Qu'est-ce que "l'écrire" à l'heure où les mondes s'effondrent ? "Tenir", grâce à une parole, serait-ce encore imaginable à l'heure des désastres et des résignations ? Ou peut-être faudrait-il seulement accepter, phrase après phrase, ce "rien" qui restera, et seulement cela.