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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Marie, 35 ans, vient juste d'accoucher d'une petite Adèle, et déjà elle la met en garde contre la malédiction qui semble frapper les femmes de sa lignée, toutes prénommées Marie et toutes rendues hargneuses à force de frustration. Et Marie de raconter son histoire, et notamment sa mère, qui l'a élevée à coups de remarques cinglantes : "Tu te crois maligne ?" ; " Ca t'apprendra !" ; "Tu la vois celle-là ?" ; "Qu'est ce que tu crois ?". Une mère qui oubliait de venir la rechercher, qui lui interdisait les flans colorés, les Barbies, les jeans, et qui passait pour une folle auprès des autres collégiens, mais qui l'emmenait au théâtre et lui faisait écouter du classique. Comment se remet-on de ça ? Marie se réfugiait dans la lecture et l'écriture, et désormais écrivain et mère, elle annonce : "Je suis une connasse occupée à tuer sa mère dans un livre." Ouch.

Donc, ça cogne fort, mais tout en délicatesse. Comme avec "Feu", j'ai été saisie à la gorge et aux tripes par le style de Maria Pourchet, ses phrases courtes truffées de bribes de conversation. C'est un long monologue d'une densité rare -il m'a fallu 4 jours pour venir à bout de ces 120 petites pages ciselées au burin, qui visent juste et font mal à chaque fois. Difficile, en effet, d'éviter ces mots malveillants qu'on ne voit pas venir, et de ne pas compatir à la violence (verbale) subie par Marie, de ne pas s'émouvoir de ses efforts dérisoires pour résister, exister, tenter d'être heureuse quand même.
Il est donc question de maltraitance entre femmes, que ce soit dans le cadre familial, professionnel -et même obstétrical ; la sororité est ici un concept inexistant. J'ai aimé la façon dont l'auteur exploite cette thématique inhabituelle, qui détonne dans le contexte féministe actuel. Mais Maria Pourchet aborde aussi la notion de transfuge de classe, qui torture sa narratrice quand elle s'adresse aux générations de femmes qui l'ont précédée dans sa famille : "A mesure que je parcours le vocabulaire émacié de votre langue, l'étendue de votre souffrance ne m'apparaît plus, tant elle est vaste. J'ai honte. Je voudrais vous épargner ce livre de petite conne bien lettrée, bien nourrie. Je ne peux plus." En cela, elle m'a fait penser à l'Annie Erneaux de "La place".

Pas franchement le genre de livre à emporter à la plage, donc, tant c'est un concentré d'amour-haine, de l'extrait de douleur. Mais surtout, il est traversé par une rage de survivre, de stopper la malédiction, qui emporte tout sur son passage, et ça, c'est incroyablement fort. La dernière Marie est une battante, alors on se lève et on applaudit.
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Un récit qui va à l'encontre des images d'Epinal sur l'émerveillement de la maternité.
Un récit choc, qui explore le choc de la rencontre entre la narratrice, Maria, et sa fille Adèle dont elle vient juste d'accoucher, un choc qui fait apparaitre non pas le bonheur béat mais la peur de reproduire un schéma de violence qui se transmet via la lignée maternelle.
Pour Maria, c'est la confrontation avec le non amour maternel de sa propre mère, la prise de conscience douloureuse de cette violence (car on peut parler de violence dans cette façon de ne pas aimer, de rabaisser, de railler... ) qu'elle a subie et dont elle pâtit encore par des séquelles psychologiques qui n'attendaient que ce choc hormonal pour tout bousculer.
Revivre cette relation, se la raconter et la raconter à sa fille c'est aussi pour elle une tentative de mieux comprendre, de briser là la malédiction et de se donner une chance d'accueillir ce nouveau maillon à la longue chaine des femmes de la famille dans une atmosphère où l'amour prend plus de place.

"Adèle, ne participe pas à ta propre oppression. Je ne t'apprendrai rien de plus entier. Et si un jour, l'oppression c'est moi, va-t'en. Je suis restée moi trop longtemps auprès des femmes faibles. Il me reste quoi. Un petit livre à leur envoyer à la gueule, au temps où la littérature n'a plus d'estomac."

Un livre courageux, qui ose parler du mal que se font les femmes entre elles, reproduisant inlassablement un schéma inscrit dans une sorte de patrimoine qui se trimbale de génération en génération. Une façon de briser un tabou autant que d'inverser la tendance dans sa propre lignée.
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«Adèle, le ventre noir dont tu viens a porté avant toi des douleurs sans prénom.»

La confession d'une jeune mère à sa fille qui vient de naître. Une écriture comme un cri sauvage et puissant, un besoin vital d'exprimer sa colère, son ressentiment, sa volonté de changer le «destin» de sa lignée féminine. Disséquer cette obscure fatalité pour mieux l'interrompre ; que sa fille ne la subisse pas, elle aussi. Un roman semi-autobiographique sur les blessures que les femmes peuvent infliger à leurs filles.

Violence destructrice de la filiation, de mère en fille, toutes prénommées Marie, toutes sauf une, Adèle la nouvelle-née. Absence cruelle de tendresse et de respect, hargne d'avoir engendré une fille, litanie de phrases assassines proférées sans y penser parce qu'on vous les a assénées. «Il n'est pas question d'amour mais de machines».

La violence, mais aussi l'exigence ambivalente d'une vie différente pour sa fille, le théâtre, la musique, les aliments sains, la spiritualité… avec une telle ambiguïté, toutefois, que ce n'est pas ce qui s'est imprimé le plus indélébilement dans la mémoire de la narratrice.
Ambivalence que cette narratrice, devenue à son tour mère d'une fille, cette petite Adèle, éprouve elle aussi devant le berceau de l'hôpital où repose le bébé, berceau «qu'il ne faut pas renverser», auto-injonction formulée à de nombreuses reprises.

Son secret pour arrêter cette engrenage infernal, cette généalogie mortifère, cette reproduction de mère en fille, de Marie en Marie, c'est l'écriture libératrice, qu'elle pratique sur son lit d'hôpital.
«Mauvaise fille.
Mauvaise élève.
Mauvaise mère.
J'écris pour qu'elle se taise».

Et ce texte est une variété de mise en abyme dans la vie de l'auteure, qui raconte dans une interview l'avoir écrit alors qu'elle venait d'accoucher et, dans l'état psychologique de bouleversement intense du moment, avoir pu lâcher prise et trouver sa propre écriture, son style personnel ; elle confie que toutes les phrases en italiques sont vraies, sont ce que disaient les femmes de sa famille à leurs filles.
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La narratrice vient d'accoucher d'une petite Adèle. A côté de cet enfant, toutes ses douleurs d'enfance remontent, toutes les phrases qui lui ont été assénées, toutes les injonctions qu'elle a subies toute sa vie, tous les "fais pas ci, fais pas ça". Elle s'adresse alors à Adèle et évoque le sentiment de douleur et d'impuissance qu'elle éprouve dans cette maternité mais aussi tout son propre manque d'amour et de reconnaissance maternels.

Elle était la gamine gênante jamais à sa place, une gamine à peine mieux considérée qu'un chien qu'on faisait taire d'un regard, élevée par une mère qui l'étouffait qui la rabaissait sans cesse

C'est par les mots, par la littérature que la narratrice veut rompre la chaîne de transmission entre toutes les femmes de sa famille. "Elles auraient pu se soulever. A défaut, elles parlent, parlaient. Et moi j'écris", c'est en écrivant qu'elle finit par prendre sa place.

À Adèle, sa mère espère transmettre la liberté de démonter la mécanique de la transmission familiale, lui transmettre la force de ne pas tout accepter, de rompre l'héritage familial.

Voilà un récit centré sur la femme, la femme dans tous ses états, de mère, de fille... l'homme n'est qu'en arrière-plan. L'écriture est puissante avec une accumulation de phrases choc qui donnent à réfléchir, les dernières phrases du texte sont particulièrement belles. Je reste plus mitigée sur les passages à charge contre le personnel médical qui manquent de nuances. Un texte fort, incisif sur le poids de la transmission, le poids social, l'héritage familial qui ne peut pas laisser indifférent.
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C'est l'histoire de la narratrice, appelons-la Maria, qui vient d'accoucher. Alors qu'à l'hôpital, certaines paroles, certains gestes la blessent, l'effraient, d'autres lui sont douces comme des anges. Dans son lit de maternité, dépendante, souffrante, Maria s'adresse à son bébé: Adèle. Elle lui promet qu'elle rompra la chaîne de mères que sont sa mère, la mère de sa mère, la mère de sa mère…
Maria a manqué d'amour, de câlins, de bisous, de paroles réconfortantes, encourageantes. Maria a reçu des paroles qui ont cassé son estime d'elle-même avant même qu'elle ne naisse. Maria est pleine de rage contre ces femmes, ces mères, ces commères qui condamnent les femmes qui tentent de sortir de la route, qui excusent les hommes quelle que soit leur conduite. Les femmes en prennent pour leur grade.
Puis Maria, si elle n'excuse pas, comprend, si elle ne pardonne pas, fait avec.
Mais, promis, Adèle, ma fille, je serai une mère qui t'aimera pour toi, qui te soutiendra qui que tu sois, quelque soit la route que tu choisisses ou que tu crées.
C'est un récit qui m'a sincèrement touchée, parce que je me suis reconnue en Maria, j'ai reconnu aussi ma mère en partie dans la sienne. Combien de filles auraient été, seraient actuellement aimées, considérées si elles avaient été des garçons ?
Lien : https://www.gabrielle-dubois..
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Dans un récit à sa fille qui vient de naître, des mots lancés sur le qui-vive, à même la chambre d'hôpital, Maria Pourchet retrace les générations de femmes qui sont venues avant elle, mais surtout son lien avec sa propre mère. Comme toutes celles qui viennent d'accoucher, Maria est à bout, de corps, de souffle, de fatigue et de soudaine solitude, et c'est dans cet état d'esprit que ses mots se délient, pour défaire les noeuds, pour se détacher du cercle vicieux qui veut que les femmes jalousent les filles, que les femmes détestent leurs mères, pour rompre le cycle de la distance affective imposée âge après âge dans sa famille - et bien d'autres.

L'autrice raconte son accouchement, revient sur son enfance, son adolescence, sa découverte d'être une femme, son oppression dans le domaine familial, professionnel, les amours qui passent en un éclair et puis qui obsèdent. Mais surtout, en filigrane : les hommes qui valent plus que les femmes parce qu'ils rapportent l'argent, les femmes soumises depuis la nuit des temps, qui n'ont comme force et comme indépendance que les mots, à qui les hommes ont appris à détester leur statut de femme, ce genre faible qui doit se soumettre aux ordres, aux mots, et les femmes qui apprennent, donc, à détester les femmes.

Il y a quelque chose de vraiment très personnel, très intime, à fleur de peau, à fleur de sang, à fleur de larmes. Entre la rage et la haine et l'aveu final que tout ça n'est pas la faute des femmes qui ne savent pas aimer mais de ceux qui leur ont enlevé l'amour. Maria Pourchet tente d'enlever l'énorme et incommensurable épine du pied de la lignée familiale pour ne pas reproduire les schémas, et pour elle qui semble ne pas savoir donner ni recevoir d'amour, c'est un nouveau départ, qui commence par sa fille.

Pour finir, c'est aussi, en premier lieu, peut-être, un récit d'accouchement, dans les conditions réelles des hôpitaux surpeuplés, avec trop peu de personnel, personnel qui est fatigué, blasé, tiraillé, donc peu présent ou peu préoccupé, personnel qui déshumanise parfois, qui juge beaucoup. Encore une fois, à qui la faute ? Aux femmes ? À la société ? Au patriarcat ? Bref, un récit très personnel mais qui parlera, sûrement, à beaucoup d'entre vous. Si vous êtes en froid avec votre mère, c'est le cadeau idéal.
Lien : http://lecombatoculaire.blog..
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Un monologue d'amour et d'angoisse de Maria à sa fille tout juste née. Un monologue qui retrace la souffrance d'être une fille dans un système patriarcal où chaque femme retranscrit un schéma de génération en génération, un lien de violence, un monde de frustration, de désirs inassouvis, de regards durs des femmes entre elles, un roman sur la filiation. La jalousie de la mère pour la fille, le cri de haine de la fille pour la mere. Maria a besoin d'exorciser ce lien ancestral d'humiliation, d'oppression, de femmes soumises. Un récit de rage et de haine pour ces vies brisées inscrites dans les mémoires de mère en fille. Une colère contre la mère qui brise, bride, rabaisse. Pour Adèle, Maria decide de résister et veut une autre vie pour sa fille, elle veut" la liberté"pour son enfant, liberté de s'exprimer, de vivre, de rêver, de bonheur...un texte fort, une écriture tourmentée et dérangeante. Dans le contexte actuel être une femme est plus qu'une bataille, un combat sans merci..
Lien : https://wordpress.com/post/e..
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On sent dans l'écriture de Maria la colère qu'elle ressent contre l'enfance qu'elle a eu, contre les mots durs que sa mère lui a toujours adressés. Difficile de se construire et d'avoir confiance en soi dans ce contexte. Maria est une jeune enfant rejetée, seuls ses lectures lui permettent de grandir et de se construire. Maria est quelqu'un qui raconte. Pour que sa fille, Adèle, comprenne, Maria lui écrit, lui fait le récit de son enfance et notamment de l'absence d'amour de sa mère qu'elle préférait porter à ses frères.
Dans ce contexte peut-être aurait-il été préférable pour Maria d'être un garçon. N'en déplaise à toutes les féministes mais Marie a dû oublier le « e » pour pouvoir se débrouiller avec ce qu'on lui a donné. Petite fille mal fagotée, toujours en retard, « qu'est-ce qu'elle va faire de sa vie ». Maria écrit avec colère et ressentiment envers sa mère qui n'a cessé de la rabaisser, de la critiquer. Elle a dû se relever seule et se reconstruire.
Elle écrit aussi sur son accouchement douloureux, les infirmières qui ne s'occupent pas d'elle malgré la douleur et la peur sous prétexte « qu'elle n'a pas demandé ». Maria a toujours été comme ça : cherchant à se faire toute petite pour échapper aux critiques de sa mère. Elle, l'enfant qui est toujours « dans les pattes », « qui n'est bonne à rien ». Elle regarde le berceau qu'il ne faut pas renverser avec un mélange d'amour et de désespoir. Elle souhaite communiquer avec sa fille, lui offrir une enfance plus belle que celle qu'elle a reçu, qu'elle comprenne tout l'amour que Maria lui porte.
On est bouleversé par les relations qu'elle a eu avec sa mère : ses mots, son comportement envers Maria petite et si innocente. La narratrice fait un comparatif entre la façon dont sa mère l'a traité et comment aujourd'hui à la maternité, les infirmières la traite également. Je déteste lire des témoignages de ce type qui retranscrive le jugement des autres femmes, sur cette Maria craintive et passive, sur son désir de ne pas avorter, sur ses maladresses de jeune maman. On a envie de faire la leçon à ces autres femmes qui pensent tout savoir.
L'écriture est parfois complexe, les paragraphes alternants le récit d'enfance de Maria, les passages à la maternité et ses pensées pour Adèle. On sent que l'auteur écrit avec son coeur, tel que ses pensées défilent. le roman n'en reste pas moins prenant, le très beau récit d'une femme qui cherche à briser le cercle malheureux des relations mères-filles de sa famille et qui cherche à se reconstruire chaque jour, pour ne pas reproduire sur sa fille le schéma qu'elle a subi.
Lien : https://eemmabooks.wordpress..
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Petit livre mais grande découverte. Dans ce court récit, une toute nouvelle maman fait face au berceau de sa fille. Elle va lui raconter son histoire, l'histoire des femmes de sa famille. Pour qu'elle sache, pour briser la chaîne de la violence domestique. Elle va raconter les humiliations, le manque de douceur, la maltraitance aussi...tout ce qui fait en partie la femme qu'elle est devenu et la mère qu'elle ne veut pas être. C'est une femme forte et fragile, déterminée et perdue, tendre et cruelle à la fois.
Dans son écriture percutante, elle exorcise ses démons, cherchant à briser le cercle vicieux de la reproduction de la conduite mère/fille. C'est juste, c'est fort. Un très beau texte.
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En lisant le résumé de la quatrième couverture, c'était une évidence pour moi de découvrir ce roman.

Il est question de maternité et de transmission notamment de mère en fille...

De génération en génération.

Beau programme !

Sauf quand...la transmission, ancestrale et familiale, est néfaste et malsaine.

Une femme vient d'accoucher d'une petite fille Adèle.

Elle est seule et épuisée dans une chambre d'hôpital où le personnel de soins n'est guère disponible ni très avenant.

Cet événement a fait remonter en elle, des souvenirs d'enfance mais aussi, les relations conflictuelles qu'elle a avec sa mère car dans sa famille, les femmes ne sont pas maternelles ni aimantes.

Une prise de conscience, une explosion, une vérité qui ÉCLATE suite à la naissance de sa fille,.

Ne pas recopier ce schéma, ne pas reproduire les mêmes erreurs sont les seules certitudes qu'elle a en donnant la vie à ce bébé.
Une révélation qui va lui permettre de "vomir" et d'exorciser tous ces démons, les rancoeurs et les blessures qui stagnent, qui l'écorchent depuis des années.

La maltraitance verbale qu'elle a subi de sa mère, son exigence, son manque d'affection, ses humiliations, ses mots violents, ses menaces l'ont profondément marqués.
De génération en génération, les femmes, les mères de sa famille se comportent ainsi et manquent cruellement de tendresse.

Etre mère à son tour, elle ne souhaite qu'une chose, se libérer de cette transmission, de cette hérédité nuisible

Une vraie libération ! Comme un second accouchement, dans la douleur, cette maman s'adresse à sa fille afin qu'elle entende ses mots, ses vérités et ses promesses et ainsi vivre ensemble sans non-dits, sans tabous et sans haine.

Lui promettre que tout ira bien...Qu'elle saura, elle, être mère !

Le commencement d'une nouvelle vie uniquement sur le signe d'un amour incommensurable !
L'amour le plus fort,
L'amour le plus important,
L'amour le plus beau,
L'amour MATERNEL.

Un roman fort, puissant et douloureux.
Un ouvrage saisissant, intimiste et d'une grande sensibilité.

Un sujet universel qui touche forcément beaucoup d'entre nous.

A lire sans aucun doute.

Merci aux maisons d'Edition et à NetGalley.fr
Lien : https://leslecturesdeclaudia..
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