Devant les goélands,
à chaque vague : "santé !", je crie.
On peut vivre en éclatant de rire
sous l'écume de chaque gifle.
N'est-ce pas cela, consoler un visage ?
Mes doigts gardent le souvenir
des joues, des fronts, des yeux que j'ai touchés.
Mais de l'eau jaillissent tous les traits possibles.