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3,84

sur 479 notes
Il y a tout ce qu'il faut dans ce livre et inutile d'être expert en Poker pour pouvoir suivre.

Des personnages super attachants, une intrigue qui pousse à tourner les pages, un univers atypique et un vrai sujet de fond. Sans parler du style de l'auteur. C'est percutant, juste et drôle.

Situations cocasses, dialogues truculents, personnages charismatiques et scènes visuelles m'ont fait rigoler à plusieurs reprises.

Un thriller pétillant, émouvant et qui met les femmes à l'honneur. Que demander de plus ? J'ai vraiment passé un excellent moment de lecture et je suis ravie de cette belle découverte.
Lien : https://livrite.fr/joueuse-d..
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Excellent. Chaque personnages principal, Zack, Baloo, Maxine et même le petit Jean a un un passé - ou un présent pour Jean - bien chargé. Zack et Baloo - amis d'enfance - écument les tables de poker ; leur numéro est bien huilé. Maxine a une vie plus sombre, elle excelle au poker et souhaite se guérir d'un passé plus sombre encore.
Les aventures se succèdent de manière palpitante. J'ai dévoré ce bouquin dans la journée. il est addictif. On a envie de savoir. On retrouve dans ce livre des thèmes abordés dans Mamie Luger à savoir les violences faites aux femmes, des excès de langage aux pires abominations. L'auteur propose ses justiciers et ça fait du bien. Un excellent livre à mettre entre toutes les mains.
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Première découverte en 2020 de Benoît Philippon. Certains diront qu'il était grand temps.. Ils auraient raison ! Impossible d'expliquer ce qui m'a tant fait hésiter à le découvrir, peut-être un peu son précédent roman ayant pour héroïne une grand-mère déjantée, ne sachant pas trop ce qui m'attendait, du burlesque, du roman noir comique ? Toujours est-il que ce n'est pas trop mon genre de porter un auteur aux nues. Et pourtant… Vous savez maintenant que lorsque je crie au génie, il faut se précipiter chez son libraire. Vous faites comme vous voulez, je vous livre simplement ma propre expérience : quelle injure de ne pas avoir lu cet auteur plus tôt ! Je ne vais pas finasser, et vous obliger à lire la totalité de cette chronique avant de vous livrer ma redoutable conclusion (et mes plus plates excuses) cet écrivain est un virtuose des mots. Je le place désormais au panthéon de mes auteurs-talismans, à suivre, à savourer pleinement, à me nourrir de son phrasé. Je me suis littéralement délectée de son écriture. C'est la première chose que je voudrais que vous reteniez : il écrit prodigieusement bien, un talent d'écriture racé qui flirte avec le prodige. C'est piquant, précis, drôle, parfois satirique ou cynique. Sa respiration graphique est imagée, originale, inhabituelle, ses associations de mots savoureuses : ainsi, dégustez le génocide du houblon, l'ego dans les glandes, le Thermomix du cul… et j'aurai pu en relever des centaines. Je ne parle même pas de la flagrance des idées, balancées de ci de là qui déclenchent de vraies réflexions tant elles sont vraies, sincères et finalement évidentes. Les pages succèdent aux instants de silence pour en savourer les combinaisons. Une quintessence d'idées profondes, un travail vraiment remarquable autant sur la forme que sur le fond.

Sur la forme, pas grand-chose à dire si ce n'est les éloges cités plus haut, qu'en est-il sur le fond ? L'histoire s'articule autour de deux personnages spécialistes de poker professionnel, Zack et Baloo. le premier calfeutré « dans sa carapace émotionnelle » a appris le mensonge, le bluff et la manipulation. « Être un roi parmi les losers plutôt qu'un prince parmi les winners » est sa marque de fabrique, la motivation qui l'aide à avancer. S'il est « mort à l'intérieur », obligé de cacher ses sentiments aux autres pour mieux user de manipulation, il n'a pas d'attente, pas d'engagement. Il peut apparaître comme facile à détester et pourtant, que je l'ai aimé ce gars au coeur barricadé ! Son compère Baloo tempère parfois son manque d'empathie, il « prêche la bonne parole aux âmes en perdition sur son chemin de croix ». S'il a quelques problèmes avec lui-même, il est le sauveur des dames en détresse, un homme dont la conscience le taraude pour rester sur le droit chemin, celui de la justice. Ce duo s'équilibre parfaitement. Attachant, il peut aussi être tranchant lors d'une impossible communication verbale qui ne peut se régler qu'à la force des poings. Lorsqu'ils rencontrent Maxine, « une putain de guerrière », Zack et Baloo ouvrent la porte de leur duo pour une mission spéciale : participer à la partie du siècle, mise de départ 500.000 euros. Maxine « humilie les hommes pour se purifier. Par cette vengeance, elle cautérise ses plaies. » Elle est un « cheval en panique », « brûlée de l'intérieur », une sorte d'âme en perdition qui cache des secrets inavouables et de terribles souffrances. Benoît Philippon a donné vie à trois personnages de toute beauté, créant un attachement immédiat pour trois personnalités très différentes, mais complémentaires, en les faisant grandir, s'épaissir, « s'humaniser » dans un road trip qui sonne comme un parcours initiatique les menant sur le chemin de la vengeance, et donc de la guérison. Sur la route, Maxine prend sous son aile un quatrième personnage, Jean 7 ans, battu, et surdoué. Il a l'intelligence des mots, mais aussi des émotions, une maturité certaine dont il fait profiter ses compères, « il a un truc, une sorte de pouvoir. » L'apparition de ce gosse, solaire, lumineux, ajoute à l'ensemble, une humanité singulière à ce trio qui semble dénué de toute émotion, mais qui au fond ne l'est pas. Les émotions sont simplement verrouillées à double tour pour s'affranchir de toute forme de vulnérabilité.

J'ai aimé le parallèle proposé par l'auteur entre le poker et la vie. Certaines cartes sont distribuées au départ, mais rien n'empêche de changer sa main, à coup de tentatives, de sentiments, de mensonges, de bluff, de révélations de vérités. Ce roman délivre également un formidable message sur l'amitié, mais pas de celle qu'on garde à tout prix. Elle est le fruit d'une concordance de valeurs morales et de lignes à ne pas dépasser. « Ce qui te sauve, c'est que t'as jamais perdu le contrôle, mais je te surveillais. Et je flippais, mec. T'as pas idée comme je flippais… Parce que si je t'avais surpris à déconner avec l'une d'elles, ne serait-ce qu'une fois, si t'avais passé la frontière, du bout de l'orteil, je t'aurais cassé toutes les dents. Une à une. Et crois-moi, ça m'aurait brisé le coeur. Mais je t'aurais cassé les dents… C'est réconfortant de savoir que son meilleur ami veille sur soi. Même si ça veut dire se faire ravaler la façade. » Enfin, ce texte est résolument féministe et fait la part belle aux femmes par l'intermédiaire de Maxine. Si elle s'attaque au « résidu du mâle alpha », ce n'est jamais sans raison, et vous comprendrez d'où lui vient cette nécessité jouissive d'une humiliation cruciale des exactions commises par les hommes sur les femmes. Certains passages sont jubilatoires et je dis merci à Benoît Philippon d'avoir eu le courage d'orchestrer quelques chutes de piédestal, « une castration nette et sans bavure. » Maxine a le courage que nous devrions toutes avoir, malgré les blessures qui ont germé durant l'enfance et qui changent à jamais notre personnalité. J'y lis un espoir que s'en sortir est possible, parfois la baraka change de main.

Sans rien dévoiler, un petit mot sur la fin directement adressé à Benoît… J'ai personnellement souvent rêvé de ce moment où enfin des choses essentielles peuvent être dites parce qu'il est capital pour l'autre de les entendre, et pour le locuteur de les formuler. Cette fin magistrale est le paroxysme du roman. Elle vous fait dresser les cheveux sur la tête, vaciller et blêmir, tant la justesse des situations et des mots est authentique. Une fin à la hauteur de cet incroyable roman.

Je ne sais pas s'« ils ont raison chez Disney », mais il en faut peu pour être heureux. Moi, en tout cas, il m'en faut peu. Un roman de cette qualité et je touche les étoiles du doigt. Joueuse  est un très grand roman. D'ailleurs, je crois que votre libraire vous attend….

Lien : https://aude-bouquine.com/20..
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L'année dernière sur les réseaux sociaux, c'était une déferlante de photos et d'éloges pour Mamie Luger de Benoît Philippon. Bien que le roman soit toujours dans ma PAL, je n'ai pas encore dégagé le temps de me plonger dedans (mais je jure que ce sera fait cet été !). Aussi, quand dans le cadre du Prix des Lecteurs catégorie Polar, j'ai vu que le roman suivant, Joueuse était arrivé dans mon antre, j'y ai vu l'occasion de découvrir la plume de cet auteur.

Dès les premières pages, j'ai été propulsée aux côtés de Zack, Maxine, Baloo, trois jokers de poker invétérés et Jean, un enfant surdoué. Bien que néophyte de l'univers du poker et des règles du jeu, cela n'a aucunement entravé ma lecture. L'intrigue tourne essentiellement autour de Maxine et de son désir de vengeance, les raisons de son aversion pour une personne haut-placée restent secrète jusqu'à la toute fin de Joueuse. Entre temps, c'est nombre de rencontres et de rebondissements qui s'y déroulent, Zack et Maxine formant un tandem qui ne passe pas inaperçu. J'ai adoré les personnages de Baloo et Jean. le colosse noir qui porte bien son surnom emprunté à l'ours du Livre de la Jungle et le petit garçon surdoué (bien mature pour son âge !) sont la bouffée d'air frais qui rendent les horreurs perpétrées bien supportables.

Joueuse a été une très bonne découverte. La plume de Benoît Philippon est fluide et agréable à lire, j'ai vite dévoré ce roman. Je me suis laissée porter au fil des pages, aux côtés du quatuor détonnant dans leur aventure folle de joueurs de poker dans les lieux les plus sombres et interdits.

La petite référence à Mamie Luger au début du roman m'a parfaitement rappelé que le roman m'attendait dans ma PAL et vu mon engouement pour Joueuse, il sera sorti dans les prochaines semaines.
Lien : https://desplumesetdeslivres..
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J'avais très peur en commençant ce deuxième roman de la sélection d'avril du prix des lecteurs. J'avoue que le résumé ne m'emballait pas du tout ! (Un roman sur le poker, vraiment ?) (Mais en quoi est-ce un polar ?) Bref, je ne comprenais pas vraiment. du coup, j'ai commencé ce roman sans grande conviction, et le début ne m'a pas du tout intéressée. Je connais le poker, et je sais y jouer, mais je ne voue pas un intérêt particulier à ce jeu.

Et puis, au bout de quelques pages... On rentre dans l'action. On découvre plus profondément les personnages : Maxine, cette femme "badass" qui porte un lourd secret et un désir infini de vengeance, Zack, ce joueur invaincu au poker mais pas en amour, Baloo, dont le surnom est franchement ironique pour quelqu'un qui n'a pas goût à la vie mais qui est pourtant adorable, et Jean, cet enfant surdoué de 7 ans qui balance les meilleures punchlines du monde. Un cocktail carrément explosif, pour une dernière partie de poker magistral.

J'ai vraiment adoré ce livre. Genre vraiment vraiment. Pourtant, ce n'est clairement pas mon genre de bouquin, à première vue. Comme quoi ! J'ai été complétement embarquée dans cette histoire dangereuse et fascinante, surtout par les personnages, tous différents mais attachants. Même si certains passages sont durs, ce bouquin est fantastique.
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J'ai découvert la plume de Benoit Philippon avec Mamie Luger, et ce fut une claque!
J'en redemande. Et j'ai été servie!

On retrouve dans ce roman des personnages haut en couleur et avec des plaies à vif par rapport à leurs passés. Ce type de personnage est très intéressant, complexe, et je trouve que l'auteur leur donne du corps et de la profondeur.

Zack tout d'abord, un brin séducteur et sûr de lui. Il a le poker dans le sang, une histoire de famille. Bon joueur, mais aussi très bon tricheur (avec lui même et avec les autres).

Baloo, qui même s'il chante "il en faut peu pour être heureux", est bien loin du personnage tendre de Disney. Histoire de famille sombre et cruelle. Il tente de se sauver en chassant ses démons en vue d'une rédemption, tout en flirtant avec le suicide. Et un jour, au milieu d'une énième déprime, il a une illumination qui va changer sa façon de voir les choses.

Maxine, personnage féminin, dont on ne connaît pas l'histoire personnelle au début (et dont l'ultime révélation arrive à la fin, même si j'avais hélas découvert assez vite le fil rouge) mais qui laisse entendre que sous sa carapace et son beau sourire se cache un passé des plus difficile... Une digne héritière de Berthe en quelque sorte, qui va se battre à sa façon, pour panser ses plaies (au sens propre et au sens figuré).

Les trois là ont un point commun : le jeu et le poker, ils sont tous des joueurs invétérés. Ils sont forts et s'enivrent de victoires, de manipulation. Ils vont se chercher, se prendre la tête et partir sur les routes pour des parties de cartes et des bastons, jusqu'à la partie "finale".
Un petit personnage, Jean jeune surdoué, est pris sous les ailes de ces drôles d'acolytes.
Le tout faisant un drôle de gang, un quatuor pas très catholique, qui va partir dans un road trip (ou une croisade) sur fond de vengeance. Un coup de bluff?

La façon de décrire ses trois personnages fait que l'on s'y attache.

La plume de Benoit Philippon est fluide, cash et acérée, le tout avec une grosse douce d'humour (parfois noir je l'avoue). J'avais adoré cela dans Mamie Luger et là, je suis encore conquise. Il n'y va pas par 4 chemins, et ça fait mouche.

Les dialogues sont savoureux et les personnages ne manquent pas de répartie.

Certains passages sont dures, mais très réalistes, sur des sujets de société très sensibles.
Petit bonus : un court passage où Maxine écoute la radio, sur un fait divers : c'est Berthe! Quel bonheur de retrouver Mamie Luger sur quelques lignes.

Un polar noir, mais aussi tendre (oui je sais que ce n'est pas évident à concilier et pourtant l'auteur y parvient très facilement). Et surtout il est totalement addictif et captivant, sur un rythme très soutenu et haletant! Les mots sont puissants, les personnages dévastés et très touchants!

Faites vos jeux les Reader's!
Lien : https://sawisa.wixsite.com/y..
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C'est toujours un plaisir que de retrouver la plume acérée de Benoît Philippon. J'avais déjà craqué sur sa Mamie Luger mais aujourd'hui il nous propose un portrait féminin plus jeune et beaucoup plus trash. Celui de Maxine qui combat ses douleurs à coup de cutter et à coup de poker. Face à elle, un duo d'amis d'enfance Baloo le grand noir costaud et Zack le beau gosse pour qui la vie se résume aux tournois de poker professionnel ou non qu'il gagne en général. L'exploration des blessures d'enfances que l'on se trimballe encore à l'âge adulte, nous donne un aperçu du combat de ces trois personnages sans oublier un petit joker. Jean à peine 6 ans et déjà un QI qui dépasse tout le monde. Joueuse ne se lit pas, elle se dévore, on découvre de quoi sont fait les personnages. Ils sont multiples et denses de quoi les apprécier et s'y attacher. Une ambiance à couper au couteau, une vengeance dont on subodore qu'elle sera terrible. Une Maxine, féminine qui fait tourner la tête à tous ceux qu'elle croise. Une Maxine féministe qui ne supporte pas le machisme des hommes et leurs écarts libidineux. Une partie de poker qui nous emporte dans les méandres des bas fonds, pour mieux faire table rase. C'est caustique, cela ne s'embarrasse pas de politesse mais vous prend aux trippes et vous retourne aussi facilement qu'une crêpe. Un style d'écriture qui fait mouche avec des touches d'humour qui viennent éclairer un univers bien sombre. J'ai personnellement adoré tous les passages avec le petit Jean qui m'a conquise dès le premier instant. Un règlement de compte qui demande du courage mais dont on comprend qu'il est essentiel à la survie. Et que dire de la couverture qui est juste sublime à la hauteur de Maxine, froide coupante et surtout déterminée. Bonne lecture.

Lien : http://latelierdelitote.cana..
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Ce roman, je l'attendais. Alors quand j'ai pu me le procurer en avant-première au festival Bloody Fleury, j'étais vraiment impatiente de le commencer. Et puis, j'avais des lectures pour le travail, des week-end chargés et il a traîné sur ma table basse. Aujourd'hui, je me félicite. Parce que pour supporter ce confinement il fallait bien un roman de Benoit Philippon.

J'ai découvert cet auteur avec Cabossé, un roman que j'ai tellement offert que je n'ai plus d'exemplaire chez moi. Un roman noir lumineux, une véritable révélation. Et puis Mamie Luger, qui m'a fait rire et pleurer, tout à la fois.
Cette fois, c'est Joueuse. Un roman différent, qui se passe dans le milieu mafieux et mystérieux du poker, où l'on ne retrouve ni Roy, ni Berthe (quoique) mais qui reste un road-trip de justiciers bien cabossés par la vie, aussi petits soient-ils.
Maxine, en premier lieu, la joueuse du titre. Une nana comme on aime, du genre qui se lève et qui se casse. Qui a été bien trop malmenée pour laisser passer.
Zack, un mec un peu paumé, un brin tricheur, loser magnifique qui va croiser le chemin de la belle.
Et puis Baloo, mon préféré, parce qu'il est le parfait mélange de Roy et de Luther (cf les autres romans, c'est pour vous inciter à les lire). Un gentleman suicidaire qui ne supporte pas l'injustice et démonte pas franchement à la régulière les agresseurs en tout genre.
Et donc tout une galeries de connards qui vont croiser leur chemin.

Ce n'est pas si souvent que l'on trouve un roman qui mêle une histoire qui tient la route, un style qui claque et des personnages attachants. Et jusqu'à la dernière partie de poker, où tout le monde jouera cartes sur table. Sans temps morts, c'est une lecture addictive, qui parfois va loin, mais qui nous emporte toujours. Parce qu'au milieu de tout ce marasme, il reste la tendresse, bordel. "Trouver du sens au chaos" dit le slogan de la collection. Cette lecture m'aura permis en tout cas de trouver un certain sens à ce confinement.
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J'ai aimé tous les romans de cet auteur!!!!
Ce fut un régal à chaque fois...
C'est un sans faute !!!
La vie est un jeu... Avec des cartes ou pas !!!!!
Un peu cabossés dans la vie.. . Ils vont se rencontrer pour ne plus se quitter...
La vie parfois est faite de merveilleuses rencontres !
Il y a des sacrés coup de poker à faire !!!!
C' était drôle et plein de punch !!!
Et quel rythme...
J'attends le prochain avec impatience... Je serai au rdv...!

📖Maxine est une de ces femmes à qui rien ne résiste. Elle tombe sous le charme de Zack, joueur de poker professionnel comme elle, mais elle n'en montre rien. Qui maîtrise à la perfection l'art de la manipulation ne dévoile jamais son jeu.
Maxine propose à Zack une alliance contre un concurrent redoutable. Piège ou vengeance... Zack n'en sait rien. Mais comment résister à la tentation du jeu ? Maxine est une tornade qui défie le monde si masculin des joueurs de poker. Elle est bien décidée à régler ses comptes, coûte que coûte.
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Ce roman est une très belle découverte. C'était pour moi une première lecture de Benoît Philippon.
Je ne suis pas rentrée dans ce récit dès le départ, mais très vite l'intrigue m'a saisie et je me suis retrouvée en apnée jusqu'à la dernière page.
Je me suis attachée aux personnages, qui sont réalistes et touchants de part leur vie personnelle, et à leur road trip mené avec des cartes redistribuées sans cesse.
L'auteur aborde des thèmes sombres, avec une pointe d'humour noir, et l'écriture est ficelée de sorte à se lire d'une traite.
C'est une réelle surprise!
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