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sur 811 notes
Chassé croisé amoureux entre Ricardo, jeune péruvien et la "vilaine fille". Ricardo est tombé amoureux de la "vilaine fille" dès leur plus tendre jeunesse dans les années 50 à Lima au Pérou. Ils vont se perdre de vue jusqu'au jour où Ricardo va la retrouver a Paris dans la peau d'une guerrillera du Cuba de Castro, puis comme épouse d'un diplomate français et puis comme la femme d'un aristocrate anglais. L'histoire d'un amour déséquilibré entre un Ricardo fou amoureux, prêt a tout pour se faire aimer de cette femme et une "vilaine fille" qui ne recherche que le confort matériel.



Lire un Mario Vargas Llosa c'est un gage de très bonne lecture et que le bandeau "prix nobel" ne doit pas effrayer les lecteurs potentiels. Prix Nobel de littérature ne veut pas nécessairement dire lecture pénible. Dans "la fête au bouc" l'auteur nous racontait la dictature en République dominicaine dans les années 60, dans celui ci c'est une histoire d'amour entre Ricardo et cette "vilaine fille" insaisissable et aux sentiments amoureux atrophiés. Un roman du point de vue de Ricardo puisque c'est lui qui nous raconte sa vie et ses rencontres avec "la vilaine fille". A chaque chapitre correspond une rencontre et se termine par une séparation entre ces deux amants sur fond d'histoire péruvienne.

Le portrait de cette mystérieuse "vilaine fille" est le point fort de ce roman et c'est elle qui apporte tout le piment de cette histoire. A chaque chapitre on se demande quand elle va surgir dans la vie de Ricardo et quel prétexte va t'elle saisir pour le quitter en le faisant souffrir. Ricardo c'est l'amoureux transi qui a chaque fois qu'elle le quitte se dit que c'est la dernière fois qu'elle le fait souffrir et qui pourtant quand elle ressurgit dans sa vie la laisse reprendre sa place dans son coeur. Une sorte de "je t'aime, moi non plus" où l'on voit vieillir nos héros et s'enfoncer peu a peu dans une voie sans issue.

Excellent roman d'amour vache. Ma note 8/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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J'ai retrouvé Vargas Llosa avec le même plaisir que la première fois.
Ricardo va aimer une seule femme dans sa vie et quelle femme ! Il l'a connu, adolescente dans son quartier du Miraflores au Pérou, sous le joli prénom de Lily. Elle disparait pour réapparaître, apprentie guérilleros à Paris sous le pseudonyme d'Arlette. Son départ pour Cuba sonne le glas de leur idylle, mais c'est sans compter sur le hasard et, surtout, la plume de Vargas Llosa . Mariée à un diplomate français, Madame Arnoux, tel est son nouveau nom deviendra ensuite Mme Richardson, femme d'un éleveur de chevaux richissime. Ricardo la retrouvera à nouveau, au Japon. Devenue maîtresse d'un riche homme d'affaires troubles, elle s'appelle Kukito, contrebandière de son état, enfin, selon ses dires.
Les point d'ancrage de ce livre sont l'amour sans commune mesure de Ricardo pour cette « vilaine fille » ainsi qu'il l'appelle et les mensonges de cette aventurière.

Avec cette trame, Vargas Llosa nous promène du Pérou à Paris, de Cuba à l'Angleterre, jusqu'au Japon Ricardo, le « bon garçon » va suivre la « vilaine fille » et Elle se raccrochera à lui pour sortir la tête de l'au jusqu'au prochain plongeon.
A chaque fois Ricardo retrouve sa belle Chilienne, la console, la cajole…. Pour mieux la perdre, jusqu'a ce que la mort les sépare.
Il saura nous faire aimer cette femme belle, attirante, dotée d'une détermination sans faille mais vénale sans que Ricardo pâtisse, dans notre esprit, de son manque d'ambition et de son amour en bandoulière.


Tout comme Flaubert ou Maupassant, il sait rendre attirante une histoire simple et banale grâce à une écriture classique qui mêle aussi bien le romanesque que la peinture sociale et politique des périodes traversées, ses souvenirs d'enfance au Pérou.

Un très grand coup de coeur pour cette histoire racontée avec tant de brio et de maestria que j'ai dévorée avec gourmandise.

Lien : http://zazymut.over-blog.com..
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Voilà bien des années que je me dis qu'il faut absolument que je lise quelque chose de Vargas Llosa.
Or, étant moi-même de langue espagnole, j'ai laissé trainer la chose, de contretemps en en oubli, chaque fois que je me rendais en Espagne.

C'est en parcourant des critiques de certains de ses ouvrages sur babelio que l'envie irrépressible m'a poussé à mettre un terme à ce que l'on appelle en Espagne una Asignatura pendiente, en achetant sur internet l'oeuvre dont il est question ici.

Pas de doutes, c'est un auteur hispanique.
L'on s'en rend compte très vite à la joie et a la musicalité des ses mots. À une certaine brutalité austère également. L'hidalgo n'est jamais très loin.
Il m'a fallu une dizaine de pages pour trouver mon rythme de croisière car l'auteur utilise beaucoup de mots et d'expressions typiques d'Amérique latine, voir exclusivement péruviennes.
Mais une fois dans l'action, ce sont des baffes que vous vous prenez à chaque coin de phrase.

Il y a longtemps que je ne me prenais pas une telle enclume sur ma piètre citrouille.
J'ai ressenti les mêmes sensations que l'ors de ma première lecture de À l'Est d'Eden de Steinbeck ou Thérèse Desquyroux de Mauriac.
Peut-être parce que, entre autres, il est également fait cas dans ces deux livres d'un monstre au féminin. Et peut-être aussi du fait que les trois possèdent la même incommensurable capacité à nous décrire des personnages sans jamais nous parler de leur état d'âme.

Tous trois étant des lauréats du prix Nobel, je me dis que les juges de ce concours ne sont peut-être pas si mauvais.

Ce roman nous parle de l'amour et des dangers pour l'âme humaine qu'il peut représenter.
Original ! Me direz-vous.
L'amour presque féminin d'un homme pour une femme, décrit de façon presque froide et très masculine. Avec beaucoup d'humour, de pudeur et sans la moindre sentimentalité, ce qui donne évidement à l'oeuvre une indéfinissable élégance.
Là est le défi que l'incomparable talent de l'écrivain réussit à relever haut la main comme qui tuerait une fourmi.

Un doute persiste toutefois, pour maitriser moyennement les deux langues, je me dis que de maintenir toute la musicalité du texte (de l'espagnol au français) doit tenir d'une véritable prouesse.

À part de l'amour qu'il a éprouvé pour une femme sa vie durant, l'auteur nous parle également de celui qu'il voue à la ville de Paris. Et là encore, sans superlatifs et avec beaucoup de désenchantement.

Un dernier mot encore sur ce monstre au féminin.
Comment aimer un être aussi froid, intéressé et égoïste, tout en un ?
L'auteur nous l'enseigne avec beaucoup de réalisme.
Ne dit-on pas, qui aime bien châtie bien ?
Pour maintenir la flamme, cette femme est prête à tout. D'abord à se détruire elle-même puis à carboniser celui vers qui elle l'adresse.
J'aimerai en dire plus à ce sujet, mais ce serait vous gâcher le plaisir d'aller au bout de ce chef d'oeuvre.
Je finirai donc et disant que l'amour, le vrai, est fragile. La moindre petite lâcheté peut le blesser à mort. Après, ce ne sera plus que du réchauffé. Il faut du courage donc, un courage dont Vargas Llosa nous dit qu'il fait, en général, cruellement défaut à l'âme masculine.

Autant pour nous !
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Une vie entière contre trente-sept jours, voilà comment je pourrais résumer la relation entre Ricardo, le bon garçon, et Lily, la vilaine fille .
Ce livre narre l'histoire d'un amour impossible car inconditionnel et indéfectible d'un côté et de l'autre côté d'un amour sporadique et vénal, mais cependant véritable.
Un amour inconditionnel, sans bornes, nous en avons tous rêvé. Mais sous la plume de Vargas Llosa, le concept est retourné dans tous les sens, mis sous toutes les lumières et soumis à toutes les épreuves.
Ricardo tombe raide mort d'amour pour cette fille dès qu'il la voit dans leur Pérou natal, alors qu'ils sont adolescents, durant les années cinquante.
Lui, c'est la rigueur, la modestie, l'honnêteté en personne. Une souris grise.
La Vilaine Fille ne pense qu'à repousser les limites, quitte à prendre beaucoup de libertés avec la réalité, la légitimité, la loi et la morale. Elle ne s'en privera pas tout au long de ce brillant roman. Elle parcourra le monde, passant avec légèreté d'une identité à l'autre, d'un lit à l'autre, d'un paradigme moral à l'autre, repoussant chaque fois la limite, devenant plus vile au gré de ses aventures.
Nous la retrouvons à Cuba, à Paris, à Londres, Tokyo... L'auteur réussit particulièrement le passage sur Paris, évoqué avec nostalgie et illustré par de belles références politique et historiques. Si j'ai tant apprécié ce moment du livre, c'est que justement il nous remontre une capitale européenne non encore avilie par les années actuelles … (bref...)
Entre ces étapes, des années s'écoulent et Ricardo, fou amoureux d'elle comme au premier jour, retrouve la Vilaine Fille dans chacun de ces intervalles faits d'ombre et de déchéance, la relevant de chacune de ses chutes.
Sans relâche, il lui livre son coeur, son âme et ses maigres économies, refusant de voir systématiquement le délabrement psychologique de la femme qu'il ne peut se résoudre à cesser d'aimer. Son abnégation dans l'expression de cet amour peut paraître exaspérante, mais elle est ô combien touchante.
Il tente bien de l'oublier, mais elle revient chaque fois à lui, comme un chien sentant le chien mouillé, la boue des fondrières et le parfum capiteux de l'immoralité.
Vargas Llosa est un très grand écrivain, qui réussit à donner merveilleusement vie à ses personnages, c'est extrêmement cinématographique. Quelques longueurs ? Certes, on tournera les pages un rien plus vite entre les pages deux-cent et trois-cent...
En lisant ce livre, on sent que l'homme a voyagé et qu'il s'est empreint de chaque lieu qu'il a visité. La vie de MVL est d'ailleurs elle-même un roman.
Quant aux trente-sept jours que j'évoque au début de cette chronique, vous verrez en lisant le bouquin.
Je suis désolé d'encore vous présenter un excellent livre en cette fin 2021 et que je vous conseille de lire. Encore des achats en vue pour vous donc...
Après la Fête du Bouc, il fut mon deuxième de cet écrivain, sûrement pas le dernier.
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Ricardo a dix ans quand il rencontre Lily, la petite chilienne qui danse formidablement bien la samba dans les surprises-parties de ce quartier aisé de Miraflores, Pérou.
Nous sommes dans les années 50 et la petite chilienne disparaît de la vie de Ricardo après un bal mémorable.

10 ans plus tard Ricardo est étudiant sans le sou à Paris. Il ne pense plus que de loin en loin à son amour de jeunesse. Il est ravi de vivre à Paris, accomplissant ainsi le rêve de sa vie. Il devient traducteur (espagnol, français, anglais) et commence même à apprendre le russe.
Par hasard, il rencontre à nouveau la petite chilienne, qu'il aime toujours.

J'ai trouvé cette histoire d'amour très intéressante : on ne connait que la vision de Ricardo mais cela ne m'a pas gênée. Tout de suite le lecteur sait que l'amour de Ricardo est à sens unique. Lily, qui change de nom comme de chemise, le mène en bateau mais reste une femme touchante dans sa fragilité. Elle reste avec lui le temps de se « faire » une santé puis disparaît à nouveau, trouvant un alant plus riche.

De 1950 à la fin du siècle, Mario Varga Llosa sait à la fois raconter la petite histoire en se référant juste ce qu'il faut à L Histoire (Cuba, la tentative de démocratie au Pérou puis la dictature, la situation en France, le mouvement hippie à Londres....)
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Voici un roman qu'on ne regrette pas d'avoir lu.
L'imagination de l'auteur, sa capacité à créer une ribambelle de personnages hauts en couleur et l'intrigue très originale font qu'on ne le lâche pas.
Il y a peut être un soupçon de lassitude vers le milieu quand on a compris le cycle répétitif des rencontres entre les deux personnages principaux mais cela ne dure pas et l'histoire rebondit.
La fin est inattendue, ce qui est toujours excellent dans un roman, et nous fait comprendre que l'on a lu une véritable et grande histoire d'amour (ce que l'auteur nous cache presque tout au long du livre).
Bravo.
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Une fresque somptueuse, un auteur que je découvre et que j'applaudis, bravo Señor Vargas Llosa pour ce roman si bien mené.
Il conte de la plus singulière des manières l'histoire d'amour contrariée de deux péruviens tout au long de leur vie.
Et pourtant en écrivant ce "pitch" je ne peux m'empêcher de penser que l'amour et le Pérou sont les deux grands absents de ce roman.

L'amour, ce n'est vraiment pas ce qui m'est venu à l'esprit en lisant ce livre, car pendant une grande majorité de l'histoire on navigue entre névrose, obsession et immoralité. J'ai bien souvent été irritée par cette "vilaine fille" qui malmène ainsi le narrateur, amoureux transi. Et pourtant... Il faut lire cette histoire jusqu'à son dénouement pour en saisir toute la grandeur.

Le Pérou, quant à lui, offre un point d'ancrage au héros, c'est sa patrie d'origine et celle de nombre de ses amis, mais peu de références y sont finalement faites, et l'on découvre bien plus Paris, sa ville idéalisée, et également Londres, Tokyo et Madrid. L'intrigue se déroule sur plusieurs décennies et offre un merveilleux panorama de l'évolution de la société à travers le monde.
La réflexion sur les exilés qui ne sont nulle part chez eux est poignante, à l'instar de notre serviteur qui n'est pas considéré comme un véritable français à Paris, mais qui n'est assurément plus un authentique péruvien, le temps ayant fait son oeuvre.

Pour conclure sur l'histoire d'amour tout de même, je ne peux que vous conseiller de la lire, elle mérite de se laisser embarquer !
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Le narrateur, qui ressemble comme un frère à l'auteur, raconte sa passion de toute une vie pour la « vilaine fille » (la niña mala en espagnol), connue adolescente dans les quartiers résidentiels de Lima où elle faisait tourner les têtes de la jeunesse dorée. A chaque chapitre il la retrouve métamorphosée en guérillera castriste, en femme de diplomate français, en épouse d'une riche collectionneur de chevaux dans le « swinging London », en maîtresse d'un chef de la mafia japonaise à Tokyo… Dans cette relation asymétrique, il est le « bon garçon » amoureux fou jusqu'à l'obsession, le « pitchounet » romantique débitant des niaiseries passionnées, tandis qu'elle, la « vilaine fille », avide de pouvoir et d'argent, le plaque sans état d'âme, le torture, se montre capricieuse et cruelle, le trompe avec le premier richard de passage. A chaque fois que d'un simple coup de fil, elle réapparaît dans sa vie, il retombe dans le piège où il s'est bien juré de ne pas être repris… Nous suivons aussi le narrateur dans sa vie parisienne d'interprète à l'UNESCO, dans ses congrès internationaux qui lui font visiter les capitales du monde et dans ses amitiés avec des figures emblématiques de l'époque, un révolutionnaire péruvien des années 60, un peintre hippie des seventies à Londres, un interprète de haut vol, à la vie amoureuse et sexuelle déconcertante, une décoratrice de théâtre géniale et brouillonne…
Un roman qui se lit avec plaisir, même si les tours et détours de l'héroïne, pour inattendus qu'ils soient, entraînent l'auteur dans des chapitres parfois un peu longs, où l'intérêt faiblit. Histoire d'une passion, chronique d'une obsession, ce livre est le regard porté sur sa vie - évidemment romancée - par l'auteur vieillissant, avec une certaine complaisance, mais en nous offrant des portraits singuliers et des rebondissements surprenants.
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"tours et détours de la vilaine fille" de Mario Vargas Llosa (432p)
Ed. Folio
Bonjour les fous de lectures....
livre lu dans le cadre de mon défi " je noircis le planisphère". Auteur péruvien validé.
Il y a la vilaine fille, prêt à tout pour parvenir à ses fins.
Il y a le bon garçon, Ricardo amoureux d'elle au point de tout accepter même l'impossible, l'improbable.
Bien entendu, c'est un histoire d'amour.. vache... qui est ici décrite par l'auteur. Mais pas que....
Les deux protagonistes se sont connus à Lima, ils étaient gosses.
Elle, elle avait un aplomb fou.
Lui, il est directement tombé raide dingue amoureux.
Nous allons les suivre du Pérou à Paris en passant par Londres, Tokyo.
ls vont sans arrêts se perdre et se retrouver.
Elle mène une vie de dingues, se rapproche pour mieux s'éloigner.
Lui, sera toujours là pour recoller les morceaux et lui dire des "cucuteries" (sic) et qu'il l'aime plus que tout. Il va tout accepter tout suppoter.
Autour de cette histoire folle, de cet amour toxique, c'est aussi un tour d'horizon de la vie en Europe et au Pérou sur plus de 40 ans.
On y parle de révolution, de Mai 68, des hippies, du SIDA, etc...
Roman fascinant. La plume est légère et rend la lecture addictive.
Gros coup de coeur, belle découverte de cet auteur engagé que je vais continuer à lire
Oserais-je parler de chef d'oeuvre ?
Si vous ne connaissez pas cet auteur ... laissez-vous tenter
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Lecture et auteur découverts dans le cadre de la lecture commune de Janvier.

"Tours et détours de la vilaine fille" traite de l'obsession amoureuse, voire passionnelle de Ricardo, le "bon garçon". Amoureux de l'insaisissable "vilaine fille", "la petite chilienne" est prête à tout pour arriver à ses fins, Ricardo se fait avoir, plusieurs fois, en disant qu'elle ne le reprendrait plus ! La vie avançant, nous assistons, impuissants, à une déchéance inquiétante. Car je pourrais révéler que même moi, lectrice, j'ai pu tomber dans le piège de cette cruelle ensorceleuse !

C'est une jolie histoire malgré tout sur ce qu'est le bonheur. Et puis, il y a aussi le voyage qui est très présent dans cette oeuvre, entre le Pérou, Cuba, Paris, Londres, Madrid... la littérature russe.

Avec cette agréable et palpitante lecture , Mario Vargas Llosa vient de rentrer dans mon cercle d'auteurs qui retiendront mon attention à l'avenir !
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