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Je vais commencer cette chronique en exprimant ma surprise. le livre que j'ai en ma possession se termine à la page 504, en plein milieu d'une phrase... J'ai donc l'impression d'avoir lu une version avec des pages manquantes (de conception visiblement puisque les pages ne sont pas arrachées) ! Bref, surprenant, il doit me manquer la fin quoi.

Cela ne m'empêche pas pour autant de parler du livre, je n'ai peut-être pas le mot de la fin mais j'ai quand même eu le dénouement de l'enquête. J'ai l'impression que toutes les questions que je me posais n'ont pas trouvé de réponse mais je laisse le bénéfice du doute, il y avait peut-être des éléments dans les pages manquantes.

Sinon, j'ai trouvé cette lecture plutôt sympathique. J'apprécie particulièrement ce genre du roman historique et je n'ai pas été déçu ici. L'auteur maîtrise les codes sans aucun doute, c'est très bien écrit et le lecteur est bien immergé dans l'époque.

Le seul petit reproche que je pourrai faire, ce sont les longueurs omniprésentes et qui m'ont même parfois fait un peu décrocher. Je pense que le roman aurait pu gagner à être un peu plus concis sans pour autant sacrifier l'immersion dans l'époque. Il faut dire aussi que le nombre de personnages est assez important et on est surchargé avec beaucoup d'éléments qui n'ont pas forcément un intérêt monstrueux pour l'enquête ou pour la présentation du contexte.

Au-delà de ce petit point négatif, cela reste tout de même une bonne lecture. Un roman que je conseillerai surtout aux amateurs du genre.
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1165 . Des meurtres horribles sont commis sur la douce terre d'Occitanie qui connait les prémices du conflit religieux qui l'ensanglantera une quarantaine d'années plus tard. Des hommes et des femmes se regroupent pour mener une vie en accord avec les préceptes de l'évangile et contestent le laxisme et la corruption de l'église catholique. Les tensions montent, les esprits s'échauffent ...et voilà que l'histoire commence.
Le récit est articulé autour de trois protagonistes représentatifs de la société médiévale:
-Raimon le jeune chevalier qui vient d'être adoubé par son suzerain et qui rêve de prouver sa vaillance
-Jordi le tailleur de pierres, artisan respecté de ses pairs et recherché pour son savoir-faire
-Aloïs la femme éprise d'absolu qui a embrassé la religion cathare en réaction aux violences qu'elle a subies dans sa jeunesse
Tous trois vont se lancer à l'assaut de l'impitoyable meurtrier qui travestit ses victimes avec de grotesques déguisements d'anges dans une mise en scène digne d'un psychopathe bien contemporain (oh la la ! Les références à a la saison 5 de Dexter !)
L'enquête permettra de dévoiler de sombres luttes pour le pouvoir, des trahisons et des compromissions et apportera la preuve que le diable est bien présent au sein des communautés de ceux qui font profession justement de le chasser ...
L'intrigue est plaisante et le déroulement de l'enquête à travers les regards croisés des trois héros, est d'autant plus addictif que chaque chapitre se termine par un "cliffhanger" cher aux scénaristes de série télé (qui ont eux mêmes emprunté le procédé aux feuilletonistes du 19ème siècle).
J'avoue avoir été quelque peu gênée par le fait que le récit soit écrit au présent de l'indicatif qui certes renforce l'immédiateté mais parait, à mon sens, moins adapté au récit littéraire que le passé simple qui reste le temps de la narration.
Par ailleurs j'ai noté que le texte était parsemé de mots "anciens", revenant régulièrement ( je pense au mot "oncques") censés probablement donner une tournure médiévale à un récit écrit essentiellement dans un style très contemporain et ce procédé m'a paru artificiel, voire pesant.
De même je considère comme parfaitement anachronique la liberté de moeurs manifestée par la belle Lucia , fille de l'herboriste, qui se comporte plutôt comme une lycéenne délurée que comme l'héritière respectable d'un commerçant du 12ème siècle !
Ces remarques mises à part, je dois dire que j'ai passé un bon moment de lecture avec ce roman qui permet une incursion à la fois géographique et historique dans la région occitane à une époque précédent la tristement fameuse croisade des Albigeois, qui porte déjà en germe les terribles événements qui déchireront le tissu social et mettront à genoux tout un peuple.
Le but d'un roman historique est certes de distraire mais aussi de susciter la curiosité et l'envie d'un savoir plus sur une page d'histoire. Puisse donc le lecteur éprouver l'irrésistible envie de mieux connaître le catharisme occitan qui a connu son tragique point d'orgue avec le bûcher de Monségur.
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J'ai beaucoup aimé me plonger dans l'univers Occitan du 12eme siècle.

L'intrigue se situe en Occitanie, précisément en l'an de grâce 1165. J'ai lu ce roman, totalement imprégnée de l'univers de cette époque, l'auteur, François-Henri Soulié, a dû faire de nombreuses recherches et a réussi à parfaitement retranscrire cette époque, à aucun moment je n'ai senti d'anachronismes ou incohérences. Je ne suis pas spécialement fan de cette époque, je n'ai pas le souvenir d'avoir lu des romans ou autres ouvrages s'y rapportant, je n'aurais pas pensé autant apprécier.

L'auteur a été très rigoureux, tant dans ses recherches, que dans la construction du roman, on se focalise sur trois personnages en particulier qui vont finir par suivre la même quête et bien sûr se croiser. Les chapitres n'en restent pas moins rigoureux, on passe systématique de l'un, à l'autre, au troisième. Évidemment cela contribue à créer une certaine frustration, lorsqu'on arrive en fin de chapitre et qu'on veut connaitre la suite des aventures du personnage en cours il faut patienter deux chapitres. L'auteur aime distiller un suspens qui nous fait avaler les chapitres les uns après les autres. Cela contribue également à nous plonger dans cette époque, chacun des trois personnages que nous suivons vient d'un univers totalement différent, et l'air de rien l'auteur nous instruit sur la chevalerie ou encore la taille de pierre.

Les personnages sont travaillés ce qui nous les rend attachant, on vie avec eux leur propre désillusion du monde dans lequel ils évoluent. Oui, parce que tout n'est pas rose. Il y a des guéguerres et autres rivalités entre seigneurs, comtes, mais aussi religieux. À certains moments j'ai même retrouvé l'univers de Game of Thrones, on a des chevaliers, des jeunes gens naïfs, des religieux décadents, tout ce petit monde joue d'intrigues politiques et d'accessions au pouvoir. Ajouter à ça une série de meurtres dont on cherche à découvrir l'auteur et la naissance d'une religion hérétique à Rome, ils se nomment « vrais Chrétiens », l'église les nomme hérétiques ! Une vraie bombe qui ne demande qu'à exploser.

Je ne connais pas précisément le catharisme, que nous commençons à découvrir avec l'un des personnages, je pense que comme beaucoup ça m'a intrigué, parce qu'on entend parfois des histoires, voire des légendes à ce sujet. Il est peut-être temps de creuser la question avec L'histoire des Cathares de Michel Roquebert. En tout cas j'ai trouvé très intéressant de situer le roman à cette époque et de découvrir la naissance du catharisme.

Il ne me reste plus qu'à lire les deux autres romans de l'auteur Magnificat et Requiem dont les histoires se situent a priori dans la même région mais un peu plus tard, j'espère y retrouver au moins quelques-uns des personnages.
J'ai rencontré l'auteur au Festival Méditerranée polar et aventure au Barcarès en 2022, à l'occasion duquel il m'a gentiment dédicacé ce livre. Ma maman qui était de la partie a acheté la suite, et me l'a prêté. Donc il n'y a plus qu'à…
Lien : https://deslivresetmaude.wor..
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J'ai vraiment aimé voyagé dans la région Occitanie moyenâgeuse, où des crimes sont commis.

Des meurtres mystérieux, des rebondissements, des personnages très intéressants surtout parce qu'ils ont un statut social très différents ( un chevalier, un tailleur de pierre renommé et une tisserande) qui vont enquêter chacun de leurs côtés.

Au delà de l'enquête elle-même, c'est aussi un récit sur les luttes religieuses, les luttes pour le pouvoir.
Et hymne à la tolérance et à l'ouverture d'esprit face aux manipulations, aux haines et à l'obscurantisme.

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La première de couverture du livre évoque le nom d'Umberto Eco pour situer la valeur du roman "Angélus" de François-Henri Soulié et il faut bien reconnaître que la comparaison ne relève pas de l'hérésie tant l'atmosphère d'un monastère médiéval en proie aux affres de plusieurs crimes y est proche.
Là où Soulié se distingue de l'illustre érudit italien c'est par l'usage d'un trio d'enquêteurs, un clin d'oeil à la Sainte Trinité ? et d'un français mâtiné de tournures et termes désuets - destinés probablement à rendre le récit plus immersif - se substituant aux (trop ?) nombreuses citations latines du best-seller transalpin.
De prime abord, ce style un peu ampoulé, bien qu'anachronique car trop antérieur à l'époque, donne un côté pittoresque au roman mais la répétition devient un peu lourde à la lecture parfois et il faut attendre d'avoir atteint le mitan du récit, à l'heure où les enquêteurs commencent à démêler l'écheveau de l'intrigue pour que finalement on s'en accommode assez bien.
F-H Soulié s'attache donc jusqu'à la toute fin de la seconde partie du roman (qui en compte quatre) à une mise en situation des divers protagonistes - un maître-tailleur de pierre, un chevalier fraîchement adoubé, une "bonne-femme" aussi pieuse que belle, des clercs séculiers et surtout réguliers - ainsi qu'aux scènes de crimes : les alentours et le coeur même d'une abbaye bénédictine confrontée à l'essor de l'hérésie cathare au XIIe siècle.
Et ce n'est qu'une fois franchi cet (assez long) glacis introductif que l'histoire devient véritablement stimulante, l'auteur dévoilant petit à petit quelques indices que chacun récolte dans sa quête de la vérité.
L'auteur réussit néanmoins à nous tenir en haleine jusqu'aux tous derniers chapitres avant de dévoiler une intrigue particulièrement audacieuse où transparaît les nombreux questionnements, pour ne pas dire plus, qu'a connu l'Eglise catholique en plein coeur du Moyen âge, entre hérésie cathare, dérives de toutes sortes comme la simonie et évolution critique des ordres monastiques.
A la toute fin, chacun de nos trois enquêteurs aura rencontré sa part de vérité, qu'elle soit terrestre ou spirituelle.
Une bien belle réussite, à mettre entre toutes les mains.
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Les temps sont durs...

Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous embarque dans un roman historique. Enfin, plutôt dans un polar historique ! Bienvenue en l'an 1165 en Occitanie, où la chrétienté vit de sacrés tourments ! François-Henri Soulié nous embarque avec lui...

Nous voilà au coeur de l'Occitanie en 1165. Aloïs, cette Bonne Femme tisserande, à la vie tourmentée est au service de la Vraie religion et ouvre ses portes et son coeur à quiconque en a besoin à Narbonne, avec son mari. Raimon de Termes, jeune chevalier intrépide et au service de la seigneurie veut prouver son allégeance sans se trahir lui-même. Jordi, Maître imagier va au devant de sacrées déconvenues ! Il récupère ses compagnons les plus fidèles, morts avec des ailes d'anges clouées dans leur dos. Il se promet de les venger... Aloïs va récupérer Enric dans un sale état et Raimon va être affecté à la protection d'une abbaye ouverte aux quatre vents pour découvrir qui est le tueur aux ailes d'ange. Ça bouge dans le Sud-Ouest !

Les Loulous, je ne sais pas trop comment aborder ce livre ! Je ne peux pas dire qu'il m'est complètement pris dans ses filets, mais je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ! Aha !
Déjà, pour tout vous dire, avec le Bibou on a commencé le livre le matin et l'avons terminé dans la nuit suivante ! Autant vous dire qu'on ne l'a pas lâché. Mais il me manque le Bim Bam Boom... question de goût ou de je ne sais quoi.

L'écriture de François-Henri Soulier est juste, complètement immersive de cette époque, entraînante et elle a ce petit goût de reviens-y. Il a du faire un travail de recherche remarquable pour pouvoir restituer au coeur de ce polar l'atmosphère de l'époque et les différents détails pointus. Il alterne les chapitres avec les personnages. Cette histoire d'environ cinq cent pages se déroule en un laps de temps très court ! Ça va vite et en même temps il a su adopter la langueur de ce moyen-âge. Étrange et étonnant. On est captivé par cette histoire et en même temps on bouillonne de ne pas aller plus vite.

Les personnages sont très bien croqués. On adhère complètement à leurs idées, à leur vie, à leur style et on comprend leur combat. le fil de l'action est bel et bien le crime et la recherche du coupable : un véritable polar placé dans un autre temps. C'est très intelligent. Et carrément novateur. Parfait pour piquer la curiosité du lectorat qui pourrait s'intéresser à cette époque noire, ça c'est un coup de maître monsieur l'écrivain !

Ce qu'on a aimé avec le Bibou ? Justement, de pouvoir débusquer tous les détails ouvrant sur cette culture « cathares », sur cette époque chevalière et l'histoire du Sud-Ouest. On a aimé l'intrigue aussi ;) C'est quand même pas mal foutu !

Ma Chère Lectrice, Mon Cher Lecteur, je vous invite à faire la découverte de « Angélus » de François-Henri Soulier. Une écriture précise, polardeuse et historique. Au détail minutieux et à l'intrigue ficelée. Une belle description de l'ambiance au moyen-âge dans l'Occitanie d'alors. Il vous tente ?
Lien : https://linstantdeslecteurs...
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A la fois roman historique et polar, Angélus nous emmène en 1165 en Occitanie près de Narbonne. J'ai choisi ce roman car on le compare au roman le Nom de la rose, ce grand classique que j'ai énormément apprécié. Je le place pour ma part à mi-chemin entre ce roman et Les piliers de la terre de Ken Follet même s'il se lit plus facilement que ces deux derniers. Malgré les plus de 500 pages et le côté historique de celui-ci, Fancois-Henri Soulié nous offre un livre accessible à la lecture fluide.

Une intrigue forte : deux cadavres grimés en anges sont découvert dans deux abbayes quasiment au même moment. Est-ce le diable en personne, un rituel satanique ou une terrible vengeance ? Jordi de Cabestan, maître tailleur va chercher à trouver le responsable de la mort de ses amis. Raimon de Termes, tout juste adoubé chevalier, est chargé d'enquêter sur cette affaire. Tandis que Dame Alois cherche à disculper un ami que tout accuse et qui fait figure de coupable idéal. Voici donc nos trois protagonistes qui vont être nos guides dans cette histoire. le roman est découpé en chapitre portant sur chacun de ses trois personnages. Une construction dynamique donnant du rythme au récit et qui peut faire penser à une pièce de théâtre avec 4 grands actes distincts.

Je dois dire que j'ai été attrapé par ce tempo et par l'intrigue en elle-même qui est, vous me pardonnerez l'expression, diablement bien ficelée. Les pages défilent toutes seules et il n'y a aucun temps mort et aucune pause dans l'histoire. On avance sans savoir où l'on va, l'auteur gardant le suspense présent tout au long du livre. La réussite de ce livre repose aussi sur des personnages forts, intéressants et apportant chacun au récit. Ils sont chacun différents, attachants et nous donnent une vision de la société de l'époque.

Car c'est aussi une véritable plongée historique qui nous est proposé par Fancois-Henri Soulié. Cette Occitanie du 12ème siècle est passionnante, remplie de lutte de pouvoir entre les seigneurs et l'église romaine qui doit également faire face à des courants religieux qu'elle qualifie d'hérésie. C'est un monde en pleine évolution où chacun du simple artisan au noble chevalier cherche sa place.

C'est donc un coup de maître que Fancois-Henri Soulié réalise avec ce livre. Il est toujours hasardeux de comparer un livre à des classiques mais je peux dire qu'Angélus n'a pas à rougir de cette comparaison flatteuse.
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J'ai lu “Angélus” de François-Henri Soulié en lecture commune avec mon ami Seb. Lauréat du Prix France bleu - Grands détectives et du Prix Historia, ce roman policier est une excellente lecture.

Ici, nous sommes en Occitanie au Moyen-âge. Nous suivons alternativement le point de vue de trois personnages de condition différente. Raimon de Termes est le noble jeune homme qu'on a missionné pour découvrir l'identité du tueur de moines. Dame Aloïs, est désignée coupable par les cathares, en dépit du fait que comme elle, ils se considèrent comme les seuls vrais disciples des apôtres. Jordi de Cabestan, le tailleur de pierre, cherche à venger la mort de ceux qui travaillaient pour lui. Les mises en scène des meurtres ont lieu dans deux abbayes en seulement deux jours.

Il ne fait aucun doute que l'auteur a, notamment, voulu montrer la marque profonde faite par l'église chrétienne dans le quotidien des gens du midi. Il nous invite aussi à l'ouverture d'esprit… Son écriture est juste magnifique !
Les expressions en languedocien sont savoureuses. L'enquête se déroule lentement sans être longue. le récit est dense mais il se lit très facilement.
Je pardonne de bon gré, les facilités sur la fin du livre. ( Je trouve que l'assassin a été confondu avec empressement ). Quoi qu'il en soit, ce premier tome d'une trilogie médiévale est passionnant.

La lecture du tome 2 est prévue pour cette année ! J'attends désespérément que le troisième opus sorte en poche chez 10/18.
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Une decouverte pour moi que cet auteur français de romans policier et une belle decouverte car Monsieur ne manque pas de talent.Cette plongee dans la vie d'un monastere ,lieu propice aux enquêtes policières comme dans "le nom de la rose " est und belle réussite et un exemple de livre reussi et de pari reussi.A lire sans tarder !
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Un roman policier historique qui ravira les amateurs du Moyen-âge.
J'ai apprécié la diversité des personnages et les mots mis sur leur trouble et leurs sentiments. le trio de détectives donne du dynamisme et de la richesse au récit. L'intérêt du roman réside pour moi principalement dans l'immersion des différents milieux et corps de métiers (chevalerie, ecclésiastiques, artisans, cathares...) et leurs enjeux.
Petit bémol : le déroulement de l'intrigue, moins complexe que le Nom de la Rose d'Umberto Eco, pourra parfois s'avérer prévisible.

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