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2,97

sur 521 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Lent , je voulais qu'il se passe quelque chose et j'ai attendu , attendu enfin lu , lu , lu ..ha je tourne la dernière page c'est fini ..mon imagination court mais je laisse avec plaisir ce livre et cet auteur pour ne plus jamais y retourner.. déçue..
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Il n'y a rien dans ce court roman. Ni intrigue, ni fin, ni psychologie, ni atmosphère, ni description sicilienne. le style est compliqué, alambiqué, prétentieux. Parfois, cela ressemble à un PV de gendarmerie écrit par un docteur es lettres. J'ai refermé la dernière page avec l'impression qu'il manquait des pages à la fin et la désagréable certitude de m'être fait arnaqué par Yvan Ravey et les éditions de Minuit. Je ne comprends même pas que ce manuscrit ait pu être publié.
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Ce livre fait environ 130 pages, j'ai eu l'impression d'en lire le triple ; on vante beaucoup l'écriture de Ravey, mais qu'est-ce que je me suis fait mmh - j'ai l'impression d'avoir la tête prise par un rhume, tout est répété des centaines de fois, le personnage principal aurait dû être quitté par sa femme depuis le début, c'est long, pénible.

Pour rentrer dans la tête d'une personne qui s'auto-persuade que ce n'est pas siii graaaave d'avoir tué quelqu'un, j'ai vu des épisodes de série plus prenants.
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La quatrième de couverture m'avait intriguée, mais cette lecture s'est avérée décevante. Dès le début du roman j'ai été déçue par le style de l'auteur. Les personnages sont inintéressants. Les événements s'enchaînent sans que rien ne fasse sens, jusqu'à la fin.
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Alors moi qui ai été attirée par le titre comme un papillon par la lumière, j'en suis pour mes frais !! une histoire sans queue ni tête, des personnages sans âme, ou bien peut-être bêtes comme leurs pieds, un clin d'oeil aux méthodes d' une mafia aussi exagérée que diffamatoire quelque part (on est en Sicile après tout) , comment peut on écrire des choses pareilles ? et quand on ne sait pas comment finir, on s'en sort sur un bon gros cliché à la noix, ce couple de parisiens bcbg qui s'exfiltre sur un boat people non mais on va où là ? Si ça, c'est du grand art, alors moi je suis la reine Victoria …
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C'est un roman qui m'a laissée perplexe. Je pourrais dire que j'ai détesté (la note dit tout). Pourtant, je n'y arrête pas d'y penser, de trouver des théories, des explications. Pas tant à l'histoire, mais à la démarche de l'auteur. C'est mon premier roman d'Yves Ravey. Apparemment il n'est pas à son premier coup d'essai dans le "faux polar".

Ce roman (court, heureusement), me fait penser à une très mauvaise blague que j'ai l'habitude de raconter. Je ne la raconterai pas ici, mais c'est une blague longue, dont le suspense fait mariner l'auditoire, tandis que le conteur se marre parce qu'il anticipe la déception du public, car la chute est vraiment pourrie. C'est un peu ce que j'ai ressenti en lisant ce roman. J'ai senti que l'auteur s'est marré à pondre une intrigue prometteuse, mais sans la développer, traînant sur des détails inutiles, exagérant les rebondissements, mettant le point final là où ça devient intéressant. Sans résolution, cela va sans dire.

De quoi ça parle ? Un couple de bobos pas très futés part en vacances à Taormine, en Sicile. La nana a tellement envie de voir la mer, qu'ils s'arrêtent à côté d'un campement d'immigrants, au coucher du soleil, pour qu'elle aille voir la mer (elle ne pouvait pas attendre, sérieusement ?) Quand ils partent, il pleut (soudain !), il fait nuit (déjà ?) et ils tapent quelque chose avec la voiture et ne s'arrêtent pas. Depuis, le mec va psychoter sur l'accident, se demandant s'il a écrasé quelqu'un. Il va évidemment prendre toutes les mauvaises décisions et sa nana, qui a été fortiche pour imposer de voir la mer, ne va pas avoir assez de force de caractère pour lui imposer d'arrêter de faire l'andouille.

Le roman s'étale sur la prémisse, il ne se passe pas grand chose à part une mémorable scène de fouille policière digne d'un sketch comique. D'où mon sentiment que l'auteur a voulu se payer la tête du lecteur. Je ne suis pas contre les "faux polars", "faux thrillers" qui cassent les fichus codes du genre. J'apprécie généralement ce que font Les éditions de minuit, mais ici, je suis restée perplexe. L'auteur a réussi son coup, puisque je suis curieuse de me pencher sur ses autres romans.
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Cela ressemble à un épisode de série. Court léger sans rien de sérieux. J'ai été jusqu'au bout car je savais que ce serait court sinon j'aurais abandonné car l'intrigue n'est pas passionnante du tout. Une étoile pour l'écriture limpide. Voilà. Un petit moment de lecture pour découvrir l'auteur. Rien de plus.
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«Aujourd'hui, on arrive à Taormine. Ou peut-être hier, je ne sais pas. »
Les Bidochons en Sicile! «En voyage organisé» tome 6 ou/et «en vacances» tome 2
Un début invraisemblable même pour une fiction avec des personnages normaux, appelons les, Raymonde et Robert, mais plus bêtes que la normale qui débarquent en Sicile pour se rabibocher. Et paf le choc: l'accrochage avec la tire. Pour qui connaît la Sicle, l'arrière pays, rien d'invraisemblable l'imprévu est à chaque tournant.
Par contre la suite...
D'où la réaction normale du conducteur qui a pris soin de prendre une assurance supplémentaire de ne pas la faire intervenir. Comportement incohérent de ce chauffeur qui déjà nettoyait son pare-brise avec sa bouteille d'eau: le petit commodo vers le volant et le lave-glace connais pas
« Quand on est con, on est con » disait Brassens
D'où les contrariétés et tracasseries qui viennent perturber «Des instants inoubliables » tome 14 du couple mais si peu la pérégrination avant tout Agrigente recèle de trésors .
La suite à l'avenant.
Narration au ton très désinvolte et qui se veut très sarcastique Ravey aurait pu pondre sa merdouille ailleurs qu'à Taormine, c'est surtout ça qui me chagrine car j'ai fait le même parcours, car il n' a pas le talent d'experts en humour comme Pirandello, Sciascia, Camilleri pour parler de la Sicile... sans parler du reste.
Un personnage (Raymond pleutre, lâche, vaniteux et borné ) soliloquant mais avec sa femme (Fernande naïve casse-bonbons mais surtout courge) inexistante. Yves Ravey utilise une sorte d'humour qui n'est pas noir au trait trop forcé mais qui est vraiment lourd, grossier, bête et gratuitement méchant. Ce n'est ni une situation ubuesque avec des clowns farfelus, ni une farce à l'italienne mais une cacade verbeuse!
Si Raymonde était restée à ses réunions féminines de sex-toys on n'en serait pas là mais elle a voulu voir Taormine.
Un bouffon ce Ravey qui pourtant à décroché le prix des Libraires en 2022 et fait partie de la première sélection du Goncourt.
Où on va, papa ?
Mais quand on voit les livres préférés des français de 2022 il ne faut s'étonner de rien!
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Ma première lecture de cet auteur. J'ai été plutôt séduite au démarrage par le style d'écriture assez particulier, et le ton décalé. Par contre si j'ai plongé assez vite dans l'intrigue, j'ai trouvé que le récit s'essoufflait au fur et à mesure des pages et que mon intérêt diminuait par la même occasion… Comme c'est un roman très court, je suis allée au bout rapidement car je voulais connaître la fin… en espérant peut-être un twist final inattendu. Au lieu de ça, je termine le roman avec l'impression qu'il n'est pas tout à fait terminé ! Je suis du coup très mitigée sur l'ensemble… et je file en lire un autre (d'un autre auteur tant qu'à faire)…
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Que dire de cet ouvrage ?
On y retrouve de la très haute littérature : « Je l'ai donc appelée, à contresens du vent qui soufflait maintenant par rafales dans la mauvaise direction »
De la poésie digne de nos plus grand poète : « La mer scintillait au loin, réduite à la minceur du ruban de tissu rose utilisé à cet instant par Luisa pour attacher ses cheveux, une épingle dans la bouche. »
De la goujaterie : « J'ai dit: Désolé que ce gamin, si c'est lui, soit venu se loger sous mes roues. Moi aussi, je le regrette. Très fort. Fais-moi un beau sourire, s'il te plaît. »
Du suspense insoutenable : La perquisition de la chambre d'hôtel tandis que nos deux protagonistes sont sur le balcon !
Une fin que l'on devrait découvrir dans « Taormine 2 »

Je ne vois qu'un seul mot pour définir ce livre :
« Pathétique »
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