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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Il n'y avait aucune critique ni citation sur ce livre, or j'aime bien ses références à l'enfance et n'ai pu résister à la tentation de mettre en citation un texte qui m'a touché. L'appréciation est très personnelle et chacun pourra se faire son idée.
Citations et extraits (3)
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Ils ne savent pas…
Ils ne savent pas qu’ils ne vont plus revoir
Les vergers d’exil et les plages familières
Les étoiles qui voyagent avec des jambes de sel
Quand la nuit est triste de plusieurs beautés
Ils oublient qu’ils ne vont plus entendre
Le vent de la grille et le chien des images
L’eau qui dort sous la couleur des pierres
La nuit avec des violons de pluie
Tant de magie pour rien
Si ce n’était ce souvenir d’un autre monde
Avec des oiseaux de chair dans la prairie
Avec des montagnes comme des granges
Ô mon enfance ô ma folie
Ils ne savent pas qu’ils ne vont plus revoir
Les vergers d’exil et les plages familières
Les étoiles qui voyagent avec des jambes de sel
Quand la nuit est triste de plusieurs beautés
Ils oublient qu’ils ne vont plus entendre
Le vent de la grille et le chien des images
L’eau qui dort sous la couleur des pierres
La nuit avec des violons de pluie
Tant de magie pour rien
Si ce n’était ce souvenir d’un autre monde
Avec des oiseaux de chair dans la prairie
Avec des montagnes comme des granges
Ô mon enfance ô ma folie
Nous reviendrons corps de cendres ou rosiers
Avec l’œil cet animal charmant
O colombe
Près des puits de bronze où de lointains
Soleils sont couchés
Puis nous reprendrons notre courbe et nos pas
Sous les fontaines sans eau de la lune
O colombe
Là où les grandes solitudes mangent la pierre
Les nuits et les jours perdent leurs ombres par milliers
Le temps est innocent des choses
O colombe
Tout passe comme si j'étais l'oiseau immobile
Avec l’œil cet animal charmant
O colombe
Près des puits de bronze où de lointains
Soleils sont couchés
Puis nous reprendrons notre courbe et nos pas
Sous les fontaines sans eau de la lune
O colombe
Là où les grandes solitudes mangent la pierre
Les nuits et les jours perdent leurs ombres par milliers
Le temps est innocent des choses
O colombe
Tout passe comme si j'étais l'oiseau immobile
Il n'est pas de bonheur Jules qui ne soit
de mélancolie
Portrait de Jules, p.111
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Portrait de Jules, p.111
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