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17ème enquête de Pendergast et j'ai la mauvaise impression que le cycle s'essouffle.
Heureusement cette lecture commune avec Zazaboum n'aura pas été aussi catastrophique que le tome précédent qui était tout simplement un énorme navet !
Celui-ci est agréable à lire, distrayant, sympathique mais sans plus en somme. Je suis certainement encore un peu échaudée de cette grosse déception qu'a été Noir Sanctuaire.
Un nouveau tome bien en-deçà de ce à quoi nous étions habituées, il est sûrement temps de faire une pause pour retrouver plus tard notre cher Aloysius avec un regard peut-être moins critique.
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17ème lecture commune mensuelle avec Laehb80, j'ai pourtant l'impression qu'on a commencé il y a peu ! Tome plus intéressant que le précédent, que je n'avais pas fini d'ailleurs, mais il manque la magie propre à Pendergast des tomes d'avant, même avec la présence de D'Agosta, aussi insipide qu'un chewing-gum mâchouillé !

Pourtant tous les ingrédients sont là mais c'est comme si les auteurs avaient passé la main à des clones sans talent ! Il est temps de faire une pause dans les aventures de Pendergast pour ne pas s'en dégouter tout à fait !
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Son chef demande à l'agent spécial Aloysius Pendergast, du FBI, de suivre une enquête menée par le NYPD sur les circonstances d'une jeune femme décapitée, dont la tête n'a pas été retrouvée. Pendergast s'intéresse mollement aux investigations, pourtant menées par une connaissance : le lieutenant D'Agosta. Il s'avère que le corps est celui de la fille d'un milliardaire ayant fait fortune dans les nouvelles technologies. Pendergast bouscule un peu tout le monde, avec son manque de tact, à commencer par le père de la défunte, puis laisse d'Agosta gérer ses outrances.
Mais ce cadavre n'était que le premier d'une série. Suivent un avocat lié à la mafia et un milliardaire russe, pourtant surprotégé. le chef de la police subit la pression du maire : un tueur en série sévit à New-York. Toutes les victimes semblent avoir quelque chose à reprocher. S'agit-il d'un psychopathe vengeant l'ordre social ?

Les auteurs savent tenir une intrigue et entretenir le suspense. C'est un fait. Ils savent aussi trousser quelques scènes marquantes bien menées. Mais globalement j'avoue être resté sur ma faim. Je ne connaissais pas Pendergast, ses excentricités, son train de vie, son chauffeur, sa Rolls… Ce que j'en devinais n'était présent que dans les quatrièmes de couverture de cette longue série policière, qui vantent un enquêteur à l'esprit de déduction exceptionnel. J'imaginais déjà Sherlock Holmes au vingt et unième siècle. L'homme a un certain look, des vêtements sombres, des flacons pour analyse plein les poches, un caractère bien arrêté, mais dans l'ensemble il ne m'a pas impressionné. Quant à son attitude dans un final totalement impensable, elle est incompréhensible. A trop chercher l'exceptionnel, le récit sombre dans le ridicule.
Beaucoup d'attentes, en grande partie déçues.
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Cela fait maintenant de années, peut-être une quinzaine, que je suis les aventures d'Aloysius Pendergast, agent très spécial du FBI…

Nuit sans fin marque le retour de Pendergast sur une scène de crime qui ne le concerne pas personnellement, avec son vieil ami Vincent d'Agosta, lieutenant au NYPD. Les deux hommes enquêtent sur une série de meurtres où les victimes sont retrouvées tête coupée… mais leur tête, elle, n'est jamais retrouvée. Ce que j'aime dans les aventures de Pendergast, c'est qu'il y a toujours beaucoup d'action entremêlée de réflexion, et on ne sait jamais si l'issue s'avérera réaliste ou fantastique : serial killer ou zombie, psychopathe ou démon ? Et même si le personnage principal déteste ça, on ne peut s'empêcher de voir en lui un Sherlock Holmes moderne. Sa façon de détecter le moindre indice, de réfléchir de manière si différente des autres, son dédain souvent face à l'humanité, ses réactions inattendues en font un personnage mystérieux, même quand, comme ici, son histoire familiale n'est pas en cause.
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Ne pas perdre la tête

Nous retrouvons notre ami l'inspecteur Pendergast dans sa 17ème aventure.
Pendergast est déprimé suite au départ de sa protégée Constance Green, partie en exil au Tibet pour y retrouver son fils élevé dans un monastère (cf le tome précédent).
Fort heureusement une nouvelle affaire va lui permettre de se changer les idées : à New-York, une jeune femme est découverte assassinée... Rien de bien excitant me direz vous, sauf qu'elle a été décapitée quelques 24 heures après son meurtre...
Le NYPD est sur les dents car la victime était la fille d'un milliardaire du Net, Anton Oznian aussi désagréable que doué pour le business... Puis successivement, deux autres personnes sont mystérieusement attaquées chez elles, et sont également décapitées, leurs têtes manquant à nouveau à l'appel... Il s'agissait là encore de VIP, un avocat de la mafia et un oligarque russe, tous deux extrêmement bien protégés, ce qui n'a pas empêché leurs meurtres sauvages. Un serial killer s'en prendra-t-il aux plus riches, ceux qui se sont enrichis impunément au mépris des plus faibles ? C'est la théorie défendue par le journaliste du Post, un certain Harryman, déjà rencontré dans de précédentes aventures, alors qu'un nouvel assassinat vient rebattre les cartes, celui d'une jeune diplomate nigériane, elle aussi décapitée en plein coeur des Nations Unies...
Il n'en faut pas plus à Pendergast, aidé par le fidèle Vinnie D'Agosta pour sortir de son repaire et de sa dépression, et de tenter de résoudre l'énigme.
Cette enquête de facture assez classique m'a fait passer un très bon moment de lecture.
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Cela partait si bien, le suspens était bien présent, l'enquête complexe et bien menée ... oui, trois fois oui, mais la finale est tirée de toute part sur de très grosses ficelles, la psychologie des personnages en prenant un coup et la résolution de l'énigme tombant ainsi comme un cheveu dans la soupe ... c'est dommage d'autant plus que les enquêtes de Pendergast sentent de plus en plus le réchauffé et le pataud ... ça s'enfonce dangereusement !
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Je suis un gros fan de Lincoln & Child mais là, l'intrigue rebondit autant qu'un parpaing - l'histoire se réduit à une suite de meurtres ennuyeux. Pendergast tient un rôle digne de celui d'un meuble... et assiste passivement aux meurtres durant 75% du livre. le dénouement, totalement téléphoné -combat final entre Pendergast et le "Boss"- est au niveau d'un jeu vidéo d'arcade des années 80.

On est très TRÈS loin de la Chambre des curiosités, des Croassements de la nuit ou d'autres romans des auteurs : T-Rex, Les sortilèges de la cité perdue, le piège de l'architecte. Suspense et ironie, qui font habituellement le bonheur du lecteur de ces romans, sont aux abonnés absents.

Roman creux et effectivement interminable tant il est barbant.
Je regrette amèrement mon achat.
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Nouvelle enquête de Pendergast.
Une enquête un peu spéciale.
Une enquête où Pendergast est un peu perdue. Il pense à Constance.
Elle lui manque. Mais il n'a pas le temps d'y penser.
Il doit se concentrer sur un nouvelle enquête : des cadavres sont trouvés sans tête, est ce une vengeance? Est ce une vendetta centrée sur les riches?

J'ai bien aimé, il y a une évolution des personnages, Pendergast se livre petit peu à petit peu. J'ai bien aimé l'enquête également, je me suis trompée de coupable, je me suis bien fait avoir ;)
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Ahhhhhhh, Pendergast. Sherlock des temps modernes. Et bien ce fut quelque chose.
.
Alors oui je n'ai pas commencé « les enquêtes de Pendergast » dans l'ordre. Et je dois reconnaitre que je le regrette. Mais que c'était bon. Je crois que c'est justement le côté décalé de Pendergast qui est le plus intéressant. Bien que D'Agosta soit juste parfait de son côté aussi. Et forment ensemble un duo assez improbable.
.
Roman assez rythmé, pour un premier de Preston & Child, j'ai envie de renouveler l'expérience, je suis conquise. Alors oui, certains passage dépourvu de tout dialogue avait tendance à être longuet. Mais a plusieurs reprise je me suis trouver être la première surprise à être totalement absorbée par ces pseudos longueur. (Vous voyez le paradoxe ici même ?)
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Ma 2ème expérience avec ce héros atypique qu'est Pendergast... et pas vraiment transcendée...
A New York, un coupeur de tête semble à l'oeuvre. En l'espace de quelques jours ce n'est pas moins de trois corps qui sont retrouvés... sans leur tête!
Le FBI, représenté par Pendergast, et le NYPD, à la charge de son acolyte d'Agosta, sont sur les dents.
Qu'est-ce qui peut bien relier les victimes entre elles? Comment le meurtrier s'y est-il pris pour pénétrer dans les maisons forteresses de certaines d'entre elles?
Le temps presse car le tueur ne semble pas disposer à s'arrêter.
Un synopsis prometteur et un dénouement final inattendu mais l'ensemble ne m'a pas convaincue. Les héros ne sont pas très attachants ( Pendergast semble cadavérique et épuisé, compréhensible uniquement si on lit les opus chronologiquement, mais il perd en finesse et en vivacité), les 100 dernières pages sont en trop car on sait déjà tout, et le sacrifice d'un personnage récurrent m'a paru gratuit et inutile....
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