Alice est perdue. En quittant New-York, elle se retrouve dans une étrange forêt et y rencontre un petit lapin. Elle le trouve mignon et le prend dans ses bras mais le lapin n'est qu'un leurre. Derrière se cache un genre de poulpe. Seulement, ses tentacules, en plus d'un organe central, sont autant de pénis. le bestiaux excité, sans plus de préliminaire, arrache les vêtement de la belle et la viole sans ménagement. Mais Alice semble y prendre goût. La pauvre, nue, souillée, est complètement perdue. En chemin, elle rencontre alors une chenille géante qui fume. Elle elle là pour donner les directions aux gens perdus. Seulement, en échange, la chenille demande des faveurs à la pauvre Alice. Cette dernière, peu avare de son corps, se donne à elle. Ensuite, suivant la direction indiquée par la larve démoniaque, elle rencontre un gros chat, ou plutôt un tigre bipède. L'animal est chaud bouillotte et monté comme un âne. Évidement, il abuse de l'innocente (pas tant que ça) jeune fille. Satisfait, le chat renvoie Alice mais lui conseille de trouver le chapelier fou. Elle le trouve, il est accompagné par dame lapine, mi-femme, mi-lapine. Les voilà en train d'entamer une jolie partouze. A peine le coït fini, les soldats de la reine arrivent. Ils épargne la jeune femme grâce à ses talents de chaudasse. Il la conduisent jusqu'au château de la reine de coeur. La cour est délurée et la la vue d'Alice, la bande de joyeux drilles abuse d'elle. le roi et la reine ne reste pas en reste. Alice possède tout les atours pour épargner sa tête. Elle arrive à s'enduire pour ensuite…
Édité par Dynamite et distribué par
La Musardine et au regard de la couverture, cette parodie du conte de
Lewis Caroll, qui n'est sans doute pas la première et que sera certainement pas la dernière, se veut très pornographique. La pauvre Alice est exploitée par tout les orifices et même si la plupart des rapports qu'elle subit tiennent plus du viol que du consentement, la belle héroïne semble y prendre son pied. D'ailleurs, quand elle reste deux cases sans sexe, c'est elle qui le réclame. Les dessins ne sont pas constants. Parfois, les visages ou les attitudes sont pleins de défauts mais dans l'ensemble, le graphisme tient plus ou moins la route. Les références à l'ouvre originale sont à mille lieues du conte. Mais les auteurs ont juste pris la liberté de s'inspirer pour mieux s'exprimer. le titre n'est pas non plus conforme à l'original puise c'est
Alice In Monsterland et non au pays des merveilles. Mais les auteurs ont mis la dose. Sodomie, pénétration, cunnilingus, fellation, analingus, amour pluriel, partouze, amour lesbien, rien n'est épargné à Alice qui, par chance, est une vraie nymphomane qui encaisse tout avec plaisir. On est très loin de l'original, tout est prétexte au stupre et à la gaudriole. A ce lit extrêmement vite parce les dialogues se limitent au cul. Bref, ne cherchez même pas une vraie histoire, c'est juste du cul pour du cul. Mais, heureusement, ça reste humoristique. Lu en format PDF sans DRM, téléchargé sur le site de la Musardine. La numérisation des ouvrages édités par la Dynamite, est souvent exceptionnelle. Je le confirme, chez eux, l'EPUB est à éviter. Bref, court, comique et un brin vulgaire et procatenu