Youpi, youpi, youpi ! Une sirène ! J'adore ! J'ai beaucoup aimé cette petite Houria, sirène maladroite, incapable de chanter une note correcte et amoureuse d'un humain. Ce personnage est très inventif et attachant ( du coup Miyo parait un peu dure) et j'ai apprécié le côté maudit de Faustin ( excellente appropriation de certains contes). La relation entre Faustin et Houria est parfaite, toute en retenue et en non dits. J'ai aussi beaucoup apprécié l'intervention du dragon qui ajoute encore un peu de magie dans l'histoire et s'insère parfaitement dans la mythologie de l'auteure.
Ce que j'aime : le personnage d'Houria, définitivement attachant et très intéressant. La mythologie qui entoure la société des sirènes ( l'histoire des écailles de dragon qui définissent le statut est excellente). La malédiction de Faustin, la manière dont l'auteure s'approprie les contes populaires
Ce que j'aime moins : trop court (en même temps, je possède l'intégrale, donc il ne tient qu'à moi). Miyo qui m'a un peu déçue.
En bref : Un excellent second épisode qui ajoute une sirène aux créatures magiques qui peuplent l'univers qu'a su créer avec brio l'auteure. A lire !
Ma note
9/10
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