, femme du Shah. Issu des bas quartiers de la ville, rien ne le prédestinait à entrer un jour dans un musée.

En ce mois de mars 1979, la révolution islamique menée par l'ayatollah Khomeini n'est plus qu'une question d'heures. Cyrus s'attend au pire face à l'ignorance et à la morale des mollahs. Il ferait tout pour que les toiles de grands maîtres ne soient pas détruites, mais pourra-t-il les sauvegarder de la destruction ?

Le roman débute par ce mois de mars 1979, puis revient en arrière pour nous faire assister à la construction du musée, puis à l'embauche de Cyrus, en 1977 comme chauffeur chargé du transport des oeuvres achetées partout dans le monde, à des prix exorbitants. le règne du pétrodollar.

J'ai eu peur un moment que l'autrice ne laisse de côté la pauvreté du pays, la censure et la répression contre les opposants au profit de la description des oeuvres et de l'occidentalisation de la société iranienne. Mais que nenni, très vite, elle s'attelle à montrer l'énorme différence entre les très riches et les très pauvres. le faste de l'empereur, pour son couronnement, pour fêter les 2500 ans de l'empire perse, les fêtes où le champagne importé de France coule à flots... pendant que les pauvres ne parviennent pas à se nourrir, vivent dans des taudis et que les opposants sont emprisonnés, torturés par la Savak, la police politique du pouvoir : "Cyrus pense à cette blague qui circule dans toutes les familles : dès lors qu'au moins trois Iraniens sont réunis, l'un d'eux fait forcément partie de la Savak." (p.33)

Bref, tout cela est dit, parfois trop, un peu comme si Stéphanie Perez voulait à chaque fois qu'elle parle du musée érigé à coups de millions de dollars, évoquer la pauvreté pour s'excuser. Ce n'est pas toujours habile si subtil, cela rajoute des pages, certes, mais superflues.

Nonobstant ces remarques, le roman a des qualités comme cette montée de l'islamisme dans le peuple fatigué du régime du Shah et l'aveuglement du Shah et de sa cour : "Mais l'Iran danse sur un volcan. La terre gronde, de plus en plus fort, la secousse menace, l'éruption n'est qu'une question de jours, les flots de colère vont se répandre inexorablement, un magma révolutionnaire et fumant qui menace de recouvrir le pays." (p.108). Les hommes jusqu'alors assez ouverts se referment, obligent leurs femmes à porter le voile, se réunissent à la mosquée. On sent au fil des pages que le mouvement prend de l'ampleur et qu'il sera difficile d'échapper à un changement radical.

Malgré mes réserves, ce roman fluide se lit aisément et il permet d'apprendre sur l'Iran, sur les raisons de la révolution de 1979 qui amènent un régime sans doute pire encore que celui du Shah et sur un homme né dans les quartiers pauvres qui va consacrer sa vie à protéger des oeuvres d'art inestimables. Ce roman s'inspire d'une histoire vraie.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Stéphanie Perez est une journaliste, née avec le choc pétrolier de 1973 (le destin ?), une de ces grands reporters qui ont couvert les conflits du Moyen-Orient : elle connait donc bien l'Iran. C'est son premier roman, plutôt convaincant.
Son Gardien de Téhéran n'est pas un Gardien de la Révolution, loin s'en faut, mais plus modestement le gardien du musée d'art moderne de la capitale iranienne, un musée créé par Farah Diba, l'épouse du Shah, juste avant la révolution des mollahs guidés par Khomeini.

On aime :
❤️ réviser notre histoire contemporaine avec notre guide, Stéphanie Perez, qui nous brosse un tableau éclairant de ces quelques années( des années que l'on idéalise aujourd'hui, mais qui avaient leur face sombre elles-aussi)
❤️ partager l'enthousiasme de Cyrus, le gardien du musée, lorsqu'arrivent les tableaux achetés grâce à l'argent du pétrole, partager sa fébrilité avant la cérémonie d'ouverture, partager son admiration pour la belle et jeune impératrice
❤️ plus tard, déambuler avec lui dans les sous-sols déserts du musée et partager sa crainte de voir les intégristes détruire ces tableaux jugés "décadents".

le contexte :
Quelle histoire incroyable que celle de cette collection de tableaux !
Après la crise économique et énergétique des années 70, l'argent du pétrole coule à flots en Iran et la Shahbanou dispose de fonds illimités pour offrir à son pays une vitrine sur ce que l'art occidental compte de meilleur : Monet, Gauguin, Picasso, Warhol, Rothko, Pollock, ... rien n'est assez beau, rien n'est trop cher, c'est [une chasse aux trésors effrénée, vertigineuse, sans limites de budget. C'est l'argent du pétrole qui paie].
L'inauguration du musée en 1977 est l'événement où se presse tout ce qui compte (aux sens propre et figuré) dans le monde de l'art et la jet-set occidentale, un succès retentissant qui consacre l'entrée du pays dans la cour des grands et dans le monde occidental, la jeune et belle Farah Diba est vite surnommée [l'impératrice des arts].
Mais [les folies précèdent toujours les grandes catastrophes] et bientôt, le peuple ne supporte plus ni l'absolutisme de l'empereur Reza Pahlavi, ni les exactions de sa police secrète (la SAVAK), ni les dérives de l'occidentalisation forcée de la société iranienne, ni l'arrogance décadente des classes aisées, ni l'absence de "ruissellement" de la manne pétrolière : les mollahs chiites prennent le pouvoir en 1979 et brûlent tout ce qui rappelle l'occident : [la collection de l'impératrice, unique au Moyen-Orient, est considérée comme impie aux yeux des nouveaux maîtres du pays].

L'intrigue :
C'est l'histoire du gardien du musée qui nous est contée, une histoire qui épouse celle du pays : un jeune et modeste chauffeur (son nom a été changé pour le roman mais Stéphanie Perez l'a bel et bien rencontré), qui ne sait rien de l'Art mais qui va connaître un destin incroyable puisqu'il va veiller durant toutes les sombres années de l'intégrisme chiite sur une collection exceptionnelle qui vaudra bientôt plusieurs milliards de dollars (oui, vous avez bien lu).

On aime moins :
Le ton un peu "nunuche" utilisé pour nous décrire la vie personnelle du gardien dans son quartier et sa famille : c'est la partie romancée du bouquin (le reste est rigoureusement vrai), un volet nécessaire pour nous faire vivre ce que traverse la société iranienne. On se demande même comment ce bonhomme a bien pu faire pour survivre à tout cela dans la vraie vie, mais dans le bouquin, c'est un peu Oui-Oui au pays des mollahs (bon d'accord, on est un peu sévère).
Pour celles et ceux qui aiment l'histoire de l'art.
Lien : http://bmr-mam.blogspot.com/..
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1979, Téhéran. Poussés par le vent révolutionnaire gonflé de toutes les peurs, de toutes les frustrations, de tous les mécontentements d'un peuple usé par trop d'injustices, deux avions se croisent dans le ciel iranien. L'un mène vers l'exil la famille honnie du Chah, l'autre ramène du sien celui qui porte tous les espoirs de ces hommes et de ces femmes en colère : l'ayatollah Rhomeini. Mais, loin d'alléger la chape de plomb et d'angoisse qui pesait sur leurs épaules, c'est un épais voile noir qui s'abat sur les Iraniens, tressé des interdits et des impératifs d'un islam à la rigueur dépourvue de lumière. Quelle place reste-t-il à la culture et à la curiosité de l'autre dans cet Iran qui s'étrique sous des règles sans humanité ni nuances ? Cyrus, jeune homme sensible et discret se fait le témoin de ce monde qui change, passant d'une violence à une autre. D'abord simple convoyeur d'oeuvres d'art découvrant par hasard un univers de beauté et de connaissances, il devient le gardien dévoué d'un trésor dont il devine puis mesure l'ampleur et l'impérieuse nécessité qu'il y a à la protéger de l'obscurantisme afin de pouvoir, un jour peut-être, l'offrir à nouveau aux yeux du monde.
En ces jours troubles où l'Iran reprend une place prépondérante dans l'actualité, j'ai trouvé très intéressante l'idée de Stéphanie Pérez de nous replonger dans l'un des moments de bascule de ce pays, source de tant de fantasmes. A la lecture de ce texte, m'est revenu le souvenir d'un autre récit, passionnant, touchant, Les passeurs de livres de Daraya, de Delphine Minoui, mémoire d'un autre régime imposé dans la violence, d'une autre culture sacrifiée sur l'autel du fanatisme. Peut-être est-ce le souvenir de la très forte émotion soulevée alors qui a rendu plus fade celle de cette nouvelle lecture ? Peut-être l'impression que ce récit hésite trop à prendre parti entre roman et documentaire ? Si la lecture du Gardien de Téhéran m'a été agréable et très instructive, la plume de Stéphanie Pérez restituant avec assurance le déroulement de ces heures historiques, elle a cependant peiné à susciter, malgré le personnage de Cyrus auquel on la sent attachée à rendre hommage, autre chose qu'un intérêt purement intellectuel, ce qui, avouons-le, est déjà formidable !

Lien : https://magali.bertrand@neuf..
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C'est une histoire vraie incroyable, celle d'un gamin du peuple Iranien qui de chauffeur du musée d'Art Contemporain de Téhéran en 1977 en deviendra le gardien lors de la révolution Islamique en 79et sauvera de nombreuses Toiles inestimables de peintres occidentaux ( Voir la liste non exhaustive en fin de livre) .
Le roman démarre par un avertissement annonçant que ce destin est inspiré d'une vraie histoire et que les éléments historiques sont avérés , seuls quelques noms, détails et scènes ont été inventés et se termine par le fait que cette histoire épouse celle de I'Iran d'aujourd'hui .
C'est passionnant, la première partie du roman nous plonge au sein du musée et de ses protagonistes à travers les yeux du jeune Cyrus: son directeur Kamran Diba et Reza son bras droit inquiétant, Donna Stein l'acheteuse américaine et Lauren l'étudiante anglaise restauratrice et traductrice des oeuvres .
On est ébloui par ce milieu de l'Art , la description des Tableaux est émotionnelle et passionnelle, l'argent coule à flots et l'inauguration est une sublime fête luxueuse.
Ensuite, écrit comme un thriller ( on fibre avec Cyrus lorsque les oeuvres sont en danger) c'est la révolution islamique et dans les rues de Téhéran c'est le chaos . L'ignorance et la morale religieuse prennent le dessus , la peur s'installe.Cyrus comprend vite qu'il lui faut protéger les oeuvres du musée en les dissimulant aux yeux des mollahs.Il va devenir le gardien de ce trésor caché.
En nous racontant ce destin incroyable , S.Pérez écrit une ode à la culture, à l'art et à la liberté lumineuse.
L'esprit de ce gamin du peuple s'est ouvert grâce à sa rencontre avec le monde de l'Art, ses émotions face à la beauté des toiles l'ont changé .
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Une lecture coup de coeur .

Nous sommes en Iran . Ce roman est base sur une histoire vraie.
L'auteur a rencontre le gardien du Musee d'art contemporain de Teheran.
Ce gardien se prénomme Cyrus.

Tout commence a l'époque du Shah dans les années 70 .
Sa nouvelle femme Farah Diba souhaite moderniser le pays en créant un Musee d'Art qui regrouperaient les plus belles toiles des peintres du monde entier.
L'argent coule a flot. L'iran fait l'acquisition des plus belles toiles.

Mais voila l'histoire de l'Iran se poursuit et le Regime change . Désormais, a partir de 1979 la révolution islamique a lieu.
La religion est le seul maitre mot et les toiles ne peuvent plus être exposées car ceux so t devenus des objets non pieux.

Que vont devenir ces toiles si convoitées par le monde entier ?
Seront elles incendiées tout comme les cinema qui diffusaient des films americains?
Vous connaissez déjà la réponse puisque a ce jour ces toiles sont toujours sollicitées pour des expositions.

Car Cyrus ce gardien de Musee a veillé sur elles .
Venez faire la connaissance de Cyrus employé a ses début en tant que chauffeur puis devenu conservateur du Musee. Il vous parlera de chaque toile grace a son petit carnet . Sans doute un objet tres cher a ses yeux.

Une lecture passionnante. On entre dans l'atmosphère du pays très rapidement.
Je ne m'intéresse pas particulièrement aux peintures mais la je me suis surprise plusieurs fois a aller sur internet pour voir ces toiles dont Cyrus me racontait l'histoire.

Un seul regret sur cette lecture . J'aurai aime qu'il soit un peu moins court
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pour son premier roman, stephanie perez , reporter a france televisions depuis plus de 25 ans , a choisi de partir d une histoire vraie, celle du musee d a rt contemporain de teheran et de son gardien. Inauguré en grande pompe en 1977 , sortie de la volonte de farah dibah, la femme du shah , et rempli des plus grands maitres contemporains et impresionnistes ( picasso, renoir gauguin ) le musee ferme brusquement aux premiers jours de la révolutionn de 1979, les toiles jugées impies , deviennent inacessibles et tout ce qui évoque l occident est condamné. Dans le chaos de tehéran, un homme veille et resiste : le jeune gardien du musee qui déploie toute son ingeniosité pour sauver les oeuvres de la destruction. Son histoire , reelle elle aussi, est incroyable. le gardien de teheran nous plonge dans ces annees de bascule ( le faste de la fin du regne du shah) puis le couperet de la révolution. une ode à l art et au courage de ceux qui le defendent a tout prix
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