Croyant prendre un petit livre pour les jeunes dans la section documentaire, je me suis retrouvé avec un livre beaucoup plus large, long et lourd que prévu. Difficile à mettre dans un sac, à moins que c'est celui pour l'épicerie ou un sac à dos. Tout long de ma lecture, j'ai appris pas mal sur les mythes et les légendes du monde entier. de plus, on nous montre des peintures inspirer de ces mythes expliquant les personnages et leur fonction dans ces histoires millénaire. Ce fut fort intéressant et les peintures sont magnifiques. À lire absolument pour ceux qui veulent relire leurs classique en 124 pages.
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Moi qui suis fan de mythologies anciennes j'ai été conquise par cet ouvrage. Facile d'accés, bien illustré, avec un panel de mythes assez consistant.
Le livre offre une vue d'ensemble sur plusieurs cultes de régions du monde assez variées donc il ne faut pas s'attendre à des informations trés détaillées, l'auteur s'est contenté de survoler les croyances sur un plan général.
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Les Walkyries sont des êtres surnaturels qui jouent des rôles divers : elles partagent la vie d'Odin dans le palais du Val-hall, où elles servent de la bière aux ombres des soldats morts; elles participent aux combats en armure et décident de la victoire et de la défaite. "Walkyries" signifie littéralement "Celle qui choisit qui succombera".
Le labyrinthe tire son nom de la hache rituelle crétoise à deux têtes , le labryx, qui était peut-être utilisée dans la célébration de rites religieux crétois dont nous n'avons aucune trace, auxquels se rattache probablement la légende du Minotaure.
On retrouve le mythe du déluge au Pérou et en Chine. chez les Aborigènes d'Australie et parmi de nombreuses civilisations indigènes d'Amérique du Nord, entre autres dans le mythe Mandan de l'homme seul (voir p. 94).
Lohengrin, le Chevalier au cygne, est le héros d'un mythe médiéval européen qui finira par faire partie de la légende arthurienne, où le héros devient le fils de Parsifal, le chevalier du Graal (voir Perceval p.80).
Cette combinaison du plaisir et de la souffrance ne se rencontre pas qu'en Inde. La grande déesse de la Mésopotamie antique, nommée Ishtar ou Innana, combine également le rôle de déesse de l'Amour et de la Guerre.