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4,54

sur 2346 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Quatrième volet de l'autobiographie dessinée de Riad Sattouf, ce volume nous conduit dans ses années collège élargies qui commencent en fait dès le CM2 et le retour en France avec sa mère et ses deux frères. 

Comme on l'a découvert dans le troisième tome, sa mère ne supporte plus la vie dans le village syrien où elle s'ennuie, entourée de sa belle-famille, alors que son mari est parti enseigner en Arabie Saoudite. 

Riad aime bien l'école du village, les bons petits plats de sa grand mère (surtout les galettes à l'oeuf au plat) et même le rôti de porc ... Quand son père revient il dit toujours gagner beaucoup d'argent ... mais sa femme qui ne trouve pas de travail dans ce village près du Cap Fréhel a bien du mal à joindre les deux bouts ... 

Un retour en Syrie pour les vacances se passera mal ... Au retour, ce sera à Rennes que s'installera la famille monoparentale. 

Rennes où Riad aura bien du mal à se faire une place au collège, avec un nom dont beaucoup se moquent, un look pas vraiment terrible, couvert d'une acné rebelle, et, malgré ses dons en dessin, peu d'amis et d'amies ... 

Un album doux-amer où on voit l'intégrisme religieux du père grandir à chacun de ses passages, tout comme son antisémitisme et son racisme qu'il exerce tant envers les noirs qu'avec les maghrébins ... 

Un album qui s'achève sur un coup de théâtre ... 

Vivement la sortie du prochain tome pour savoir ce qu'il en est et tout découvrir sur les années de lycée de Riad 
Lien : http://les.lectures.de.bill...
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https://dubonheurdelire.wordpress.com/2019/03/13/larabe-du-futur-tome-4-de-riad-sattouf/


Reçu au pied du sapin à Noël, voici un cadeau dont je n'ai profité que récemment ! En même temps, j'ai bien fait d'attendre car je suis déjà impatiente de découvrir le prochain tome ! (même si en attendant je patienterai avec Les Cahiers d'Esther, une autre BD que je dévore sans vergogne dès sa parution !).

Dans ce tome, un peu plus long que les précédents mais aussi dont l'histoire est un peu plus difficile pour le jeune Riad et sa famille, on retrouve Riad, âgé de 10 ans en France. Après un séjour familial en Syrie pour le travail de son père, sa mère, ses frères et lui reviennent s'installer en Bretagne à proximité de la famille maternelle alors que le père travaille en Arabie Saoudite, pays où la mère refuse absolument d'aller !

voici la présentation de l'éditeur :

" Ce quatrième tome du succès mondial L'Arabe du futur couvre les années 1987-1992.
Âgé de neuf ans au début de ce volume, le petit Riad devient adolescent. Une adolescence d'autant plus compliquée qu'il est tiraillé entre ses deux cultures – française et syrienne – et que ses parents ne s'entendent plus. Son père est parti seul travailler en Arabie saoudite et se tourne de plus en plus vers la religion... Sa mère est rentrée en Bretagne avec les enfants, elle ne supporte plus le virage religieux de son mari. C'est alors que la famille au complet doit retourner en Syrie...

Dans le premier tome (1978-1984), le petit Riad était ballotté, de sa naissance à ses six ans, entre la Libye de Kadhafi, la Bretagne de ses grands-parents et la Syrie de Hafez Al-Assad. le deuxième tome (1984-1985) racontait sa première année d'école en Syrie. le troisième tome (1985-1987) était celui de sa circoncision. Ce quatrième tome, exceptionnel par son format (288 pages) et par ce qu'il révèle (le coup d'État de son père), est le point d'orgue de la série."

Dans ce tome, Riad grandit, change, est plus conscient du monde qui l'entoure et surtout des relations de ses parents mais il n'est pas le seul à avoir d'autres aspirations : sa mère ne supporte plus la Syrie et le rôle de femme au foyer qu'elle endosse depuis des années, son père est du plus en plus religieuse. La tension est palpable...jusqu'au coup d'Etat de son père qui clôture ce tome. En dire plus de ce coup d'Etat reviendrait à ôter à tous les lecteurs le suspens de ce tome. Je ne dirai donc pas un seul mot mais je peux vous dire qu'il crée une attente intenable ! Vivement la parution du tome 5 !

En résumé : comme les tomes précédents, j'ai dévoré ce roman graphique et j'attends avec impatience le prochain !
Lien : https://dubonheurdelire.word..
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Dans ce volume, nous sommes en 1987 au départ et Riad est a neuf ans, puis nous le voyons grandir et devenir adolescent (l'histoire s'achève en 1992). Il est reparti vivre en Bretagne avec sa mère et ses frères, tandis que son père travaille en Arabie Saoudite.

Ce dernier leur téléphone de temps en temps, puis toute la famille va se retrouver, tantôt pour retourner en Syrie, d'autres fois pour la France. Nous voyons les deux parents se disputer de plus en plus souvent, et le père devenir de plus en plus intégriste, raciste et misogyne (ou alors, le petit Riad n'en prenait pas conscience avant). À plusieurs reprises, j'ai été choquée par les propos qu'il pouvait tenir (négationnisme, utilisation du n-word, etc.) et donc peu surprise de voir Clémentine, la mère de Riad, se rebiffer contre son mari.

Cette fois, les personnages passent plus de temps en Bretagne (au Cap Fréhel puis à Rennes) qu'en Syrie, puisque Riad semble avoir plutôt été dans un collège en France. Les deux pays sont toujours colorisés de manière différente afin qu'on puisse les distinguer clairement, dans des tons roses ou bleus.

L'histoire est de plus en plus intéressante mais aussi dramatique, et j'ai senti un véritable tournant avec ce quatrième tome (qui, par ailleurs, est bien plus épais que les précédents). le personnage de Riad grandit et il prend plus conscience du monde qu'il l'entoure. C'est passionnant, et l'histoire se termine sur un tel cliffhanger que je n'ai qu'une hâte : lire la suite !
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
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"Tuer le père" pour devenir adulte ,c'est un peu le sentiment que j'ai ressenti à la lecture de ce livre. C'est aussi une critique de certaines positions rigoristes de l'Islam .Sa mère française ,chrétienne a sans doute permis à Riad Sattouf d'avoir cette distance vis à vis de la religion .Il traite également du harcèlement à l'école ,des différences de culture et de peau : un appel à la tolérance !
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"L'arabe du futur 4" est le nouvel opus de Ryad Sattouf sur sa jeunesse un peu particulière, entre sa mère bretonne et son père syrien.

Nous l'avions précédemment quitté à l'aube de l'adolescence, avec son papa fou de joie d'avoir décroché un poste en Arabie Saoudite, et sa mère bizarrement moyennement emballée. Ce nouveau tome débute en Bretagne, où Clémentine habite avec ses fils chez sa mère, après avoir refusé de suivre son mari. Ryad fait donc sa rentrée dans un collège français, et découvre toute la joie que cela représente (copains relous, filles méchantes et inaccessibles, solitude, boutons et ringardise). de temps en temps son père revient, mais l'écart se creuse de plus en plus entre les deux cultures familiales...

J'ai trouvé ce nouveau tome plein de violence : celle de tous les jours et pratiquement devenue banale, que Ryad rencontre au collège ; celle religieuse lorsqu'il retourne en Syrie et que lui et sa famille se font quotidiennement agresser ; celle familiale enfin entre ses deux parents qui n'arrivent plus à surmonter leurs différences et s'affrontent quotidiennement.
Un livre dur donc, mais terriblement attachant, qui se termine sur un revirement de situation qui fait froid dans le dos. Mr Sattouf, j'espère de tout coeur que cela va bien se terminer !
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Plus épais que les 3 précédents tome de la série, ce 4 volume raconte la vie de l'auteur et de sa famille de 1987 à 1992. À cette époque, Riad, sa mère et ses deux frères vivent principalement en Bretagne (au Cap Fréhel puis à Rennes) tandis que son père vit et enseigne en Arabie Saoudite. Il revient rarement en France, avec toujours dans l'idée de faire venir sa famille avec lui ou, encore mieux, qu'ils retournent s'installer tous ensemble dans son village natal en Syrie. Cette idée fixe et le discours de plus en plus raciste et farfelu du père vont créer une distance entre lui et sa femme. Dans ce 4e tome on suit aussi la vie quotidienne de Riad en France, les relations compliquée à l'école, les copains, les premiers émois, le dessin, les ordinateurs, etc. La vie d'un garçon qui entre dans la preadolescence.
Un album très réussi, qui évoque beaucoup de sujets avec sensibilité et offre une photographie intime d'un âge, d'une famille et d'une époque. On a hâte de lire les suivants (2 autres tomes prévus pour le moment à priori).
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Comme dans les trois précédents, Riad Sattouf raconte, il ne juge pas.
À la différence dans celui-ci qu'il a grandi, voit donc plus de choses, et les voit mieux. Il prend aussi conscience de ce qui lui convient et de ce qui lui convient moins.
Mais voilà, je le redis : Riad Sattouf raconte, il ne juge pas. Et il le fait avec beaucoup de talent, d'honnêteté et... de courage.
Car il en faut du courage pour aborder ce sujet. Nous savons tous les insultes et menaces qui se sont abattues sur celles et ceux qui osent et ont osé le faire dès lors qu'ils ne dégoulinent pas de louanges.
Et vous remarquerez que, très prudemment, je n'ai pas employé le nom de la chose dont il ne faut que l'on parle...
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Par Dieu, je ne comprends pas la mère de Riad Sattouf qui a préféré renoncer à une villa d'exception en Syrie pour habiter dans un coin paumé de Bretagne ! Rouler en Visa plutôt qu'en Mercedes de grand luxe !



Avec « L'Arabe du futur IV », on tombe d'effarements en effarements , le temps a passé et à l'athéisme a succédé la conversion puis l'endoctrinement du père. En Syrie, Riad est toujours pris pour un juif mais avec plus de violence encore. On lui prêche la future soumission du monde à l'Islam et l'on se prend à songer à Houellebecq. On lui reproche de ne pas pratiquer, on s'en prend à sa mère convalescente.

Aussi peu à peu, ce ne sont plus les allers-retours de la famille Sattouf et leur environnement qui prennent l'attention du lecteur mais bien le drame familiale qui couvait depuis longtemps. 
Face aux roueries et à la morgue omnisciente du père enfin se révolte la mère.


Avec elle, se dresse aussi une belle allégorie de la France, terre de tolérance et d'accueil mais qui a ses limites qu'il est bon de ne pas négliger. Le racisme, l'endoctrinement religieux, le fanatisme, la violence sur le plus faible, l'ingratitude, cette mère ne les supportera plus au lendemain du point de non-retour et gare à sa colère.

Ps: j'ai été heureux de savoir que le grand-père du petit Riad avait côtoyé l'Orson Welles d'Othello, mon film préféré de ce génie visionnaire.
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Enfin voici le tome 4, je l'attendais avec impatience depuis plus d'un an.
Cette fois ce sont les années 1987 à 1992 qui sont relatées. Riad dont le père voudrait faire l'Arabe du futur, grandit toujours entre deux mondes que presque tout sépare : la Bretagne du Cap Fréhel puis de Rennes où il vit avec ses deux frères et sa mère et le monde arabe où vit sa famille paternelle, en Syrie et où son père enseigne en Arabie Saoudite à l'université de Riyad. Lorsqu'il rejoint sa famille, l'ambiance se tend, il est obnubilé par la religion, il est de plus en plus raciste, antisémite, machiste. Les quelques séjours de la famille en Syrie ne feront qu'envenimer les relations : les parents de Riad, autrefois pont entre les deux civilisations symbolisent désormais le fossé qui les sépare. La tension culmine dans les dernières pages, au départ inopiné du père.
Si le père de Riad en prend pour son grade, d'autres personnages ne sont pas oubliés : les grands-parents bretons se laissent aller à une homophobie outrancière, les adolescents sont aussi cruels en Syrie où Riad est pourchassé comme « Juif » qu'en Bretagne où on se moque de son nom en le déclinant à toutes les personnes. Quant à Riad, il passe de l'enfance à l'adolescence et perd ses illusions en même temps que ses boucles blondes.
Plus encore que dans les trois premiers tomes, l'histoire personnelle atteint l'universel, la satire, l'humour, le réalisme, la nostalgie se conjuguent pour le plus grand plaisir du lecteur qui retrouve les pages bleues en France et les pages roses en Syrie de temps à autres interrompues par les vignettes rouges de l'émotion forte comme un leitmotiv de cette autobiographie en bande dessinée.
Lien : http://www.lirelire.net/2018..
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Cela fait maintenant quatre ans que l'artiste Riad Satouff s'est lancé dans l'écriture de romans graphiques retraçant les événements les plus marquants de son enfance passée entre l'Orient (en Syrie, essentiellement) et la France. le procédé n'est évidemment pas nouveau (on pense bien sûr à « Persépolis » de Marjane Satrapi ou encore plus récemment à « Coquelicots d'Irak » de Brigitte Findakly), mais le ton volontiers humoristique de l'oeuvre associé à l'acuité des souvenirs de l'auteur participent à faire de cet « Arabe du futur » une nouvelle référence dans ce domaine. [Les spoilers étant inévitables, je vous conseille de passer votre chemin si vous n'avez pas encore eu l'occasion de lire les trois tomes précédents.] Après le coup de tonnerre de la fin du troisième opus, on retrouve donc le jeune Riad et sa famille qui entre définitivement dans une phase plus mouvementée. Très effacée pendant l'enfance de l'auteur, voilà que sa mère se rebiffe enfin contre son mari dont l'attitude se fait de plus en plus inqualifiable. Après l'avoir suivi au bout du monde, accepté des conditions de vie difficiles et renoncé à sa carrière pour s'occuper des enfants, madame se décide enfin à penser à elle et à ne plus accepter ni les propos ni les actes condamnables de monsieur. le couple bat de l'aile, le petit Riad et ses deux frères continuent à grandir et, même si beaucoup de scènes se déroulent encore en Syrie, l'essentiel de ce quatrième volume prend place en France (et plus précisément en Bretagne, chez les grands-parents maternels). Les précédentes aventures de l'artiste m'avaient déjà beaucoup touchée, mais avec ce tome bien plus conséquent que tous les autres, Riad Satouf parvient encore à nous émouvoir, nous faire rire, ou nous choquer (le coup de théâtre final, notamment, laisse planer un suspens insoutenable et marque profondément le lecteur).

On constate dans ce quatrième tome que notre artiste en herbe quitte peu à peu l'enfance pour entrer dans l'adolescence. Cela se traduit d'abord physiquement, par une taille plus grande, une nouvelle coupe de cheveux, de l'acné... L'auteur porte d'ailleurs un regard très critique sur lui-même, et pas seulement d'un point de vue physique. Sa voix, ses manières, sa manie de toujours chercher l'approbation des adultes… : Riad Satouf dresse un portrait de lui enfant qui n'est pas forcément très flatteur, mais c'est justement cette sincérité et cette volonté de ne pas enjoliver les choses qui participent à rendre le personnage aussi attachant. Difficile de ne pas s'émouvoir de sa solitude et de sa maladresse, ni de compatir à ce tiraillement permanent entre deux cultures différentes, chacune défendue par l'un de ses deux parents. Son père, notamment, fait peser sur lui une lourde pression afin de faire de lui un arabe exemplaire et un musulman convaincu (sans jamais le forcer, toutefois). Les signes de l'évolution du petit Riad se manifestent aussi de manière plus subtile, à mesure qu'il se concentre de moins en moins sur sa propre personne et que son empathie s'étend aux membres de son entourage. L'artiste s'efface ainsi de plus en plus souvent pour donner le rôle principal à ses parents qui se déchirent. Impossible de ne pas s'identifier à la mère qu'on est ravi de voir enfin se rebeller et s'élever contre les injustices ou les propos horribles tenus par son mari (sur les Juifs, les noirs, les femmes, les Français...). On sent bien toute l'admiration que l'artiste a pour sa mère, tandis que son père est présenté sous un jour beaucoup moins flatteur. Lâche, raciste, sexiste, antisémite, obsédé par l'argent, de plus en plus radical d'un point de vue religieux : l'image du père, qui avait déjà été bien écornée dans les tomes précédents, en prend ici un nouveau coup à mesure que l'enfant prend conscience de l'injustice ou de la gravité de certains événements ou propos du quotidien.

Si on ne peut s'empêcher d'admirer le courage de la mère, on éprouve au contraire de plus en plus de mépris envers le père à qui on a désormais bien du mal à trouver des excuses. D'ailleurs, globalement, la plupart des personnages arabes rencontrés dans ce quatrième tome sont dépeints de manière négative, qu'il s'agisse de sa belle cousine très religieuse qui ne cesse de critiquer tout ce qui vient d'Occident et ce qu'elle considère comme des pratiques dégénérées, ou bien de son cousin violent qui menace sa mère parce qu'elle a eut affaire en France à un médecin homme. Et même en France, les seuls arabes que l'on croise sont des jeunes des quartiers qui s'empressent de courser notre héros pour le tabasser… Les passages en Syrie sont moins nombreux mais on a toujours l'image d'un pays très pauvre et violent dans lequel la religion occupe une place centrale et où les femmes sont toutes soumises à l'autorité des hommes. Les scènes se déroulant en Arabie Saoudite sont encore pire et ne manquent pas de révolter le lecteur (je pense notamment à la scène surréaliste au cours de laquelle le père, professeur à l'université, fait cours à un amphi de femmes… derrière une caméra, dans une pièce à part, pour ne pas poser les yeux sur elles…). le récit étant basé sur une expérience vécue, on peut difficilement douter de la sincérité de l'auteur ou de la réalité de tous ces événements, mais je m'interroge néanmoins sur l'image que cela renvoie et sur le message que certains lecteurs peu ouverts d'esprit pourraient y voir. La critique est cela dit un peu atténuée par le fait que l'artiste montre également les mauvais côtés de certains membres de l'entourage de sa mère : sa grand-mère a beau être adorable elle n'en tient pas moins des propos odieux sur l'homosexualité, quant à son grand-père, il ne cesse de lui demander s'il est « un vrai mec » et l'encourage à embrasser et peloter les filles de sa classe.

Riad Satouf continue de nous régaler avec ses souvenirs d'enfance qui prennent néanmoins une teinte plus sombre à mesure que l'enfant grandit et réalise la gravité des événements dont il a pu être témoin ou des propos qu'il a pu entendre dans la bouche de son père. L'humour est cela dit toujours bien présent, et ces touches de légèreté sont les bienvenues dans un contexte de plus en plus tendu au sein du couple parental qui semble définitivement sur le point d'exploser. Inutile de vous dire que j'attends la suite avec beaucoup d'impatience.
Lien : https://lebibliocosme.fr/201..
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