AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4

sur 3401 notes
Une fois de plus, Vargas fait montre d'un style inimitable avec une intrigue alambiquée mais extrêmement maligne. Cependant, selon moi, même si le roman est très plaisant, ce n'est pas son meilleur.
Commenter  J’apprécie          00
Un policier hors du commun, où fantastique, enquête et réalité s'entremêlent.
Commenter  J’apprécie          00
Dans un lieu incertain,le commissaire ADAMSBERG personnage récurrent des romans de Fred Vargas est malmené. Des vampires serbes et leur tueurs, son fils naturel qui se fait passer pour l'assassin pour attirer son attention. Une haute magistrate qui tue et manipule l'enquête, pour cacher son mariage avec l'assassin. Un flic qui fausse les pistes pour sortir sa fille de prison, l'ancien inspecteur qui est l'oncle du fils du commissaire et qui le sauve etc... font une intrigue à tiroirs, riche en rebondissements, qui est captivante de la première à la dernière page, avec le sommet du suspense lorsque ADAMSBERG frôle la mort. le commissaire et son équipe, sont de la trempe des grands flics de la littérature policière, et donnent envie de les retrouver dans d'autres aventures
Commenter  J’apprécie          20
Sans aucun doute la meilleure des enquêtes de Jean-Baptiste Adamsberg. Je ne donnerai aucun avant goût sur cette dernière trop peur de donner le moindre indice , à moins que,... , cette horrible chansonnette dont je précise qu'elle n'est pas chantée dans ce bouquin : "Du sang, des boyaux, de la rate et du cerveau..."
Commenter  J’apprécie          272
Pour le moment c'est un des romans de Fred Vargas que j'ai préféré. Excellente histoire ou j'ai retrouvé deux univers de lecture que j'adore en un seul livre, le thriller et le mythe du vampire.

J'aime de plus en plus le personnage d'Adamsberg, sa manière de voir les choses et de communiquer. Il me fait beaucoup rire. le dialogue avec Émile le jardinier a été carrément jubilatoire. A mourir de rire. Et dans ce livre il va y avoir de gros bouleversements pour Lui. A lire absolument donc !!!
Commenter  J’apprécie          00
Une rencontre-échange de livres, le temps d'un petit-déjeuner. Elle vient de Suisse et me parle d'auteurs que je ne connais pas; je pose sur la table des livres d'auteurs belges que j'ai envie qu'elle découvre. Et puis, avant de se quitter, elle va dans son sac, en retire un livre dont elle vient d'entamer la lecture, un Fred VARGAS. Je ne connais pas! Elle me le donne. "J'en ai d'autres à lire, tu me le rendras la prochaine fois!" Voilà comment j'ouvre, pour la première fois un VARGAS.

"Un lieu incertain" (J'ai lu, n°9392). J'ouvre et je lis. Je suis pris. J'aime très vite cet Adamsberg, policier hors normes, hors propos, hors tout, sauf compétence et reconnaissance des compétences de chacun des membres de son équipe. Là, je suis séduit, j'aime ce type de personnage! Et puis son ton décalé, sa manière de pratiquer le grand écart en permanence, de penser dans les nuages et de s'enraciner au plus profond du moindre détail par lui seul observé. J'aime cette obsession à faire du lien avec tout: l'ours du salon, le mangeur d'armoire, les pieds découpés et l'araignée qui a piqué son voisin. Et, à côté, j'aime le puits de sciences qu'est Danglard, son collègue et la phobie de ce dernier à passer sous la Manche ou sa maladresse à y amorcer une aventure amoureuse.
La plume de VARGAS est légère, précise, parfois acérée, elle stylise ses personnages, en pleins et déliés. Ils ont tous du caractère, tous une valeur à part entière et quasi égale dans l'avancement de l'histoire. Une vraie écriture de fond qui sert magnifiquement ce genre dit 'superficiel' qu'est le polar. Préjugé que je ne partage pas du tout, le polar ayant, à mes yeux, une vraie place dans les récits qui nous invitent à revisiter notre "petit monde pas toujours joli,joli!".
Et cette fois, de quoi s'agit-il? Fred VARGAS nous entraîne dans un lieu incertain. Avec le charme dérisoire d'une histoire de Vampires à laquelle on ne peut croire, raison oblige! ... mais qu'on suit tout de même avec grand intérêt, l'auteur nous plonge dans ce milieu glauque des histoires de familles, des souffrances ressassées, des injustices aux relents d'éternité, de la vengeance qui donne tout son sens à la vie puisqu'elle veut la mort! Au nom de la Lignée de sang, nourris par les imaginaires collectifs et destructeurs des anciens, pétris du milieu dont ils ne peuvent se dépêtrer, il en est un qui ne peut vivre qu'en cherchant à mettre un point final et glorieux au passé qui le mine et qu'il traîne aux pieds depuis des siècles.
Pour donner un avenir au présent, Adamsberg doit mettre fin au passé! Bien sûr, il y arrivera... mais comment?
Commenter  J’apprécie          102
Fred Vargas signe ici un polar solidement mené, construit et déconstruit en multiples niveaux, comme autant de feuilles qui recouvrent la vérité. Un très bon équilibre entre humour, enquête, voyages et érudition.
Commenter  J’apprécie          20
Bon je sais que je ne vais pas me faire des amies mais j'avais envie d'écrire cela :
Ah que je retrouve avec plaisir la plume de Fred. Un bon pote à moi…..Fred Vargas, une femme qui écrit comme un homme tout comme, à mon sens, Grégoire Delacourt a su écrire de façon si authentiquement féminine « la liste de mes envies » – mais ne commençons pas à nous égarer.
Ecrire comme un homme c'est savoir percer l'âme masculine, intimement, comprendre ce qui nous motive - pas seulement le foot et les femmes - Comment nous percevons le monde, les relations humaines. Quelle connaissance ! Quel talent !
Quand je lis ses textes j'avoue vraiment avoir du mal à imaginer une femme penchée sur sa feuille.

Voilà une personne que j'aimerais vraiment rencontrer, car je plaisantais, elle n'est pas du tout mon pote.

Et puis quel bonheur de retrouver le commissaire Adamsberg dans lequel je me reconnais si bien. Oh pas le policier ; mais le gars calme qui se laisse bercer par ses impressions, toujours un peu décalé, un peu à l'Ouest. le type qui endort les gens auxquels il parle (oui ça m'est arrivé) mais qui chemine à son rythme. Un pelleteur de nuages. Sans oublier tous les autres personnages toujours un tout petit peu trop exagérés mais si sympathiques.

Et puis cette langue de Fred Vargas, si croustillante, pleine d'images, d'inventions, d'humour souvent décalé qui fait toujours naître en moi une impression de bande dessinée avec ces personnages un tantinet « trop » qui me plonge dans un monde qui vraiment me plait beaucoup.

Et puis toutes ces idées saugrenues comme l'homme qui a mangé une armoire, celui qui ramène à sa femme le cadavre de l'ours qui a mangé son mari et qu'elle fera empailler, les deux montres d'Adamsberg jamais à l'heure, etc, etc….Quel monde !

Fred Vargas a ce talent de créer un monde que l'on jugerait rapidement loufoque, irréel mais à y bien réfléchir, c'est juste un lieu où se rencontrent des gens et des situations un peu bizarres que l'on peut croiser vous et moi. Simplement ils sont tous là au même moment et au meilleur de leur forme.
Un vrai régal.
Commenter  J’apprécie          3711
Adamsberg, en plein colloque à Londres se retrouve dans une histoire de pieds trouvés dans des chaussures à proximité du cimetière de "Highgate". Cette enquête l'emmènera sur les traces de vampires en Serbie...
Toujours heureux de retrouver ce commissaire Adamsberg, j'ai apprécié ces petits voyages hors de France, avec en plus, ce petit côté fantastique sur les vampires.
Commenter  J’apprécie          10
Encore une enquête qui gravite autour d'Adamsberg et sa troupe. Une intrigue complexe pour le plaisir des fans de romans à énigmes mais surtout des personnages drôles et attachants que l'on a plaisir à retrouver et apprendre à connaître davantage.
Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (13516) Voir plus



Quiz Voir plus

Fred Vargas

Au fait, Fred Vargas, c'est...

Un homme
Une femme

10 questions
654 lecteurs ont répondu
Thème : Fred VargasCréer un quiz sur ce livre

{* *}