Le terme vulgarisateur d'"attaque" a progressivement disparu du vocabulaire des patients et on ne ne connaît plus aujourd'hui que l'acronyme AVC, désignant un accident vasculaire cérébral. Ce dernier survient lorsque la circulation sanguine vers ou dans le cerveau est interrompue par un vaisseau sanguin bouché ou par un vaisseau sanguin rompu ; on parle dans le premier cas d'AVC ischémique (situation la plus fréquente) ou d' AVC hémorragique (dans moins de 15% des cas).
L'intérêt de l'ouvrage est de passer en revue les troubles qui restent en séquelles d'un AVC et d'offrir des pistes pour les réduire. On a l'évocation, pour un chapitre spécifique, des problèmes de langage, de repérage dans l'espace, de latéralisation, de mémoire, de discrimination visuelle, de la sortie du coma dû au traumatisme crano-cérébral. Certes on ne peut réparer un cerveau lésé, mais une récupération de certaines fonctions est possible. On sait d'ailleurs combien des malades souffrant d'IMC ont pu compenser certaines facultés. On apprécie un glossaire de près de dix pages.
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