Septième livre de
Carlos Ruiz Zafón que je termine, et c'est un septième coup de 💝
Dès que j'ai lu les premières lignes de "
L'ombre du vent" j'ai eu un gros coup de coeur pour cette plume enchanteresse. Ensuite je suis passée par plusieurs émotions. La joie d'apprendre que ce livre faisait partie d'un cycle qui en comprenait trois autres, puis la tristesse de découvrir que cet auteur est décédé en 2020. Et enfin encore de la joie de savoir qu'il avait écrit un autre cycle (celui de la brume, dont
Les lumières de septembre est le troisième et dernier volume), et un livre seul,
Marina, qu'il me reste le bonheur de découvrir prochainement.
J'ai immédiatement décidé qu'il me fallait tous les livres (seulement huit, snif) écrits par cette plume qui m'a tellement plu dès le début, mais c'était quand même un sacré coup de poker, après tout je pouvais me tromper et être déçue dès le livre suivant, ou bien dans l'autre cycle, et maintenant je réalise que j'avais raison de vouloir avoir toutes les oeuvres écrites par ce grand Monsieur de l'écriture, ce grand narrateur hors catégorie m'avait touchée pour une bonne raison, sa plume me parle et me fait stopper le temps à chacune de ses lectures.
Avec
Les lumières de septembre, tout comme avec les deux autres tomes du Cycle de la brume, je me suis sentie de nouveau adolescente, j'ai eu l'impression d'être installée avec d'autres amis autour de
Carlos Ruiz Zafón qui nous contait cette histoire, et je me suis sentie détendue, attentive à chacun de ses mots, en attente de la suite donnée à chaque chapitre, qui me tenait en haleine, captivée. Ce volume de la trilogie est mon préféré, même si je les aime tous.
Belles lectures à vous !