La seizième clé

Oswald a une vie très agréable dans le manoir d'Hemyock. Tous les ans, il reçoit une clé qui permet d'ouvrir une porte du manoir. Mais peu avant de recevoir ça c'est seizième clé il rencontre et Zelah une fille qui a fui le Manoir et qui a vécu la même chose que lui.
J'ai apprécié cette histoire parce qu'il y avait du suspense, on avait envie de savoir ce qu'on ouvrait la 16e porte et de connaître le mystère autour de ce manoir.
Je recommande ce livre.

Un manoir où Oswald vit seul comme un petit Prince, entouré d'adultes à son service et préservé pour des raisons de santé. Mais un jour il découvre que la réalité pourrait être toute autre et lui faire perdre la raison ! Plusieurs univers, plusieurs espaces temps pourraient cohabiter dans le manoir...
Si l'écriture est extrêmement belle et les personnages complexes je me suis un peu perdue dans la construction de cet univers de fantasy... La référence à Albert Einstein est très amusante !
La professeuse documentaliste

Après avoir beaucoup aimé "Le dernier songe de Lord Scriven" d'Eric Senabre, j'ai eu envie de découvrir son nouveau roman "La 16e clé".
Le pitch ? Oswald, 15 ans, vit seul dans un grand manoir, avec une armée de domestiques et de professeurs à son service. Il ne s'étonne pas de l'absence de ses parents, ni même de n'être jamais sorti du parc du manoir. Jusqu'au jour où des objets commencent à disparaitre et où il fasse la rencontre d'une mystérieuse jeune fille qui dit vivre également dans le manoir depuis des années.
J'ai trouvé que le début était un peu long à se mettre en place, mais une fois que j'ai été prise dans l'intrigue, je n'ai plus laché le livre ! On en découvre plus au fur et à mesure sur ce mystérieux manoir et ses secrets. C'est intrigant, on ne s'ennuie pas. Un roman ado très prenant, un peu philosophique et qui pose de nombreuses questions. Et la fin est superbe et très touchante !

Il y a une ambiance très particulière dans ce livre. Très certainement due aux mystères et aux anomalies du manoir. Les personnages eux-mêmes ont peur de devenir fous.
Une ambiance très prenante et originale.

Vers la fin, le "méchant" (selon les personnages) leur raconte son plan. J'ai eu peur que cette ambiance, cet univers particulier, ne s'effondre une fois expliqué. Eh bien non. Ses explications clarifient les choses sans rien leur retirer. Au contraire, j'ai trouvé que cela apportait quelque chose en plus.
En effet, connaître les motivations des "méchants" donne une autre dimension à l'histoire. D'ailleurs, je mets le terme de méchant entre guillemet. Car, certaines de leurs actions sont répréhensibles et égoïstes, mais leur motivation peut être comprise. Même si la punition est à la hauteur de leur faute. Il faut savoir être responsable de ses actes et en assumer les conséquences. Eux ont choisi d'aller plus loin dans l'erreur de base.

le temps, l'univers et ses secrets, la création pure qui rapproche les hommes des secrets de l'univers, l'égoïsme, les ravages de la guerre, la science utilisée à mauvais escient, la pénitence, le choix de ses actions… il y a toutes ces choses derrière cette histoire de 160 pages environ. Un vrai concentré de plaisir.
Il y a quelque chose de très beau dans ce discours : la création rapproche les hommes des secrets de l'univers. La danse, les maths, la peinture, le chant, la musique, la poésie… Tous ces arts nous transcendent, nous font ressentir des choses qu'on ne peut que difficilement expliquer par la raison. Comme si nous touchions quelque chose qui nous dépasse.

C'est l'idée de ce livre. Ces enfants, à travers leur art, touchent à quelque chose qui dépasse les autres et leur donne un "pouvoir", leur permet de faire de grandes choses. N'est-ce pas joli ? Oh, et quand vous le lirez, ne trouvez-vous pas que le personnage de Gabriela est une idée fantastique ? Moi si.
Lien : http://blondes-and-litterair..

Un manoir ou Oswald vit seul comme un petit Prince, entouré d'adultes à son service et préservé pour des raisons de santé. Mais un jour il découvre que la réalité pourrait être toute autre et lui faire perdre la raison ! Plusieurs univers, plusieurs espaces temps pourraient cohabiter dans le manoir...
Si l'écriture est extrêmement belle et les personnages complexes je me suis un peu perdue dans la construction de cet univers de fantasy... La référence à Albert Einstein est très amusante !
La professeuse documentaliste de cdicollegeguisthau

Un livre subjuguant qu'il faut lire d'une traite pour comprendre les tenants et les aboutissants. Oswald est un jeune homme de 15 ans qui ne rêve qu'à l'accès à la 16ème clé après son anniversaire. Cependant, il vit seul dans un manoir, entouré de professeurs, de serviteurs. Il commence à se poser des questions lorsqu'il est pris de malaises après avoir exercé son art, la poésie. Aidé par Zelah, qui surgit mystérieusement, il va être se rendre compte qu'il vit dans une réalité alternative et que tout ce qu'il a vécu depuis sa plus tendre enfance n'est que manipulations. Son histoire tourne autour d'Albert Einstein.
L'écriture est très belle, la manifestation des pouvoirs des adolescents par le biais de l'art (que ce soit la musique, la littérature, la danse, voir même les mathématiques) est très agréable. Par contre, je trouve qu'il faut s'accrocher pour arriver à comprendre toutes les péripéties. A tester avec les élèves afin de pouvoir débattre ! (C. Soubic)

Malheureusement, si j'étais emballée au départ, mon engouement n'a été que de courte durée. En effet, au fur à mesure que l'histoire avance, elle se complique de plus en plus. On parle de voyages dans le temps, de dimensions parallèles, de doubles… le livre est recommandé pour les enfants à partir de 12 ans, mais je dois avouer que même moi, à 30 ans, je me suis arrachée les cheveux à essayer de comprendre l'intrigue qui part dans tous les sens et est hyper complexe. J'adore les histoires de voyages dans le temps et de dimensions parallèles, mais mélanger les deux ainsi et sans toujours une vraie suite logique, c'était le meilleur moyen pour me perdre. J'ai ainsi perdu de l'intérêt au fur et à mesure de l'histoire et j'ai bien haussé les sourcils et soupiré lors de l'interminable explication à la fin du roman. Bref, vous l'aurez compris : je n'ai pas été comblée, loin de là !
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J'ai pris beaucoup de plaisir à me plonger dans ce roman à l'histoire plutôt originale.
Oswald se retrouvera face à une réalité inattendue qui le plongera dans une course poursuite après le temps, bien plus importante que ce qui pourrait l'imaginer, à la recherche de réponses à ses questions existentielles.
Malgré que l'intrigue autour de cette gestion du temps, de ses illusions, et de ces mondes parallèles est très prenante et donne envie d'aller au bout du roman pour savoir le point final, j'ai trouvé les explications et raisons parfois un peu compliquées à comprendre, ce qui fait que quelques paragraphes ont été lus en diagonale car j'étais un peu perdue.
Cela n'empêche en aucun cas d'apprécier ce roman!
La fin est juste superbe, j'avoue y avoir laissé quelques larmichettes.

Un Roman jeunesse plus sombre et plus complexe qu'on ne l'imagine.

J'ai beaucoup aimé ce livre jeunesse, pas si jeunesse que ça d'ailleurs, mais je vais y revenir.
Le début de l'histoire est aussi classique que curieuse, Oswald, jeune adolescent de 15 ans, vit dans un manoir où tout le monde est plus ou moins à son service et aux petits soins pour lui, précepteur, domestique… Tout le monde l'appelle « maitre Oswald ». ..

La chronique complète sur Songe !
Lien : https://songedunenuitdete.co..

Après avoir dévoré les deux tomes fantastico-policier consacrés à l'étonnant duo Christopher/Barnejee ("Le dernier songe de Lord Scriven" et "Le vallon sans fin"), j'avais hâte de découvrir ce nouveau titre d'Eric Senabre. Si j'ai apprécié le premier tiers du roman, mystérieux à souhait et drôle grâce au personnage principal, j'ai été moins emballée par le second et me suis sentie complètement larguée par le dernier ! le dénouement de l'histoire ne m'a pas du tout convaincue, je l'ai trouvé à la fois compliqué et tiré par les cheveux.