Un beau livre qui vous parle de la Nouvelle Zélande, de ses habitants mais aussi de la façon dont ils sont traités.
Sophie de Jonk une jeune allemande vient en Nouvelle Zélande pour enterrer sa mère et recueillir son héritage et je peux bien vous le dire cela la laisse assez perplexe car elle ne savait rien de la vie de sa mère avant sa naissance, ni de sa famille Néo Zélandaise. Sa mère lui laisse une propriété, de l'argent mais aussi des journaux de famille à lire mais aussi un frère. Et voilà Sophie lançait dans sa lecture du journal de son arrière arrière arrière grand mère Anna car l'histoire commence vraiment en 1863 quand Anna arrive en Nouvelle Zélande retrouver le mari Christian Peters que son oncle lui a imposé et à partir de là nous sommes pris par le récit et on arrive plus à le lacher comme Sophie. Au début il y a beaucoup de détails qui en fait ne nous servent à rien sauf que son fiancé est un tyran et un Enquiquineur de première qui veut tout commander et elle se rend compte que ce type en fin de compte est parfaitement imbuvable. Sa mère non plus ne l'aimait pas.
Voilà je pense que je vous ai assez racontée ce livre il faut le lire car vraiment c'est une belle histoire qui nous ai contée.
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Passez votre chemin ! Il est rare que je peine autant à la lecture d'un roman ! Sophie, allemande apprend le décès de sa mère Emma en Nouvelle Zélande. Elle est à quelques semaines de son mariage et pars en catastrophe pour comprendre pourquoi et comment sa mère est décédée. Arrivée sur place elle découvre l'histoire de ses ancêtres sur les trois générations précédentes et la malédiction qui les poursuit…
C'est insipide, mièvre. Les sentiments décrits sont ceux de grands adolescents et la levée de la malédiction arrive par un tour de passe passe dans les dernières pages.
En bref, la lecture fut pénible, impossible de croire en ce récit qui insiste sur la malédiction pour justifier des turpitudes des différents acteurs de l'histoire.
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L'auteure nous offre ici une fresque familiale sur plusieurs époques avec la Nouvelle Zélande en toile de fond. Je suis une grande amatrice de ces sagas familiales, mais pour le coup je suis plutôt passée à côté. On un roman très prévisible pour le coup : je ne me suis jamais trompée dans mes hypothèses et du coup, j'ai trouvé ma lecture plutôt plate ! Il y a également quelques longueurs (notamment au départ) et j'avoue avoir failli décrocher ! Et que dire de la fin où le dénouement est livré en quelques pages ? Dommage, ce roman aurait pu me transporter mais il m'a manqué quelque chose !
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C'est une histoire que j'ai lu pendant mes vacances d'été. Quelle bonne idée pour voyager ! L'histoire est vite prenant, je me suis demandée comment j'aurai fait à la aplce de l'héroïne.... A noter que parfois le récit est un peu long et je suis frustrée que le fin de dénoue en quelques pages (d'où mon étoile en moins)
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Emma s’était vraiment remise à vivre après avoir consulté une femme curieuse – une guérisseuse, comme elle le prétendait la voix pleine de vénération. À la fin, elle allait la voir une fois par semaine. Sophie avait proposé à plusieurs reprises à sa mère de l’accompagner car elle n’était pas très rassurée par tout cela. Mais Emma avait toujours refusé avec véhémence. On ne trouvait pas le moindre diplôme sur la carte de visite couleur arc-en-ciel de la dame. Elle se présentait comme « coach de vie » et décidément, c’était bien trop vaseux pour Sophie, mais Emma n’avait rien laissé filtrer de sa guérisseuse.
Elle n’était pas une bonne épouse et ne le serait jamais car elle détestait ce qu’il avait essayé de lui faire. Comme une bête sauvage il s’était jeté sur elle, l’avait presque écrasée sous son poids, et elle avait fini par l’implorer de ne pas la toucher ce soir-là. Depuis son arrivée il y avait deux jours, elle avait gardé le lit, livide et épuisée. La nuit précédente, il l’avait laissée tranquille, mais ce soir, il avait tenté d’exiger qu’elle accomplisse son devoir conjugal, l’intoxiquant au passage avec son haleine fétide qui la répugnait.
Dans l’espoir que le vin rouge corsé atténue son angoisse et amène le sommeil,elle vida le verre d’un trait et s’en fit immédiatement resservir un second. Le sommeil de l’oubli ! C’était ce qu’elle désirait par-dessus tout. Pour ne rien laisser au hasard, Sophie avala en même temps un tranquillisant léger. Elle en avait toujours dans son sac à main, depuis le jour où elle avait gagné avec sa classe un concours artistique et dû prononcer un discours à la mairie devant les notables. Elle soupira à l’évocation de cette soirée mémorable
À chaque fois, elle était incroyablement excitée à la pensée de voyager très loin, à l’étranger, mais à chaque fois, elle était amèrement déçue. Nulle part au monde elle n’avait vraiment eu l’impression d’être chez elle. Ni à l’internat, ni à Hambourg, ni à Cape Town, ni à Paris. Et ce sentiment la hantait jusqu’à aujourd’hui. Même la perspective, qui allait de pair avec sa décision de mariage, de finir sa vie auprès de Jan von Innering, l’avocat réputé, ne lui procurait pas le sentiment de sécurité qu’elle avait escompté.
Une épouse ayant fui son époux n’avait plus de droits. À Hambourg, elle finirait inexorablement dans l’hospice pour dames et, en tant que jeune fille déchue, serait vouée à une existence au service de ces messieurs. Non, elle possédait une soif de vivre bien trop grande pour cela. Elle n’était pas du genre à se retrancher derrière une forteresse impénétrable et à fuir les défis de l’existence.