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4,16

sur 329 notes
Un bel objet.
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J'ai adoré ces deux histoires, l'une racontée avec des mots, l'autre en parallèle racontée par le biais de dessins (toujours aussi évocatrices et chargés d'émotions) celle de Rose Kincaid, une jeune fille que son père oblige à rester à la maison, ce qui ne l'empêche pourtant pas s'échapper pour New York, retrouver une célèbre actrice qu'elle admire tant.

L'une et l'autres de ces histoires, pourtant différentes (tout en gardant un lien manifeste constant), nous emportent dans leur univers respectif et Ben autant que Rose possède ce petit quelque chose d'attachant, voir même de touchant.
Lorsqu'enfin le texte rejoint l'image, on est forcément un peu ému et attendri de découvrir le visage de Ben et de comprendre ce qui le lie à la jeune Rose de 1927. L'ensemble tient très bien la route et, que l'on soit petit ou grand, le musée des merveilles est un livre qu'on ne peut qu'aimer. Comme d'habitude, j'ai adoré le mélange illustration/texte qui donne beaucoup de rythme à la lecture et qui permet d'engloutir ces 600 pages en un rien de temps.
Quant au découpage, il est si bien fait qu'il laisse le lecteur déambuler d'un style à l'autre, d'une intrigue à l'autre et d'un univers à l'autre sans jamais se perdre. C'est un plaisir de basculer de l'un à l'autre car il opère ici une forme d'addiction naturelle qui donne envie de ne plus poser le livre sans avoir compris le lien et surtout de savoir si Ben découvrira enfin ses origines............................................

Lien : https://libre-r-et-associes-..
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Pour les enfants à partir de 9 ans

D'une part une histoire racontée en dessin, celle de Rose 1927 qui part à la recherche d'une célèbre actrice qu'elle connait bien.

En parallèle, une histoire racontée avec des mots, celle de Ben cinquante ans plus tard qui part à la recherche de son père...

Deux histoires qui se rejoignent , autour d'un musée, de New York et du handicap de la surdité.

Un roman magique ou le dessin et le texte alternent pour nous parler de la différence, du courage que cela impose et de la difficulté à trouver parfois sa place dans la vie..



Lien : https://justelire.wordpress...
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Fin du livre #lemuseedesmerveilles de Brian Selznic, encore un trés beau livre, avec des dessins vraiment tres beau, qui souligne les détails de chaque personnage, il y a une dizaine de pages illustrées pour des pages écrites, ce sont deux histoires différentes mais qui vont se rejoindre, c'est un peu destabilisant, car on vois pas le rapport, mais ça induit aussi un peu de supens, qui donne du peps au récit.
Ben se retrouve chez sa tante et ses cousines, car sa maman viens de mourire, il habite a 852 pas de chez lui, et un soir il voit de la lumière, il pense que sa mére est revenu, Ben est sourd d'une seule oreille, il court jusqu'a la maison et décue il apercois sa cousine qu'il fume une petite cigarette, il lui demande de partir et lui dis qu'il va rester un peu, en plus, il y a un gros orage, pour rester dans les souvenirs de sa maman, il fouille un peu, et il trouve un superbe médaillon, il l'ouvre, et découvre à l'interieur la photo d'un homme, et il se sent mal, trés mal, et se retrouve a l'hopital, il est devenu completement sourd, il as était électrocuter par la foudre, mais il as qu'une idée retrouver cet homme qui est surement son pére. Que va t il trouver exactement a New York ? II prends le risque, lui completement sourd dans une ville comme New York d'essayer de retrouver son pére...
Trés belle histoire sur la surdité, sur le langage des signes, sur comment se faire comprendre quand on es completement sourd dans une grande ville, aussi sur le besoin de connaître ses racines, sa famille
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Une très bonne lecture avec une histoire très touchante même si j'ai été un peu déçue par la fin que je trouve trop rapide.
J'ai adoré le concept de mélanger les mots et les dessins. Ca permet vraiment d'enrichir l'histoire. Et les dessins sont splendides ! On prend plaisir à contempler le trait de l'auteur tout en simplicité mais aussi en détail. Et autre gros plus, la présence constante du musée, un lieu que je trouve magique et qui n'est pas très souvent représenté à sa juste valeur. Une super découverte !
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après Hugo Cabret, voici le 2ème roman de Brian Selznick.
il est très illustré comme le premier, mais pas découpé de la même façon.
alors que Hugo Cabret alterne le texte et les dessins dans un fondu enchainé
, Black out nous raconte deux histoires en alternance. celle de Ben avec des mots et celle de Rose avec des dessins sans parole.

Lac Gunflint, Minnesota, juin 1977 :
« Les loups sont lancés à sa poursuite, galopant à travers la neige baignée par la lune, avec leur langue rouge pendante et leurs crocs blancs étincelants... » Ben Wilson, sourd de naissance d'une oreille, fait chaque nuit le même cauchemar… Mais pourquoi ces bêtes le traquent-elles ainsi ?

Hoboken, New Jersey, octobre 1927 :
Rose, une fillette sourde-muette, est seule dans sa chambre. Son père lui interdit de sortir à cause de son handicap. Rose contemple New York, et découpe des photos de stars dans un magazine…

les 2 histoires ne sont pas étrangères l'une de l'autre. chacune leur tour, elles se déroulent sous nos yeux à 50 ans d'intervalle avec des points communs.

une histoire émouvante, banale diront certains, mais touchante. (vous commencez à me connaître, je ne résiste pas aux histoires d'amour).
la particularité de celle-ci : le personnage principal est en réalité le musée d'histoire naturelle de New-York, comme le cinéma était au coeur de Hugo Cabret.

je lirais le 3ème roman de cet auteur avec plaisir et curiosité. sera-t-il renouveler son style, ou va-t-il s'enfermer dans son concept ?
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2 histoires en parallèle.

La première est celle de Ben. Nous sommes en 1977 et le garçon vient de perdre sa mère, décédée dans un accident de voiture. Un soir d'orage où il se réfugie dans la chambre de sa mère, il découvre dans un tiroir un livre le cabinet des curiosités (sur l'histoire des musée) ainsi qu'un médaillon. Plusieurs indices le conduisent à penser qu'ils pourraient le conduire à retrouver son père qu'il n'a jamais connu. Sa quête le mènera à New York où les surprises ne manqueront pas.

La deuxième histoire est celle de Rose. Nous sommes en 1927 et cette jeune fille décide de quitter sa maison pour aller rejoindre sa maman, célèbre artiste.

Leur point commun, la surdité des deux enfants qui a évidemment toute son importance dans ce roman et qui sera traitée en mots et en images d'une façon naturelle et évidente.

L'histoire de Ben nous est racontée “en mots” en alternance avec celle de Rose qui nous est contée “en images”. Ce qui fait toute l'originalité du roman. Brian Selznick récidive avec ce procédé qu'il avait utilisé pour L'invention de Hugo Cabret, adapté au cinéma par Martin Scorsese en 2011.

La quête d'identité des enfants est plutôt classique dans le genre. Les deux histoires restent passionnantes On s'attache rapidement à ces enfants qui chacun de leur côté cherchent leur place dans leur famille. le dénouement des deux histoires qui se rejoignent s'avère très touchante. Les liens que les enfants ont avec la ville de New York est d'autant plus intéressante dans leur construction personnelle.

Le découpage scénaristique contribue à la réussite de ce livre. L'alternance entre les mots et les images donne une fluidité et une respiration incomparable.

Une belle découverte !
Lien : http://fromtheavenue.blogspo..
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Un gros coup de coeur pour ce roman graphique. L'histoire est très bien menée et nous plonge dans le dessous des musées. Les thématiques sont un peu sembable au premier roman de l'auteur (L'invention d'Hugo Cabret) mais à la fois complètement différente. Il est bien fait pour les enfants qu'on veut "confronter" en douceur au handicap (ici la surdité).
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Après le succès de L'invention d'Hugo Cabret, les éditions Bayard nous proposent de découvrir un autre chef-d'oeuvre de Brian Selznick : Black out.

1977. Alors qu'il vient de perdre sa mère, Ben est recueilli par son oncle et sa tante. En fouillant les affaires de sa mère, il trouve un livre et sur la première page de celui-ci, se trouve un étrange message « Pour Danny ». Et Si Danny était ce père qu'il ne connaissait pas ?

1927. Rose est une petite fille sourde, surprotégée par son père. En secret, elle rêve de liberté, jusqu'au jour où elle décide de partir de chez elle.
Deux personnages, deux époques différentes et pourtant le destin de Rose et de Ben semble lié.

Brian Selznick m'avait déjà conquise avec L'invention d'Hugo Cabret, je savais qu'il en serait de même avec Black out. Comme dans son premier roman, texte et image se mêlent pour donner à l'histoire une dimension cinématographique. Cependant contrairement à L'invention d'Hugo Cabret nous avons deux points de vue : Brian Selznick qualifie lui-même ses romans de "roman en mots et en images". Dans Black out, les mots et les images s'altèrnent en fonction des héros : les mots sont pour Ben et les images pour Rose, avant que les deux finissent par se mêler.
Je craignais de ne pas vraiment suivre l'histoire dessinée mais les illustrations sont tellement bien faites que l'on devine facilement les mouvements. Brian Selznick arrive à insuffler de la vie à ses images. La partie illustrée donne un charme considérable au roman, qui se démarque des livres qui peuvent sortir aujourd'hui. Concernant l'histoire racontée avec des mots, l'auteur nous montre, une fois de plus, toute la poésie dont il est capable.
Ben m'a beaucoup fait penser à Hugo Cabret : un jeune orphelin, seul, qui cherche à résoudre un mystère concernant son passé. Mais la comparaison s'arrête là. le décor est différent puisqu'ici l'action se déroule à New York, et surtout, Brian Selznick a su se renouveler tout en gardant le principe du livre mi-imagé, mi-raconté.
Pour conclure, je dirais que Black out est un véritable conte, à dévorer en un soir, à la lumière d'une lampe de poche.


Lien : http://alittlematterwhatever..
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Dans ce roman, nous suivons 2 personnages à 2 époques différentes. Tout d'abord, Rose en 1927 et ensuite, Ben en 1977.

Rose est une jeune fille sourde-muette. Elle rêve d'une mystérieuse actrice qui se révèle, au final, être sa mère. Elle collectionne tous les articles de presse la concernant. Un beau jour, elle décide de partir sur ces traces et de la rejoindre à New-York.

Ben, quant à lui, vient de perdre sa maman et vit chez son oncle et se tante, étant donné qu'il n'a jamais connu son père. A force de recherche, il finit par trouver un livre dans la chambre de sa mère avec une mystérieuse dédicace. Il va alors décider de se lancer à la recherche de la personne ayant dédicacé le livre, qui pense être son père, et part lui aussi à New-York.

Existe-t-il un lien entre Rose et Ben malgré les années qui les séparent ? Leurs chemins vont-ils se croiser ?


Mon avis

Ce roman est vraiment magnifique et très original.

La partie concernant Rose est toute en images, alors que celle concernant Ben est écrite.

Les illustrations sont splendides. Pas besoin de mots pour comprendre la vie de la petite fille.

Ces 2 jeunes gens sont attachants et touchants de par leurs histoires respectives.

Malgré les 634 pages du livre, il se lit très vite du fait des illustrations.

Ce roman est une belle découverte que je ne regrette absolument pas.

J'ai beaucoup aimé !

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