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3,85

sur 1853 notes
J'ai vu beaucoup de très bonnes critiques sur ce livre. À priori, tous les ingrédients étaient réunis pour me séduire : énigme, histoire, enquête, meurtres.
Et finalement grosse déception.
Sans parler de pages entières sur les figures d'échecs (auxquels je ne comprends rien !), les actions des uns et des autres carrément improbables.
Des morts dont tout le monde se moque.
Une nympho qui sniffe des substances illicites à longueur de temps.
Une restauratrice de tableaux qui se retrouve au coeur de tout ceci.
Et un final décevant.
Pourtant, je tournais autour de ce livre depuis longtemps !
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Littérature, art culture et suspense...excellente découverte que ce livre voici quelques années qui avait bien cartonné.. j en ai lu quelques autres de Perez Reverte qui m ont moins marqué mais qui étaient pas mal...en tout cas bon kiff de lecture pour celui là!
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Julia est une jeune restauratrice de tableaux. Elle travaille sur la partie d'échecs de Pieter van Huys : deux chevaliers assis de part et d'autre d'un échiquier sur lequel se déroule une partie. Au second plan, une femme de noir vêtue tient un livre. Les rayons X révèlent le message : qui a tué le chevalier ? Mais alors, qui sont les personnages du tableau, qui est le chevalier, et qui l'a tué ? Quand les recherches de Julia sont suivies d'un meurtre, l'histoire prend une autre tournure.Il n'est pas nécessaire de jouer aux échecs pour apprécier le roman. Seulement les quelques pages techniques consacrées à la partie d'échecs n'apportent rien. Reste un roman policier agréable.
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J'ai aimé les personnages, même ceux qui meurent en cours de route.
J'ai aimé le tableau et son inscription cachée.
Mais j'ai moins aimé la partie d'échec, trop technique à mon gout.
J'ai cependant aimé que cette fameuse partie, ou plutôt la façon dont les pièces se déplaçaient aient un rapport avec l'intrigue policière. Ca c'est du grand Art.
Mais le style un peu trop ampoulé, les descriptions parfois inutiles ont eu raison de ma patience, et j'ai terminé ma lecture en avance rapide.
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Julia, jeune restauratrice madrilène, travaille sur un tableau du XVe siècle. Celui-ci montre une dame en deuil observant la partie d'échecs que disputent son noble époux et un preux chevalier. 
Lorsque Julia découvre une inscription demandant "Qui a tué le chevalier ?", elle comprend que ce tableau cache une véritable énigme. Elle fait donc appel à Muñoz, un génie des échecs, pour rejouer à l'envers la partie peinte et percer à jour ce mystère vieux de cinq siècles.
Sauf que, pendant ce temps, un assassin joue la partie à l'endroit …

Écrire un roman, c'est coton. 
Écrire un polar, c'est franchement dur. 
Mais écrire un double polar, contemporain et historique, demandant des connaissances artistiques et mathématiques, et de jouer une partie d'échecs à l'envers et à l'endroit, tout en maintenant en haleine jusqu'aux profanes de l'échiquier … là, c'est l'Everest de la littérature !
Et avec cette intrigue doublement tordue, ces personnages finement construits et cette atmosphère de "pluie, gabardine et nuit noire" à la Dick Tracy, le célèbre romancier espagnol Pérez Reverte montre qu'il est un sacré alpiniste.

Cependant, l'écriture, c'est comme tout, ça vieillit ! Ce roman a trente ans et ça se sent : - narration à la 3ème personne mais qu'avec le point de vue de Julia,
- phrases longues voires bavardes et indigestes,
- explications de chaque coup aux échecs, parfois franchement difficiles …
C'est pas très moderne et ça peut rebuter.

Mais si ça ne vous refroidit pas, foncez !
Pour ma part, je n'avais pas du tout vu venir l'identité des deux assassins.
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J'ai abordé ce livre selon sa classification "roman policier".
Ce fut là une première raison de rester sur ma faim. L'intrigue policière vient
vraiment au second plan et ne sert que de trame, voire de prétexte au roman.
Le fait de traiter de la peinture flamande et d'émailler le parcours de phases de jeux d'échec m'apparaît comme une excellente idée.

Entrer dans des mondes différents est d'ailleurs un aspect important pour moi dans la lecture de ce genre littéraire. Ce fut là la deuxième raison de rester sur ma faim car l'ensemble est articulé de façon confuse. Dans un roman policier il est logique que l'auteur cherche à "promener" son lecteur, ici il le perd.

La troisième raison de rester sur ma faim réside dans le dénouement car les explications du meurtrier restent également assez confuses.

Enfin, reste le style. Là aussi j'ai trouvé une certaine confusion ou tout au moins un manque de continuité nécessitant de s'adapter selon les moments et nuisant donc au déroulé de la lecture.

En conclusion, je ne peux pas dire que c'est un mauvais ouvrage mais il faut l'aborder en sachant que l'aspect policier ne porte pas le roman. A partir de là, on peut se concentrer davantage sur le contenu traitant de l'art et par conséquent en apprécier la teneur.

Il en découle qu'il est difficile donner une note.
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Premier roman d'Arturo Pérez-Reverte que je découvre en compagnie de ma femme.
Nous faisons la connaissance de Julia qui est restauratrice de tableaux. Elle restaure un tableau de Pieter van Huys qui s'intitule " La Partie d'échecs ". Au fil de sa restauration, elle découvre une inscription cachée, laissée par le peintre et qui dit " Qui a pris le cavalier ? ", et qui peut se traduire par " Qui a tué le cavalier ? ".
Suite à cette découverte elle va partir à la recherche de l'histoire du tableau, tout en étant obligée de participer à une partie d'échecs en corrélation avec la fameuse partie d'échecs du tableau.
Elle sera aidée par César, proche ami et antiquaire de son état, Menchu, propriétaire d'une galerie d'art et négociatrice pour le tableau et bien sur, Munoz, très bon joueur d'échecs qui aidera Julia à aller de l'avant. Autour d'elle, il y aura des meurtres et des questionnements qui l'entraineront dans une aventure échiqiuère.
L'auteur nous immerge dans le milieu de l'art, de la restauration de tableaux et bien sur, sans oublier, les échecs.
Roman bien ficelé et haletant.
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Une jeune restauratrice de tableau doit travailler sur une oeuvre d'un peintre flamand. Elle est confrontée à une série d'assassinats codés en référence au tableau. Une énigme se dénoue de façon sophistiquée, comme dans les films de Peter Greenaway. Bien documenté, habile, intéressant.
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Il est exceptionnel que j abandonne la lecture d un livre. Mais là malgré des efforts je n' ai pas pu continuer. d'abord il faut s'intéresser de très près aux échecs, ce qui n est pas mon cas. Ensuite je ne sais pas où classer ce roman, policier, art ?
Et l histoire s effaçait au fur et a mesure des pages tournées, pas moyen de rentrer dans cette histoire.
Tant pis pour moi, mais je ne veux pas me forcer à finir un roman que je n aime pas
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Arturo Perez-Revertele tableau du Maître Flamand***1/2. Fin le 23 février 2023

J'ai adoré du même auteur « Deux hommes de bien », l'histoire du voyage de deux intellectuels espagnols en France pour ramener l'Encyclopédie et Diderot et D Alembert. Là, nous sommes dans une « niche » catégorielle, celle des « polars artistiques » où l'histoire oscille entre présent et passé autour d'un Tableau du XVIè siècle qui entraîne des morts autour de Julia, l'héroïne de l'histoire. le tableau représentant une partie d'échec, l'assassin joue avec les protagonistes en continuant la partie d'Echec du tableau, sauf que cela se traduit par de vrais morts dans le temps présent…

A partir de cette brillante trame, Perez-Reverte se perd un petit peu dans son histoire. Qui trop embrasse mal étreint et le livre devient rapidement bavard et vain…Sans doute est-ce lié à la volonté de l'écrivain (qui écrit magnifiquement, et qui est magnifiquement bien traduit) de limiter au maximum les personnages de l'histoire et les ramifications pour ne pas perdre le lecteur. Effectivement, malgré la complexité de l'histoire, le lecteur n'est jamais perdu. Mais il s'ennuie un petit peu et on ne retrouve pas le souffle d'autres livres…j'ai quand même sur ma liste, à lire d'urgence « Club Dumas ». A très vite, donc.
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