Dessin réaliste et trognes de malfrats assez difficiles à identifier tellement ils se ressemblent. Il faut être attentif mais peut être est-ce le cas dans ce milieu, en vrai...
L'histoire aussi est compliquée, entre allégeances, mémoire du passé de la résistance, Algérie française, difficile de savoir qui travaille pour qui et surtout pourquoi. Mais peut être est-ce le cas dans ce milieu de barbouzes...
Les femmes, objets bien sûr mais peut être est-ce ...
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Hé a un style particulier. D'ailleurs, il convient bien à ce genre de récit. Il se charge aussi lui-même de la couleur et la gère très bien. C'est rythmé et les cadrages sont efficaces. Les personnages sont expressifs et la reconstitution du Paris de 1950 est des plus réussies.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Immersif, Le prix de la mort, premier tome d'un diptyque, souffre d'un dessin qui n'est, pour le moment, pas approprié à un récit noir, violent et somme toute, intéressant.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le duo fonctionne à merveille dans ce premier tome certes assez classique mais qui réserve des surprises. On plonge au cœur de l’action toujours avec ce plaisir à retrouver Dominique Hé.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Je n'ai ni dieu ni maître, juste un patron.
Dans le 128e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Le petit frère, album que l’on doit à Jean-Louis Tripp, édité chez Casterman. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Carnets de campagne que l'on doit à Mathieu Sapin, Kokopello, Morgan Navarro, Louison, Dorothée de Monfreid et Lara et c'est co-édité chez Dargaud et au Seuil
- La sortie de l'album Chroniques décalées d'une famille ordinaire et vice-versa que l'on doit à Séverine Tales et aux éditions Payot Graphic
- La sortie de l'album Année zéro que l'on doit au scénario d'Ana Roy, au dessin de Mademoiselle Caroline et c'est édité chez Delcourt
- La sortie de Gertrude Stein et la génération perdue que l'on doit au scénario de Valentina Grande, au dessin d'Eva Rossetti et c'est édité au Seuil
- La sortie de l'album Orson Welles, l'inventeur de rêves scénarisé que l'on doit au scénario de Noël Simsolo, au dessin d'Alberto Locatelli et c'est édité chez Glénat
- La sortie en intégrale d'Une semaine sur deux, un album que l'on doit à Pacco et aux éditions Fluide glacial
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