Une enquête maligne du célèbre détective.
Mais pourquoi diable la victime porte-t-elle tous ses vêtements à l'envers?
Du fil à retordre et une solution à trouver pour Ellery Queen.
Comme dans toutes ces énigmes de l'âge d'or des polars à énigmes, le lecteur a toutes les cartes en main pour trouver la solution au problème.
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Je n'ai pas du tout apprécié ce roman ! Les deux enquêteurs, père et fils, m'ont irritée, voire énervée ! Je les ai tout de suite assimilés à l'inspecteur Columbo (que je ne supporte pas !). Peut-être injustement, je les ai trouvés suffisants, trop sûrs d'eux, satisfaits de compliquer la situation, de multiplier les indices inutiles et les fausses pistes. Cela m'a empêchée d'adhérer à l'intrigue policière. Je ne retiendrai de ce roman que la description d'une certaine classe sociale de l'époque : oisive, riche, souvent très hypocrite et de ces gens moins chanceux qui les envient ou qui vivent à leurs crochets .
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Ellery passa la fin de cette journée mémorable emmitouflé dans sa robe de chambre préférée, un vieux vêtement imprégné par l'odeur de la nicotine, et transformé en écumoire par des milliers d'étincelles tombées de cigarettes depuis longtemps réduites en cendres. Il s'allongea devant la cheminée du living-room, rôtissant agréablement la plante de ses pieds et jetant automatiquement des cigarettes dans le feu quand elles commençaient à lui brûler les doigts. ...
Puis, le temps de l'examen étant révolu, il s'enfonça plus profondément dans son fauteuil et il s'adonna à la réflexion pure.
À 16 heures, Ellery sortit de son engourdissement. Il se leva, jeta une dernière cigarette dans le feu et décrocha le téléphone.
Mr Ellery Queen et Mr Donald Kirk, se trouvant face à face, se dévisagèrent avec une égale stupeur.