Une histoire poignante!!! Que l'on soit belle, moche, riche, pauvre, on ne peut que se sentir touchée par les personnages, par leurs histoires, leurs tragédies et leurs forces.
Recueil de survivants, d'écorchés de la vie qui plutôt que de se laisser abattre par les évènements s'efforcent de vaincre plutôt que d'être vaincu. On ne peut qu'admirer l'auteur de nous offrir un panel d'émotion si varié, une histoire si belle, des personnages secondaires aussi important et beau que les deux personnages principaux.
J'ai ris, j'ai pleuré, j'ai été ému, j'ai eu peur, j'ai voulu encourager, soutenir et parfois insulter.
J'ai a-do-ré!!!
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Derrière le simple roman à l'eau de rose, se cache une histoire sur la reconstruction physique et mentale derrière des accidents qui peuvent arriver à n'importe qui.
Un jeune homme qui perd femme et enfant le 11 septembre ou une femme victime d'un accident de la route et qui perd son physique de déesse
Comment se reconstruire après ça ?
Joli histoire bien qu'un peu simpliste.
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C 'est un roman à l'eau de rose, un peu trop même. Au point de vue littéraire, il n'a pour moi, aucun intérêt. Cependant pas de regret, cette lecture m'a permis de me rendre compte qu'à l'opposé, les livres d'auteurs reconnus ou primés sont d'une qualité nettement supérieure, pour nr pas dire parfaite.
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un livre réconfortant et captivant avec ses personnages attachants, une histoire qui encourage toute âme désespéré de croire à la vie... fin parfaite, ce n'ai pas le cas dans la vrai vie mais ça m'a fais un grand plaisir de lire se livre et aussi de remettre en question beaucoup de choses. bonne lecture.
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Pas de surprise, mais j'avoue que de l'amour, de bons sentiments et des gens attachants parfois cela fait juste du bien.
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Le plus dur quand on est aussi malheureux, c’est d’avoir les idées claires. Il faut profiter de ces brefs moments de lucidité et s’accrocher à eux.
Je savais que je devais être reconnaissante d’être en vie, reconnaissante de recevoir les meilleurs soins médicaux que mon argent pouvait m’offrir, reconnaissante d’être si riche que je n’aurais pas à travailler le restant de mes jours, reconnaissante pour les biscuits, Thomas, les photos. Mais je ne l’étais pas, pas de manière sincère et joyeuse. Je voulais mon ancienne vie. Je me sentais coupable d’être riche et d’avoir survécu, d’avoir été une princesse dorlotée qui avait fini par attirer un mauvais karma sur elle
J’essayai d’apercevoir les poules fermières qui pondaient des œufs politiquement corrects, les chiens, chats, lapins et cochons ventripotents sauvés des asiles, la statue dénudée d’une déesse dans le jardin aromatique, sculptée à la tronçonneuse dans un morceau de chêne de trois mètres de haut. Mais je ne pensais qu’à la couche visqueuse de fluides nataux qui commençaient à sécher sur ma peau, à s’affermir, à me couper le souffle
N’importe quel imbécile peut se reproduire ; cela ne nécessite pas un gramme de bon sens, d’élégance, de sagesse ou de fortune... Mais les femelles intelligentes protègent leurs atouts physiques, choisissent leur mâle dans un but pratique et se reproduisent quand cela les arrange. Ensuite, elles élèvent leur progéniture sans effusion de sentiments et expédient les petits ingrats dans le monde le jour de leurs dix-huit ans.
La vraie vie ne m’intéressait pas. J’avais cherché sur Google la biographie de reclus célèbres, mes âmes sœurs en résumé. Je ne fus pas surprise de découvrir que l’argent était le grand émancipateur de tous les ermites cinglés du monde, le mur lisse entre un sans-abri qui fuit ses démons dans les égouts et Howard Hughes terré dans un de ses hôtels de Las Vegas.