Les Chroniques de St Mary, tome 2 : D'écho en échos

Mon avis est plutôt mitigé après la lecture de ce deuxième tome. c'est toujours drôle, déjanté et bourré d'actions.
Dans ce tome Max part faire un tour dans le Londres de Jack l'eventreur, le futur et l'écosse de Marie Stuart.
J'ai eu l'impression de lire plusieurs morceaux d'histoires sans lien. Je n'ai pas ressenti d'évolutions dans les personnages ou l'histoire.
En résumé cela ne m'a pas donner envie de lire la suite.

Deuxième tome des chroniques de Ste Mary et de nouveau j'ai passé un excellent moment. On retrouve les personnages presque là où on les avait laissé à la fin du premier tome, toujours à la poursuite de l'infâme Clive Ronan. Nous voilà donc reparti à bord des capsules temporelles à la rencontre de Jack l'Eventreur et de Mary Stuart. J'ai retrouvé les éléments qui m'avaient fait adorer le premier tome: rebondissements, Histoire, humour. Petit bémol cepedant sur la relation Max/Léon qui tourne un peu en rond et sur certaines facilités dans l'intrigue.
A part ça, j'en redemande et je regrette de ne pas avoir la suite sous la main pour savoir ce que réserve l'Histoire à Ste Mary.

2ème tome de la série, D'échos en échos est très réussi.
J'avoue que je craignais un peu en démarrant cette lecture que ce récit soit redondant avec le tome 1 qui avait le mérite de la nouveauté et d'être très original.
Je craignais que ce récit soit juste une succession de voyages dans le temps sans fil conducteur. Bref une réplique du Tome 1 sans véritable nouveauté.

En réalité, il n'en n'est rien. Très vite, l'histoire s'est emballée et les époques se sont imbriquées les unes aux autres et les évènements du tome 2 viennent raisonner avec les péripéties du tome 1.
On retrouve bien évidemment Max et le Chef Farell. Max toujours aussi énergique, impulsive voire tête de pioche mais qui a un instinct précieux et redoutable.
Après avoir échappé de peu à la mort dans les toutes premières pages pour avoir été taquiner Jack l'éventreur, Max se remet rapidement et prépare une mission d'envergure et capitale pour l'avenir (ou le passé ?) de St Mary : s'immiscer dans le cercle proche de la Reine d'Ecosse - Marie afin de réajuster les évènements dans la bonne ligne temporelle et lutter contre Clive Ronan qui manipule l'histoire.

C'est un très bon moment de lecture et je suis impressionnée par la capacité de Jodi Taylor a mettre en place un mécanisme très compliqué de saut dans le temps qui se percutent les uns avec les autres, à démontrer lorsque leur impact sur le passé provoque un paradoxe dans l'avenir et à rendre tout cela très fluide à la lecture !

Je me dirige donc vers la lecture du Tome 3 avec enthousiasme ...

Un peu moins entrainant que le premier tome, ce tome 2 reste une lecture agréable où j'ai pris plaisir à suivre les aventures de Max .
Aidée de ses amis historiens, elle va faire plusieurs nouvelles rencontres, de Jack l'Eventreur à la Reine d'Angleterre. Promue nouvelle directrice, elle aura à coeur de déjouer les complots contre l'histoire .
Niveau amour , ça rame ça rame par contre : avec Max, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?

Un peu déçue par ce deuxième tome. D'abord par l'excès de violence subite dans la vie de Madeleine Maxwell puis par cette structure syntaxique dans laquelle le personnage annonce toujours qu'elle connaît le dénouement de la situation. Je ne me souviens pas qu'elle s'exprimait ainsi dans le tome 1. Ça m'a dérangée dans ce tome 2.
L'humour du tome 1 m'avait marquée et bien plu. Ici l'humour arrive très tard dans la narration. C'est dommage. le mystère du Jack L'éventreur n'est pas inintéressant et joue sur des théories historiques non vérifiables.
Je suis impatiente de lire le tome 3 en espérant retrouver les ingrédients du tome 1. L'originalité du traitement du voyage dans le temps reste entier. Et les personnages ne sont pas stéréotypés.

J'ai dévoré ce deuxième tome, il faut dire que l'autrice ne nous laisse pas de répit. Et c'est le côté négatif, ça part un peu dans tous les sens. J'aurai aimé un peu plus de description ou temps dans une des époques.
Il y a toujours autant d'humour et j'adore ça. Par contre des fois j'ai bien envie de prendre Max pour taper sur la tête de Chef ou le contraire.
OK j'avoue j'ai été aussi émue par certains développements.

Je ferai également partie des personnes un peu déçues par ce deuxième volet.

Si on commence sur les chapeaux de roues avec ce début qui annonce, semble t-il, une fin ! Avec une course poursuite infernale à m'en mettre des palpitations, alors que je suis posée bien tranquille avec mon livre sur mon canapé.
Ce qui arrive avec le poursuiveur m'a laissé perplexe !
Première déception, on parle quand même de Jack l'éventreur et en fait l'auteure ne développe rien sur lui et lui donne cette allure inhumaine !

Puis on passe à d'autres sauts donc d'autres histoires mais toujours avec la même équipe, heureusement !
Je comprends donc, comme j'ai pu le lire sur les autres commentaires, cette impression de lire des nouvelles qui s'enchainent mais sans rapport avec les précédentes parfois.

Disons que j'ai aimé le saut dans le futur mais lorsque l'on passe aux jardins suspendus et au suivant, j'ai trouvé le temps long car je ne vois pas l'intérêt de développer autant ces deux sauts plutôt que les autres plus palpitants.

J'ai également apprécié la relation de Max et David.
J'ai même versé ma larme.

Beaucoup plus d'humour également dans ce deuxième tome qui le rend plus agréable.

Je continuerai, bien sûr, le tome 3,... un peu plus tard pour reprendre mon souffle et notre réalité.
D'ici là...Toc, Toc, Toc.

« J'avais de la peine pour eux… Ce n'était pas comme s'ils étaient beaux ou intelligents, et les opinions étaient très variées quant au goût de leur viande. La seule recette que j'avais trouvée n'avait guère été d'une grande aide.
Tour d'abord, attrapez votre dodo. Faites-le ensuite mariner dans du jus de citron, ou autre liquide fortement acide, aussi longtemps que possible. Idéalement, toute une nuit. Fourrez-le de miettes de pain, d'oignons grossièrement hachés, de sauge, de romarin et de thym. Assaisonnez généreusement, déposez-le sur une grosse planche ou quelque chose de similaire, et faites cuire à foyer ouvert ou au barbecue jusqu'à ce que le jus soit clair. Séparez soigneusement la viande claire de la viande foncée. Jetez l'ensemble et mangez la planche. »
Livre deux, donc, où l'on retrouve notre Maxwell qui n'arrête pas une seconde. Jack l'éventreur (une théorie intéressante à son sujet d'ailleurs (intéressante dans le sens totalement énorme)), Marie Stuart ou les jardins de Ninive (entre autres), rien ne lui fait peur, et certainement pas les paradoxes temporels (pourquoi ai-je sans cesse envie d'écrire « temporaux » ?), au sujet desquels son cerveau mouline tout à fait correctement. Il y a des ennemis qu'on ne peut pas éliminer n'est-ce pas, parce que notre passé est leur futur, ou vice-versa, la dame s'y entend pour nous embrouiller. de l'action, des blessures, la Muse de l'Histoire qui favorise ou pas, des litres de thé toujours et un humour qui fait mouche avec moi. Je m'amuse vraiment bien avec Jodi Taylor et j'ai hâte de me plonger dans le livre suivant !

Si vous vous rappelez bien, j'avais lu en mars dernier le premier tome des Chroniques de St Mary. Malgré quelques défauts, j'avais beaucoup apprécié ma lecture. Et j'étais très heureuse de poursuivre l'aventure lorsqu'Agnès Chalnot (que je remercie au passage ainsi que les éditions HC Editions) m'a proposé de lire la suite.

À l'Institut de St Mary, les historiens n'ont pas le temps de flâner : non seulement, ils doivent continuer de sauver des documents historiques inestimables de la destruction et de l'oubli mais ils font également face à de nombreux dangers qu'ils soient contemporains de l'époque visitée ou venant du futur. Ainsi, l'historienne Madeleine Maxwell a à peine le temps de se remettre des émotions de ses voyages à l'époque du Crétacé ou celle d'Alexandrie au IVème siècle qu'elle rempile! Cette fois-ci, elle a rendez-vous avec Jack l'éventreur dans le Londres Victorien de 1888 et cela ne se fait pas sans danger, loin de là! Car au final, les historiens ne savent jamais ce qu'ils ramènent vraiment avec eux dans leur capsule temporelle…

Comme je le disais en introduction, les défauts que j'avais soulevés dans Un monde après l'autre sont encore bien présents dans D'écho en échos :
– Les historiens ne partent pas dans la période dans laquelle ils sont censés être spécialisés (pour rappel, Madeleine est antiquiste mais part indifféremment dans le Londres victorien du XIXème siècle ou l'Angleterre des Tudors au XVIème siècle). Toutefois, elle est épaulée par des spécialistes de la période.
– Les époques dans lesquelles les historiens partent sont un peu survolées et peu décrites. J'ai tout de même remarqué un petit effort de ce point de vue-là dans le Londres victorien avec la description des costumes portés par Madeleine ou les odeurs et visuels du quartier de Whitechapel. Idem pour la cour de Mary Stuart au XVIème siècle avec la description du vocabulaire qui a évolué aujourd'hui (pour exemple, le mot « formidable » à l'époque désignait quelque chose de « dangereux ») mais comme je suis un public exigeant de par ma formation, je suis un peu restée sur ma faim.

Passée cette impression, ma lecture a été des plus divertissantes. En réalité, elle me fait même penser à une série télé grâce à la multiplication de ses intrigues et sous-intrigues, de son rythme mené tambour battant, de la présence de ses twist et de ses cliffanger. La quatrième de couverture parle d'un « univers à mi-chemin entre Harry Potter et Doctor Who » : si je réfute la référence à Harry Potter, force est de constater que la seconde affirmation pour le Doctor Who n'est pas exagérée, bien au contraire. Quant au personnage de Madeleine, je l'avais beaucoup apprécié dans le premier tome grâce à sa ténacité et à son intelligence. Dans le second tome, quelques traits de caractère quelque peu exagérés m'ont un peu fait tiquer (la scène de la voiture dans le lac, par exemple) mais le personnage est toujours aussi percutant au sens propre comme au sens figuré. L'humour quant à lui est également toujours présent et bien dosé.

En conclusion, ce second tome des Chroniques de St Mary, D'écho en échos, est une lecture-détente et je pense qu'il faut le prendre comme telle. Certes, si l'on peut regretter des descriptions insuffisantes des époques visitées, il convient de ne pas oublier qu'il s'agit avant tout d'un roman de Science Fiction et non historique. Pour ma part, ce roman aura rempli son office, à savoir me divertir par le rythme de l'intrigue assez enlevé, son humour et ses personnages hauts en couleur. Je vois d'ailleurs bien cette saga de neuf tomes adaptés en série télévisée.
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Un second tome avec encore plus d'émotions fortes, les explorations sont de plus en plus dangereuses et on comprend que tout peut très mal tourner, très vite. Une place est laissée également pour la romance compliquée entre Max et le chef, deux gros caractères et sans doute trop d'égo de part et d'autre. Heureusement l'humour reste présent pour alléger l'ambiance.
J'apprécie toujours autant, je continue !
Merci