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sur 3268 notes
Moins bien que "Le chardonneret" que j'ai beaucoup aimé mais ça se lit bien aussi.
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J'ai été très déçue en refermant ce livre. Je m'attendais à autre chose, à du spectaculaire, à de l'incroyable, à une bonne tension et j'ai été souvent blasée par la longueur de certains passages.
Alors oui, l'écriture est assez belle, mais j'ai l'impression qu'on a brodé pas mal de choses autour d'une histoire dont on savait déjà la fin et où j'ai trouvé le personnage principal un peu plat !
L'histoire ne comporte aucun suspense, par moments certaines informations sont à la limite du "supportable" concernant deux ou trois détails...Je n'ai pas saisi l'intérêt d'un tel foin pour si peu, franchement...
J'ai perdu mon temps je pense...Allez, vite, je vais enfin commencer un nouveau titre !
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Le Maître des Illusions est une lecture terriblement difficile à résumer. Plusieurs semaines après en avoir tourné la dernière page, on demeure saisi par la foule d'émotions contradictoires, de décors, de sensations et de conflits qu'il dégage, par son atmosphère à la fois irrationnellement envoûtante et dans le même temps oppressante. C'est une histoire d'étudiants au bord de l'âge adulte, d'instruction, d'initiation, de révélation, de dissimulation. C'est l'histoire de tout le monde sauf du narrateur, qui se pose en spectateur des événements et ne fait que les relater le plus fidèlement possible - du moins, c'est ainsi qu'il se raconte. C'est un roman trompeusement facile à lire, fluide, entraînant, addictif même, dont l'intrigue s'articule cependant en plusieurs couches et sous-couches de symboliques, de mensonges et de pièges.

L'histoire introduit le lecteur à Richard, le narrateur donc, qui grandit dans un trou perdu de Californie et obtient par miracle une bourse d'études dans une prestigieuse université à l'est du pays. Là-bas, alors qu'il s'est inscrit dans un cursus assez classique, il découvre l'existence d'un groupe très particulier d'étudiants. Au nombre de cinq, ces jeunes suivent la totalité de leurs cours auprès d'un seul professeur, et se dédient notamment à une étude poussée du grec ancien. Au fil des semaines, Richard se familiarise avec la bande des hellénistes aux manières improbables et au charme certain. Apprentissage, désillusion, ambition, érudition : à leur contact, le narrateur parvient certes à quitter son personnage quelque peu incolore, mais il se confronte surtout à des réalités qui risquent de lui faire perdre toute innocence.

Là où Donna Tartt livre un roman réellement efficace, c'est dans la façon dont elle parvient constamment à maintenir une tension implacable et surtout à jouer avec les nerfs et le cerveau de son lecteur. L'autrice a l'intelligence de chambouler la trame classique d'un récit "à mystère", refusant le parcours classique "exposition-péripéties-résolution". Au contraire, en dévoilant son grand retournement de situation en plein milieu de roman, elle ne fait que revivifier l'intérêt du lecteur pour la narration de Richard. L'histoire s'embarque alors vers des directions inédites et d'autant plus captivantes, et c'est là que le récit devient inoubliable. L'intérêt ultime du Maître des Illusions ne réside en effet pas tant dans ce que les fameux étudiants dévoilent, mais dans tout ce qui réside autour : les vices qui les ont poussés à se comporter comme ils l'ont fait, ceux qui les empêchent de l'assumer, ceux qui vont les mener à aller plus loin encore ou à embarquer Richard dans leur élan d'orgueil et d'excès, d'hybris en somme.

Le Maître des Illusions suscite l'indignation, la passion, le trouble ; ses plusieurs centaines de pages sont synonymes d'autant d'heures avides de lecture intriguée, de retournements insoupçonnés et de dilemmes moraux vicieux. L'ouvrage laisse derrière lui une très forte impression, consolidée par une histoire implacable, des personnages tortueux, et surtout une proposition romanesque audacieuse. On pardonne aisément au texte ses quelques éléments improbables et autres questions laissées en suspens, de même que sa fin par certains aspects assez frustrante, tant l'aventure qu'il propose est originale, flamboyante, provocatrice. On sent réunis à la fois l'enthousiasme d'une jeune autrice dont il s'agit du premier roman, mais aussi la maturité d'un récit dont la rédaction a nécessité des années et des années de travail - Donna Tartt met en moyenne une dizaine d'années à écrire chacun de ses romans. Voilà -. le roman est ainsi profondément jouissif, se moque de la morale, sans non plus verser dans la provocation gratuite. Il titille le lecteur, le malmène, le pousse au bord du malaise en le rendant complice de l'innommable. Il dérangera peut-être, happera certainement, et fera dans tous les cas vivre une expérience de lecture assez rare. A découvrir absolument.



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Voici un livre à l'atmosphère surannée (les personnages principaux vivant comme hors du temps, comme dans une autre époque), étrange, mystérieuse, inquiétante, tout en tension dramatique, baroque.

Un jeune homme boursier (le narrateur) parvient après quelques difficultés à rentrer dans une université de renom. Là, il découvre un groupe de 5 étudiants n'ayant que pour seul professeur Julian, qui enseigne tout à ses disciples comme les maîtres grecs de l'antiquité. Ce groupe l'intrigue et Camilla qui en fait partie l'attire, il finira donc par y entrer.

On pourrait diviser le livre en trois temps :
Dans le début, on découvre par les yeux du narrateur les cinq autres et leur professeur, très érudits, très ridiculement snobs aussi, très ambigus dans leur amitié avec Richard (le narrateur) tour à tour proches et fuyants. Ce dernier pense qu'ils ne le trouvent pas à la hauteur, et qu'on lui cache quelque chose. Chacun semble avoir une face cachée ou une part d'ombre. Et les réflexions qu'ils font les uns sur les autres auprès de Richard en montrent certains très perspicaces, d'autres rancuniers, ou abusifs.
Ensuite, Richard devient beaucoup plus proche du groupe qui paraît donc moins inaccessible et on comprend mieux leurs ressentis également. Mais on sent que quelque chose de grave s'est passé et Richard finira par découvrir quoi. A partir de là, tous doivent protéger ce secret terrible mais Bunny (l'un d'entre eux) va faire peser une menace grandissante sur le groupe. On le perçoit bien entendu très souvent du point de vue subjectif et partial du narrateur, qui évoluera avec le temps, un des aspects les plus intéressants du roman selon moi, car le lecteur oscille entre les dires de Richard sur les événements et chaque personnage, les faits eux-mêmes et sa propre prise de recul objective sur ce que dit Richard, qui lui-même grandit, réfléchit, évolue. Bunny est-il donc plutôt manipulateur, opportuniste, vénal, ou bien perdu, anxieux, horrifié par le secret, en proie à un dilemme perpétuel et cherchant à susciter des réactions, mêmes vives, de la part des autres pour comprendre ? A partir de là, un drame peut en annoncer un autre…
Puis tout s'emballe, les réactions des uns et des autres, les imprévus liés à la situation, les sentiments de chacun et leur façon d'y faire face ou de perdre pieds avec le réel. Et chacun se dévoile dans ce qu'il a de plus profond, de plus retors et de plus abject à la fois, en particulier Henry, dandy délicat extrêmement doué dans les études. le drame se dénoue et nous ne savons toujours qu'en penser, tant personne n'est ni tout noir ni tout blanc, tant les événements paraissent s'être enchaînés par la force des choses, tant l'innocence et la tendresse peuvent côtoyer la noirceur à l'intérieur de la même personne. C'est cela qui fait la force de ce roman.

Je noterai néanmoins que l'intrigue laisse penser au départ que Julian va être un personnage central du roman, ce qui crée des attentes de la part du lecteur, et que celles-ci sont déçues car il n'est qu'un point de départ assez insignifiant, à mon humble avis.
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Par le récit d'un meurtre tragique et dyonisiaque, sordide et manipulateur, Donna Tartt met en scène notre construction de nous-mêmes par des récits mensongers ou arrageants. le maître des illusions se lit comme un polar retors, un jeu sur les codes du roman d'initiation, de celui de campus pour explorer avec finesse les conséquences d'un geste. de l'irréalité de ces jeunes gens fortunés se dégagent, par contraste, un portrait d'une certaine Amérique.
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Décidément les romans de Donna Tartt me laissent une impression étrange. Si comme pour "Le chardonneret" j'ai apprécié le style de l'auteur, je n'ai pas accroché à l'histoire et elle m'a perdu en cours de route.
Un jeune homme de vingt ans qui se cherche, obtient une bourse pour aller étudier dans le Vermont. Très vite, il s'inscrit dans un cours de grec ancien donné par un professeur qui ne retient qu'un faible nombre d'élève. Il n'a que cinq élèves, des jeunes gens qui restent entre eux, formant un groupe singulier.
Dès les premières pages, il est question d'un crime, et le personnage principal revient sur son histoire quelques années plus tard.
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Voilà un roman qui ne laisse pas indifférent, à tel point que lorsque l'on referme la dernière page, on ne sait pas quoi en penser.

Il m'a fallu du temps pour le lire, pas seulement à cause du nombre de pages (790), mais à cause de l'ambiance. Après 3 heures de lecture, je perdais pied et avais du mal à revenir à la réalité, embarquée beaucoup trop loin dans cette atmosphère perverse et malsaine. Et pourtant... après une pause, j'y retournais. Oui, il a un petit goût très addictif.

Fuyant sa vie misérable dans un petit village de Californie, Richard s'inscrit à l'Université de Hampden, dans le Vermont. Il désire notamment y suivre des cours de grec ancien mais découvre que l'unique professeur qui l'enseigne est plutôt exigeant quant au choix de ses étudiants. de plus, il n'en accepte que cinq et le cours est complet. Richard se fait refouler. de loin, il observe ces cinq mystérieux étudiants férus de lettres classiques, si différents des autres, restant toujours ensemble, à l'écart. Après une rencontre fortuite avec certains d'entre eux, il se fait finalement accepter par le professeur et le voilà intégré à ce groupe détonnant.
Pendant les 250 premières pages, on découvre ce groupe et ses personnages, et leur manière de fonctionner. C'est un peu long mais on persévère car on sent bien qu'il y a quelque chose de louche. L'amitié qui les lie est un peu malsaine, teintée d'arrogance et d'élitisme qui les coupent du reste du monde. Tout semble calculé, manipulé par un maître qui détient toutes les ficelles. Les secrets et bizarreries sont omniprésents et pourtant Richard se sent irrémédiablement attiré par ses nouveaux amis.
Et puis, un soir, tout bascule. Sans Bunny, ni Richard, les 4 autres membres du groupe décident de vivre une bacchanale, une sorte de fête célébrée dans l'Antiquité en l'honneur du dieu Bacchus, complètement subjugués qu'ils sont par ce qu'ils étudient. L'expérience vire au drame lorsque quelqu'un meure. Un accident pourrait-on croire. Sauf que Bunny découvre ce qu'il s'est passé. Peu à peu, il fait peser sur le groupe une pression insurmontable et terrifiante. le pire pour soulager cette pression est alors imaginé, planifié... puis mis en action.

Et on est qu'à la moitié du roman.

L'angoisse, la manipulation, l'autodestruction, la fuite de la réalité, cette histoire en est bourrée.
On est choqué par les actes du groupe et leur insouciance, comme s'ils n'appartenaient pas à ce monde, ou étaient au-dessus de tout ça. Pourtant leur manière de vivre, de boire beaucoup trop, révèle un malaise profond.
Et quand ils risquent de se faire prendre, on se laisse manipuler et on souhaite avec eux que Bunny se taise... On devient avide de savoir jusqu'où ils pourront aller.

C'est vraiment terrifiant. Et c'est magistralement amené et construit par Donna Tartt.
Alors oui, certains passages sont un peu longs, mais l'auteur arrive à créer une telle ambiance qu'on comprend que ça puisse prendre autant de pages.

Au final, je dirais que si l'histoire est vraiment malsaine et plutôt horrible, et l'ambiance pesante, l'écriture de Donna Tartt captive.
Lien : http://melolit.blogspot.ch/2..
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Que dire ? Tout d'abord, c'est le premier roman de Donna Tartt que je lis et j'ai bien envie de découvrir d'autres de ces oeuvres, j'ai notamment entendu parler de son roman le Petit copain. Mais ce sera pour plus tard. Ensuite, je voudrais saluer la performance de l'auteure qui a écrit pas moins de 700 pages et il y a quand même deux choses qu'il faut reconnaître : Donna Tartt écrit très bien et à ce don pour l'écriture, s'ajoute une capacité assez incroyable à embarquer le lecteur dans son histoire. Car oui, j'ai bel et bien été embarquée dans la vie de ces jeunes étudiants en lettres classiques et je voyais leur histoire se dérouler sous mes yeux. A ce propos, y a-t-il eu une adaptation cinématographique de ce roman ? Je n'en ai pas entendu parler et je n'ai pas fait non plus de recherches sur le sujet...
Pour faire simple : j'ai beaucoup aimé ce roman. Je savais d'avance qu'il allait me plaire et je vous explique pourquoi : la quatrième de couverture est très alléchante et nous annonce des événements se déroulant au sein d'une université (j'aime cet univers) et évoque notamment un meurtre lié à des pratiques sataniques (là encore, j'aime ce genre de choses). Donna Tartt a fait un gros travail pour caractériser ses personnages qui ont chacun une existence propre et une psychologie parfaitement fouillée si bien que chacun d'entre eux est intéressant. Par ailleurs, je n'avais jamais lu un roman qui traite si bien du thème du remords et de la culpabilité et c'est bien ce que j'ai préféré dans l'oeuvre.
Pour autant, j'ai été très surprise qu'il n'y ait qu'un meurtre : je ne m'attendais pas tout à fait à cela en lisant la quatrième de couverture qui, je trouve, nous égare un peu. En effet, il ne s'agit pas vraiment de pratiques sataniques, du moins pas telles que je les avais imaginées. Enfin, juste un petit bémol : même si j'ai été complètement embarquée par l'histoire, je n'ai pu m'empêcher de ressentir quelques longueurs. le passage où Henry, Richard, Francis, Charles et Camilla se rendent chez la famille Corcoran pour assister aux funérailles de Bunny m'a semblé très très long, j'aurais souhaité qu'il soit un peu plus court (j'ai senti alors que l'histoire s'essoufflait).

Lien : http://aperto.libro.over-blo..
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C'est en regardant l'émission de la grande librairie ; SPÉCIALE « LA VALISE IDÉALE DE L'ÉTÉ », et grâce à l'enthousiasme communicatif de Yann Queffélec pour ce roman qu'il présentait comme « obligatoire », que j'ai décidé de le découvrir.
Incontestablement, je ressors impressionnée par la maitrise de Donna Tartt, et si je devais qualifier ce roman par un seul et unique adjectif, ce serait FASCINANT !!!
Roman de campus (campus-novel), et premier livre de Donna Tartt, ne vous attendez pas à un classique du genre. Cette histoire vous emmènera sur des chemins inexplorés. Dans quel registre le classer ? Je le placerais bien parmi les thrillers dramatico-psychologiques.
La maestria de la psychologie des personnages et toute l'ambiguïté qui se dégage de leur individualité, nous font naviguer en eaux troubles. le seul personnage féminin du groupe, Camilla, est pour moi le plus réussi ! Tout du long, j'ai cherché à découvrir ce qui se cachait réellement sous son visage d'ange, à la sensualité froide et insaisissable.
Une tension s'installe peu à peu, prise dans la nasse des événements, elle alourdit l'atmosphère et augmente cette impression troublante de climat délétère.
Forcément, on ne peut s'empêcher de penser à une tragédie grecque contemporaine tellement le parallèle est omniprésent, et j'ai particulièrement apprécié certains passages durant les cours de grec.
Pas étonnant que Donna Tartt ait obtenu le prix Pulitzer avec son troisième roman le Chardonneret, publié plus de 20 ans après celui-ci, car elle est incontestablement une grande plume de la littérature contemporaine américaine.

Merci, mille mercis Monsieur Queffélec !!! Sans vous je serais passée à côté de ce superbe roman, et c'eût été vraiment dommage ^_^
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Il y a déjà tellement de critiques de ce livre sur Babelio, je tâcherai de faire court.... le lien avec le cercle des poètes disparus, souvent évoqué, me semble tout de même extrêmement lointain. La peinture du milieu étudiant est ici tout sauf naïve ou idéalisée. C'est d'ailleurs ce qui fait la force du livre, une description sans complaisance d'une jeunesse obsédée par l'argent sans réellement en manquer, tournant un peu à vide dans un élitisme culturel sans but. La description de chaque personnage (tout au moins les étudiants) sonne juste et chacun est bien campé. le récit est effectivement assez long et sans réelle surprise (mais c'est presque un soulagement de lire un roman qui se rattache à la tradition du polar, et qui ne se sente pas pour autant obligé de passer par l'inévitable "twist" final), mais il faut se laisser prendre par l'ambiance, l'abondance de détails contribuant à la création d'une atmosphère singulière (on sent nettement l'influence de Proust, assumée par l'auteure).

Les défauts n'en sont dès lors que plus criants: le manque de relief du personnage du professeur, dont on se demande bien pourquoi ces jeunes si exigeants le trouvent à ce point exceptionnel, et dont on finit par se demander à quoi il sert; les brusques changements de registre dans le ton du narrateur, tantôt mélancolique, tantôt ironique, tantôt un peu trivial, comme si l'auteure voulait parfois parler à sa place sans trop se soucier de la cohérence. On ne parlera pas des énormes invraisemblances (ce n'est pas ça qui importe, même si le récit du premier meurtre est franchement incohérent - peut on vraiment éventrer un homme à mains nues? on peut trouver beaucoup d'explications, mais on aurait aimé que l'auteure nous en fournisse au moins une), ni de l'usage un peu trop répétitif des addictions pour faire avancer le récit (les personnages agissent presque constamment sous l'emprise de la drogue ou de l'alcool, c'est pratique pour prendre des raccourcis quand l'action patine).

La traduction (du moins celle disponible dans l'édition Kindle) est globalement de bonne qualité, avec quelques gros contre-sens de temps à autres (il faut parfois reconstituer la phrase d'origine mot à mot en anglais pour en comprendre le sens, et quelqu'un devrait signaler au traducteur que le "Major Tom" de David Bowie est un militaire, pas un maire...).

Une lecture agréable et un personnage de narrateur attachant (autre inspiration due à Proust), à recommander.
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