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Indéniablement, Beyle a de l'idée. Dommage qu'il n'ait pas relu davantage son ouvrage ; cela lui aurait évité d'agaçantes redondances stylistiques et structurelles.
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Le seul livre qui m'ait jamais fait pleurer
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Cela faisait longtemps que je voulais lire cette oeuvre majeure et même si au fond, il n y a pas de regret à avoir, je me demande encore pourquoi j ai attendu si longtemps. Je l ai tout simplement dévoré. Une écrite fluide et limpide, peut être pas autant que celle de Zweig (et encore), quelle modernité. l'approfondissement de la psychologie de ses personnages et l'ironie quasi permanentes, sont délicieux. Stendhal n a eu de cesse, de faire varier mon opinion sur les principaux protagonistes. Bluffé également par le développement de thème autour de la religion, des inégalités sociales et plus encore sur le questionnement de la peine de mort. d'ailleurs, je voyais un paradoxe dans le fait que la sexualité ne soit jamais clairement évoquée avec Mme de Rénal, j ai même cru naïf que je suis, à un amour platonique et pour finir de me convaincre il a fallu la grossesse de Mlle de la Mole pas moins! Était ce encore un tabou de l époque? Il me semble pourtant que Stendhal devait être plus en danger en critiquant si vivement les institutions Catholiques. Napoléon faisait pourtant bien encore la guerre, moins de 20 ans plus tard, officiellement pour la garde des lieus saints en Palestine. Alors j ai fini par conclure que c était volontaire et bien plus fin de sa part de ne pas l évoquer pour se concentrer sur son intrigue, ses personnages et sa volonté de dénoncer des injustices. J ai donc adoré ce livre, qu il me faut maintenant digéré et je m en vais, sans doute après un intermède plus léger, découvrir de nouvelles oeuvres de ce magnifique écrivain.
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Pour tout vous avouer, j'ai du lire ce livre dans le cadre de mes études. Etant une amoureuse de la littérature du XIXe siècle et ayant eu une éloge dithyrambique du roman par un ami, je me suis lancée avec de bons à-priori.

Et une fois le livre refermé, une seule phrase m'est venu en tête " Tout ça pour ça ". Classique de notre (si riche) littérature, ce roman est pourtant, à mon goût, mauvais.

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Pour moi cette histoire est loin d'une histoire d'amour. Julien voit surtout son intérêt, et profite de l'amour d'une femme, victime de la société de l'époque et donc pas libre de suivre ses propres sentiments.
Et puis c'est long, je n'en voyait pas la fin.
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J'aime beaucoup lire des classiques de temps en temps. je trouve que c'est comme boire un verre de grand cru, ça réchauffe et réveille mon esprit littéraire. Mais alors là, je ne sais pas, j'ai vraiment lutté pour le lire et surtout pour le terminer. J'ai trouvé que c'était long, ennuyant et redondant. En plus, j'avais le sentiment de ne pas tout comprendre, comme s'il me manquait des clés pour saisir toutes les nuances et l'écriture de Stendhal. Peut être aurait il fallu que je me renseigne sur les codes de l'époque et le contexte historique pour saisir tous les retournements de situation et l'ambiance générale de cette oeuvre. Je suis déçue de ne pas avoir ressenti toute l'intensité de ce texte qu'on m'avait décri comme magnifique.
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Ce livre ne m'a pas vraiment plu, peut-être car je suis plutôt jeune pour le lire. J'ai trouvé que l'auteur parlait parfois pendant des pages pour ne rien dire, ou juste pour décrire une émotions. D'accord, il le fait très bien, avec un vocabulaire très riche, mais quand ces émotions sont les principales actions du livre, cela devient lassant. de plus, lorsqu'il se passait quelque chose d'intéressant et qui annonçait un peu de mouvement, l'auteur "balance" cela en une ligne et j'ai été, du coup, souvent déçue ! En lisant la fin, je me suis même demandé pourquoi j'avais lu toutes ces pages racontant la vie de Julien chez les Mole, quand on apprend qu'il n'a que refoulé son amour pour Mme de Rênal dans ces moments, qui perdent donc toute leur importance. J'aurais pu comprendre s'il avait épousé Mathilde, et revu Mme de Rênal seulement à cet instant, mais ce n'est pas le cas. Enfin, les dertnières pages m'ont quand même touchée, car on retrouve un Julien changé, avec un caractère nouveau, et qu'on attendait pendant tout le roman de voir apparaître. La dernière phrase du roman est très surprenante et finit le roman en beauté, en laissant le lecteur un peu abasourdi !
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A la vérité, je me suis lancée dans cette lecture un peu en traînant les pieds. je me disais c'est un passé, un classique mais malgré tout un pavé. et puis petit à petit je me suis laissée prendre par l'histoire.. malheureusement j'ai découvert avant de l'avoir terminé la fin de l'histoire puis la raison qui faisait que le héros était perdu... je me suis tout de même malgré cela entêté à le lire... pour finir, je l'ai refermé et je suis passé a autre chose.. c'est dommage de savoir la fin d'un livre avant de l'avoir finit.. malgré tout j'en garderai un bon souvenir :-)
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Stendhal dresse le portrait de la société sous la Restauration. le Rouge représentant l'armée napoléonienne, le Noir, l'autorité ecclésiastique. Il aborde avec réalisme les thèmes de l'amour, de l'orgueil et de l'amitié. Grand classique du genre, à lire.
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Le rouge et le noirStendhal

“Un roman est un miroir que l'on promène le long d'un chemin” disait Stendhal. Pour l'écriture de son ouvrage le rouge et le noir, l'auteur s'est arrêté à Verrière, petit village campagnard, avant de se rendre à la capitale et termine finalement sa route là où tout a commencé. Dans ce miroir, un reflet se distingue parmi tant d'autres, celui de Julien Sorel. Ce jeune homme aux allures de héros romantiques est en quête de gloire et de reconnaissance. Divisé entre sa profonde admiration pour Napoléon et l'armée - le rouge - et son intérêt pour le monde clérical - le noir -, il ne parvient pas à trouver le juste équilibre. le jeune homme s'abandonne finalement à sa tragique destinée.
Classé d'emblée dans la catégorie des romans classiques de la littérature française, ce “pavé” comme ont coutume de l'appeler certains lecteurs n'en reste pas moins une oeuvre novatrice pour le siècle dans lequel il paraît. le réalisme stendhalien est empreint de symbolisme et se distingue ainsi des écrits balzaciens.
le rouge et le noir est enfin une oeuvre à lire ou à relire pour sa richesse et sa virtuosité.

M.J.J
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