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3,66

sur 292 notes
Cette lecture a été fastidieuse pour moi. J'ai beaucoup aimé l'histoire, mais l'écriture de l'auteur a été vraiment problématique et un vrai frein lors de ma lecture. J'ai trouvé que ce n'était pas fluide, je me perdais un peu. Après m'être demandé plusieurs fois si mon Ebook ne subissait pas un bug de mise en page ou autre... J'ai mis 5 bons jours à lire ce livre et je l'ai terminé avec difficultés car je voulais absolument connaître la fin. Je n'ai pas réussi à me faire au style de l'auteur, c'est dommage.
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Situation kafkaïenne pour une ville privée de mort. L'idée est surprenante et exitante. La première partie intéressante mais la seconde ou résolution de l'énigme est décevante , trop " facile" et sans l'ampleur que méritait l'ambition première de l'auteur
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ESCHATOLOGIE répudiée.
A bâtons rompus, José SARAMAGO nous mène à admettre l'existence de la Mort au comportement insatiable devant des êtres plumitifs sur lesquels s'abat le couperet fatal et noctambule; plus qu'une "tuerie" significative, Ses propres vicissitudes édulcorées conduit Thanatos et son au delà vers une nécrologie permanente s'opposant à l'ici bas d'Éros au charme incandescent de la vie.
Estafier népotique de la mort, belliqueuse et arrogante, cette vieille rombière silencieuse(-la mort de parle pas)- claquemurée et osseuse qui n'a pas d'age dans son habit le plus vil à l'opposé d'une vestale nous accorde la libération de notre peur permanente de la voir s'agiter à la fin de son rire sardonique dissimulant ainsi le courant de l'air mortel de la faux.
Devons nous vivre pour connaitre la mort ou mourir pour savoir que l'on a vécu, par ces desseins macabres nous apprenons la vérité aussi morbide soit elle car la Mort ne peut exister que si il y a la Vie sinon elle viendrait à disparaître de par son inutilité en se déliquescent, aspect synallagmatique irrévocable. la Vie, n'est que la flamme de la bougie de la naissance, durant laquelle nous ne cessons jamais de l'entretenir à des fins que l'on pense inaltérables; tôt jeune ou tard âgé, celle-ci voit son intensité faiblir tel un rosaire égrené laissant pour finir de consumer la cire pleurer des larmes identiques aux survivants en couleur de deuil et clabaudant sur la mort, refusant sa terreur. La Mort aime la vie pour que son quorum tumulaire ne soit jamais tari.
POSTHUME, de battre le coeur de chacun s'arrêtera. (le mythe de Sisyphe)
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C'est un de mes livres préférés, je lui ai retrouvé par hasard dans un stand de livres dans mon pays d'origine... C'est vraiment un coup de coeur car malgré avoir l'air d'un délire fou, l'on peu trouver certaine logique si l'on se permet de naviguer dans l'imaginaire... Conseillé +++
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Et si la Mort responsable du pays dans lequel on vit (car chaque lieu a une mort attitrée) faisait une pause pendant quelque temps, que se passerait-il pour les pompes funèbres, les sociétés d'assurance, les hôpitaux ou les maisons de retraite, les religieux, les familles sans mort à pleurer mais avec des corps en souffrance à gérer, laver, soulager comme on peut ? Car l'immortalité n'a rien à voir avec l'éternelle jeunesse mais plutôt avec la dégénérescence sans fin, ce qui entraîne certains à conduire leurs proches jusqu'à la frontière histoire d'abréger leurs souffrances, faisant finalement de cette mort que l'on redoute tant une véritable source de salut...

José Saramago, le prix nobel portugais, se propose de réfléchir à toutes ces questions avec autant de sérieux que d'humour, faisant de cette douce utopie d'une vie sans mort un véritable cauchemar capable de mettre à mal famille, société, religion et morale. Mais au lieu de pousser son raisonnement jusqu'au bout, l'auteur change de direction au cours du roman en réintroduisant la Mort devenue un personnage à part entière doté de conscience et même de sentiment. le livre perd alors de sa densité, la verve et la finesse du départ laissant la place à de longues digressions pas toujours heureuses. Dommage.
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J 'adore l 'auteur, mais déçu par ce livre.
Je ne suis jamais vraiment rentré dans l 'histoire et la magie de Saramago n' a cette fois ci pas opérée...
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la mort (toujours sans majuscule bien sûr!) décide d'arrêter de tuer, de mettre en suspens sa raison d'être, et de voir ainsi ce qu'il se passe... Et c'est bien entendu le chaos!
Au lieu de prendre le problème dans le bon sens, les dirigeants commencent par résoudre des problèmes qui n'en sont finalement pas, comme le dédommagement des pompes funèbres ou le reclassement des fonctionnaires... Intelligent, non? On pourrait croire que J. Saramago voit dans notre avenir politique et humain...
L'allégresse des premiers jours se transforme rapidement en hécatombe, mais la mort revient vite sur le devant de la scène, en prenant à parti les médias pour son grand retour.
Mais son nouveau plan va être mis à mal par le refus (inconscient) de la mort d'un homme comme un autre...
On retrouve le style de José Saramago, des phrases longues comme le bras, les dialogues inscrits dans le récit, et surtout une caractéristique dont je n'ai pas parlé jusqu'à maintenant: un livre divisé en deux parties bien distinctes.
J. Saramago commence en général par décrire le chaos induit par l'évènement, que ce soit une épidémie d'aveuglement ou la mort arrêtant de tuer, la réaction de la population en général, le gouvernement, quelques anonymes... Puis s'investit dans un autre univers, plus personnel, en s'intéressant plus particulièrement à une situation, un personnage, une vision... Un schéma récurrent dans son récit, qui a le mérite de ne pas traîner en longueur.
Un vrai livre bien mené, dont on ressort avec un sentiment de fraîcheur.
Lien : http://angel-caprices.over-b..
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Saramago joue avec la mort

Saviez-vous qu'il y a une mort pour chaque pays et pour chaque catégorie de vivant ? Dans le pays de Saramago, celle des hommes cesse de les faire mourir. Entre philosophie et 'pataphysique, il nous amène avec beaucoup d'humour à visiter toutes les conséquences fâcheuses de cette nouvelle situation. Et au-delà à réfléchir sur les fondamentaux de notre société.

Un livre jubilatoire écrit par un homme très proche de sa mort. Saramago l'a publié à plus de 80 ans, 5 ans avant qu'il ne nous quitte. Facile d'écrire sur la mort à 20 ans mais demande une remarquable lucidité lorsqu'on approche du moment fatidique.

L'écriture très particulière de Saramago, qui à l'instar de la mort, fait fi des règles habituelles de la syntaxe, associe le lecteur de manière très intime à ses réflexions en l'interpellant pour le ramener à lui lorsqu'il le sent dubitatif ou son attention faiblir.
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Pfiouuu ! J'ai commencé ce livre il y a un mois et demi... Et je n'en ai lu que 110 pages ! Je déteste faire ça, mais j'ai décidé d'arrêter en cours de route, je n'arrive pas à avancer... Pour ce que j'ai lu, au début je me forçais à tout lire, puis je sautais les pages sans les lire.

La suite en cliquant sur le lien ci-dessous
Lien : http://iani.over-blog.com/ar..
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