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3,95

sur 4436 notes
Sensationnel roman d'aventure que nous aura légué Jules Verne... Son imagination va de pair avec la précision de ses descriptions environnementales.
Lidenbrock et ses compères sont de véritables héros; On ressent la difficulté, la longueur du voyage, le courage qui les anime dans les moments les plus difficiles et dangereux.

Le récit est riche, on ne s'ennuie pas une seconde, même les quelques références historiques et géologiques s'avèrent utiles sans tomber dans le piège de la longueur.
A titre personnel, j'aurai aimé que le voyage se prolonge un peu plus.

Un classique et un passage obligé pour les amateurs d'aventures.
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Je pense que j'ai lu ce livre de Jules Verne trop tard, et qu'il m'aurait plus intéressée ado, je me souviens de mon enthousiasme après avoir lu le tour du monde en 80 jours...
Là j'ai salué l'imagination débordante de Jules Verne, mais ses longues explications techniques et la monotonie de certains passages m'ont un peu endormie. Heureusement, certains passages font rebondir l'histoire et ont réveillé mon attention.

Challenge Solidaire 2021


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enfin me direz-vous j'ai lu un roman de Jules Verne!! Sans déplaisir , mais sans grande excitation non plus. J'ai sans doute passé l'âge pour ce type de roman mais voilà de mon temps (chut!!!) il y avait les livres pour les garçons et ceux pour les filles....donc , nous les filles pas de sciences , pas d'imagination, des romans type saga , le club des cinq vous voyez le genre ,!.No comment s'il vous plait sur mon âge ...
L'histoire pour ceux qui ne la connaitrait vraiment pas , le Pf Lidenbrock, dans sa bonne vieille ville de Hambourg découvre par hasard un parchemin crypté signé Arne Saknussemm, alchimiste islandais fort connu du 15ème siècle.
Et ô quelle surprise , ce parchemin indique comment ice savant a pu pénétrer dans les enrailles de la terre.Ni une ni deux , le Pr Lidenbrock, décide de partir sur le champ ,accompagné de son neveu Axel et d'un guide islandais Hans qui s'avérera être leur ange gardien.L'aventure sera pleine de péripéties mais ne compter pas sur moi pour savoir lesquelles
Quant à mon ressenti sur cette lecture , club de lecture babelio septembre 2012,je dirais mitigé .Tout cet étalage de sciences diverses , géologie, physique, astrophysique, chimie etc.m'a un peu beaucoup agacée d'autant plus que un siècle et demi tellement riche en découvertes scientifiques rendent les notions de Verne un peu obsolètes.
A contrario, je suis admirative devant les connaissances encyclopédiques de Jules Verne,son imagination débordante même délirante par moment.J'imagine qu'au moment de sa parution ce livre a du faire l'effet d'une météorite, premier grand roman d'anticipation de cette nature il a du en déranger plus d'un!
Et vous lecteurs qui vous délecter des romans islandais , ne ratez sous aucun prétexte les descriptions de l'Islande par Jules Verne , Indridason n'a rien inventé!
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le recueil de récits de Jules Verne dans lequel je lis ses histoires me fait penser à une sorte d'agence de voyages touristiques. Cette fois-ci, j'ai pris le billet pour la promenade dans et sous la croûte terrestre.

C'est l'histoire d'un jeune homme amoureux sans histoires (haha ! Jeu de mots pourri même pas intentionnel, désolée). Un jeune homme qui, à cause d'un mystérieux parchemin, va se retrouver entraîné dans un voyage extraordinaire, en compagnie de son oncle et d'un Irlandais mutique.
Descente de volcan, forêts de champignons géants, traversée d'Océan souterrain,...

Une aventure de plus, vraiment passionnante et intéressante. Et (le meilleur !!) très très peu d'énumérations. Et surtout surtout, pas de poissons !! (Bah oui, après Vingt mille lieues sous les mers, il va me falloir un peu de temps avant de retourner dans un aquarium.)
Les explications scientifiques sont, quant à elles, vraiment intéressantes !!
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Dans ce voyage extraordinaire, Jules Verne emboîte le pas d'Otto Lidenbrock et de son neveu Axel et nous fait descendre dans le tréfonds de la terre en compagnie de Hans qui protègera les deux héros.
On entame la descente dans le cratère d'un volcan, et on atteint des profondeurs inconcevables qui servent à Jules Verne de support pour nous présenter les sciences de la terre : la géologie, la minéralogie sont ainsi présentées avec ce charme un peu suranné que l'on ressent en lisant ces témoignages d'un siècle révolu.
On croise toutes sortes de créatures incroyables dans ce monde souterrain où l'évolution n'a pas connu le même rythme qu'en surface. On y trouve ainsi des monstres préhistoriques et on y fait aussi d'autres rencontres plus contemporaines.
Pour finir, le retour à la surface se fait à la façon d'une balle de fusil utilisant un volcan pour exutoire.
Un beau voyage qui ouvre des horizons encore plus inconnus que la découverte des contrées terrestres vues dans les autres romans où on traverse l'Afrique d'est en ouest ou dans lesquels on emprunte toutes sortes de moyens de transport pour boucler un tour du monde.
Maintes fois adapté, presque autant que vingt mille lieues sous les mers, ce roman demeure une pièce maîtresse du corpus.
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Je continue ma découverte de l'oeuvre de Jules Verne. Après le tour du monde en 80 jours et Cinq semaines en ballon voici Voyage au centre de la terre. Tout un programme !

Alors, je ne sais pas pourquoi mais pour moi ce voyage se passait à bord d'une machine à l'instar de celle ayant servi pour creuser le tunnel sous la manche à savoir ces énormes tunneliers de formes cylindriques munis de « dents » qui tournaient et creusaient le sol. Que nenni !

En fait j'ai dû voir un film dans ce goût là et j'ai fait l'amalgame. Dans le roman de Jules Verne, les trois protagonistes se contentent (mais il faut déjà le faire !) de descendre à pied dans le cratère d'un volcan. C'est le début de la grande aventure.

Munis d'outils rudimentaires ils arriveront à se diriger, à connaître leur position dans les labyrinthes qui ne tarderont pas à se présenter à eux. Ils découvriront des mers souterraines, des variétés de poissons aujourd'hui disparus. Ils connaitront le doute, la peur, la soif.

A plusieurs moments leur vie ne tient plus qu'à un fil.

On retrouve les grandes valeurs morales déjà rencontrées dans les deux titres cités plus haut : le courage, la fidélité en amitié, la bravoure, le dévouement, le respect des ainés. J'ai apprécié le style, un peu désuet, le vocabulaire différent d'aujourd'hui, les expressions qui n'ont plus cours de nos jours.

Pas mal d'explications (de l'époque !) scientifiques. Certains passages m'ont fait pensé à la dictée de Ducobu ( «quelques hyménomycètes, des hypholomes, des helvelles, des géasters fimbriés, des polypores versicoles et un hydne »).

Je l'ai lu en trois jours, j'ai beaucoup aimé. le suivant sur ma liste est « De la terre à la lune ». Comme on dit de nos jours « ça devrait être sympa » ! 
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Quel merveilleux mélange bien ficelé entre aventure, imaginaire et vulgarisation scientifique ! J'avais lu cette oeuvre enfant, vers l'âge de 10-12ans, j'en avais un bon souvenir mais je n'avais retenu qu'une certaine image (la découverte de certaines espèces). le reste, j'étais incapable de le raconter. J'ai donc décidé de le relire et je ne regrette pas car j'avais vraiment l'impression de faire parti du voyage ! Pour la partie scientifique, Certes, les connaissances sur lesquelles se fondait Jules Verne sont à présent obsolètes en bonne partie (que ce soient les théories sur la composition du globe terrestre ou celles portant sur l'histoire des espèces et sur les premiers hommes). Mais l'ensemble fonctionne toujours aussi bien pour ce qui est d'intéresser les lecteurs à tel ou tel domaine scientifique, et vous sortirez sûrement du roman avec l'envie de mettre à jour vos connaissances en géologie ou en paléontologie !
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Fort de mes lointains souvenirs de quelques romans phares de Jules Verne lus dans une autre vie, c'est sans aucune surprise que je découvrais à la lecture pour moi nouvelle du « voyage au centre de la terre » qu'à la différence de l'adaptation destinée aux familles nord-américaines des années cinquante qu'en fit ce vieux Walt, cette aventure était exclusivement et délibérément masculine. En effet et ce malgré l'existence d'une fiancée pourtant elle aussi minéralogiste émérite et dont il est écrit qu'« elle en eût remontré à plus d'un savant », pas plus de femme conviée dans ce roman à visiter le centre de la terre, que dans d'autres échouant sur la plage déserte d'une île mystérieuse ou présente dans les coursives du Nautilus ou le ballon de Samuel Fergusson, ni non plus accompagnant Phileas Fogg à travers son tour du monde.

J'avais par contre totalement oublié à quel point chez Jules Verne le caractère de ses personnages est ramené à un simple trait, et que celui-ci non seulement les définit d'emblée dans leur intégralité mais qu'il a cette toujours même caractéristique que sa simplicité ne vient pas de ce qu'il n'est qu'une ébauche ou une épure mais au contraire de ce qu'il est destiné à être définitivement arrêté. Ainsi, les trois héros de ce roman : le professeur Otto Lidenbrock, minéralogiste érudit et polyglotte dévolu à la science jusqu'à la psychose et façonné de certitudes au demeurant pour la plupart ratifiées par les faits, son jeune neveu Axel, narrateur de l'expédition et dont la jeunesse ne peut signifier que candeur, enthousiasme, éclairs d'inspiration mais aussi fragilité à laquelle parfois se mêle un rien de couardise ou de dolence et enfin leur guide Islandais recruté sur place, Hans Bjelke, sorte de sherpa nordique idéal, immanquablement efficace, irrémédiablement mutique et prêt à emprunter n'importe quelle voie du moment qu'on ne sait où elle mène et dès lors que c'est au côté de ses deux employeurs, fleurons d'une Europe éclairée, puissante et expansionniste, tels ils ont entamés ce voyage hors norme, extraordinaire dans le plein sens du mot, tels ils le finiront.

Dans cette traversée du complet inconnu, du presque inexploré puisque c'est en réalité sur la trace laissée par Arne Saknussemm qui trois siècles auparavant fut le premier à ouvrir les entrailles de la terre qu'ils se sont lancés, et bien que livrés à eux-mêmes, à eux-seuls pendant plusieurs mois, oubliés du monde de la surface et faisant, jour après jour, l'expérience de l'euphorie et du désespoir, de la peur et de l'éblouissement, rien ne les aura changés. Ils n'ont pas bougé d'un iota, ni dans leurs certitudes, ni dans leur candeur et encore moins dans leur mutisme, à peine en ressortent-ils quelque peu amaigris et hirsutes. Ainsi, définitivement, cette équipée au centre de la terre n'est en rien le récit d'une aventure humaine, mais bien plutôt celui de l'Aventure de l'Humanité avec un « A » et un « H » majuscules, comme on parlera pratiquement un siècle plus tard de ce grand pas fait par elle avec à peu près le même esprit conquérant et colonialiste que du temps du second empire durant lequel Jules Verne vécut et installa son oeuvre. de cette aventure, pourtant toute intérieure, le bon docteur Freud semble être si loin que c'est comme s'il ne devait même jamais advenir, et cependant il arrive, il n'est déjà plus très loin, au point qu'il pourrait bien avoir été un des jeunes lecteurs de Jules Verne et quelles belles pâtures en effet lui auraient alors faites ces sombres boyaux descendant dans le ventre de la terre, ces couloirs inviolés et étincelants, étincelants parce qu'inviolés, cette mer interne, immensément répandue, régulièrement bouleversée d'orages aussi soudains que furieux, ces cavernes lumineuses où la nuit ne vient jamais mais cependant habitées de monstres immémorés entièrement occupés à s'entredévorer et bien sûr cette remontée finale à travers un étroit conduit d'une mer originelle transformée par un acte manqué en eaux soudain rendues effrénées et bouillonnantes puis bientôt en lave libératrice, et cela, encore une fois, sans aucune femme présente en ces lieux, seul un mystérieux berger à peine entrevu, sans âge et sans époque, veille là sur d'improbables troupeaux silencieux.

Mais ce qui pourrait ainsi ne nous paraître que faiblesse et inconsistance dans un siècle littéraire plutôt voué à l'exploration des comédies humaines, de la complexité des âmes et des sentiments et des ressorts politiques d'une société déjà vieillissante et nous tirer ainsi un peu de mépris condescendant, en constitue en réalité tout le charme et la singularité. Car, et comme cela n'est pas si fréquemment le cas ailleurs, les héros de Jules Verne traversent leur aventure comme si eux-mêmes n'en étaient que les lecteurs et puisque, de par cette ascèse rationaliste et positiviste à laquelle ils ont consacrés leurs voeux, ils occupent plus de temps à commenter objectivement cette aventure qu'à la vivre avec passion, ils nous laissent ainsi, sans nul nécessité de nous identifier à eux, tout à fait libres de visiter ces lieux sans être en rien gênés par leur présence. Au contraire, ils sont comme des guides parfaits dépêchés par Jules Verne dans le but de nous faire visiter dans des conditions idéales son musée merveilleux, son théâtre d'ombres chinoises et dont on peut, de temps à autre, se laisser aller à écouter par politesse les explications raisonnées et savantes aussi désuètes à nos jours qu'elles étaient déjà superfétatoires à l'époque sans que cela ne gâche en quoi que ce soit notre concentration à vouloir profiter pleinement du spectacle des lieux. On attend d'eux seulement qu'ils portent la lumière et choisissent des routes que sans leur curiosité nous n'aurions jamais eu le courage, voir même l'idée, d'emprunter.

Aussi de ce qu'il advient de ces héros au delà de leur aventureux périple finalement peu nous importe. Qu'Axel dès son retour à Hambourg épouse sa Graüben dont il a donné le prénom à un embarcadère souterrain naturel (il n'est décidément pas possible que le bon Sigmund n'ait pas lu ce livre), cela va de soi. Que le Professeur Lidenbrock tire quelques gloires de salon de son courage sans faille d'explorateur à tout va, c'est la moindre des choses. Quant à l'impavide Hans Bjelke, il semble traverser la vie avec une telle sagesse innée de moine tibétain qu'on peut l'imaginer aussi bien retournant à ses chasses solitaires d'eiders islandais que consacrer le reste de sa vie à tricoter au fond d'une Isba entourée de geysers des chandails en poils de rennes ou de renards bleus.

Ils sont passés en ne laissant au bout du compte rien d'eux-mêmes. de la belle écriture de Jules Verne précise et sans afféteries et dont le primordial du très respectable travail littéraire consiste à rendre réel l'impossible et à donner une architecture concrète et cohérente au merveilleux, ne restent donc, mais c'est bien là l'essentiel, que ces lieux révélés, devenus pour nous presque familiers par la justesse de leur description et qu'on peut désormais visiter, sans besoin d'autre guide que notre mémoire de lecteur, chaque fois que le coeur nous en dit.
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Lectrices, lecteurs, bonjour !
📗📘📙

#lectureterminee: "Voyage au centre de la Terre", de Jules Verne.

Une aventure incroyable dans les entrailles de notre planète, sous la houlette d'un maître dans l'art de la description et de l'immersion narrative. L'on y sera initié à la cryptologie, à la minéralogie, à la spéléologie, à la paléontologie, à la géologie, à la volcanologie ainsi qu'à la vie quotidienne islandaise.

Je me permettrai néanmoins de reprocher la longueur de l'introduction, puisque les héros ne quittent leur domicile qu'au 7ème chapitre, et n'entament la descente dans le volcan qu'au 16ème…

L'édition que je possède comportait également deux nouvelles.

"Un drame au Mexique", une histoire de mutinerie et de vengeance, mais en fait un prétexte pour nous faire découvrir la géographie mexicaine. le talent de l'auteur réussit à faire passer la leçon.

"Dix heures en chasse" est un pamphlet contre les chasseurs, mais il nous permet surtout de découvrir une autre facette de Jules Verne, l'humour. Cette nouvelle est d'ailleurs sous-titrée "Simple boutade".

-Edouard Jhil-

"Lisez ce que vous voulez, mais lisez, c'est important."

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Pourquoi ai-je attendu plus de 40 ans pour lire Jules Verne ? On connaît tous les classiques de la littérature, des aventures mille fois racontées et portées à l'écran, et pourtant, force est de constater que je n'avais jamais ouvert un roman de Jules Verne.
Voyage au centre de la Terre était là dans ma bibliothèque et j'ai sauté le pas. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. A de l'imaginaire, du fantastique, de la science-fiction mais aussi à quelque chose de pesant, de déjà vu, sans trop d'intérêt, peut-être justement parce que l'on en parlait trop.
Et quelle révélation ! Je l'avoue, ce roman m'a passionné.
L'histoire d'Axel et de son oncle Lidenbrock qui se rendent en terre islandaise pour descendre dans les profondeurs d'un volcan et s'enfoncer sous terre chaque jour plus loin.
Axel plus lucide que son oncle se demandera chaque jour si le retour vers la surface sera possible et si les réserves de nourriture leur permettront de vivre aussi longtemps qu'ils le souhaitent.
Le voyage scientifique se transforme à mesure du roman en une véritable épopée, en une aventure hors du commun et le lecteur se laisse séduire par l'imaginaire de Jules Verne. La fin du livre est encore plus surprenante et elle en devient presque plausible !
Le style de Jules Verne m'a déconcerté dans un premier temps. Je m'attendais à une écriture pesante, ennuyeuse et j'avais tout faux. L'écriture est agréable, fluide, légère et précise. Et c'est avec délectation que l'on suit les aventures en terre souterraine et inconnue.
Que dire des descriptions des paysages et des mondes traversés, tout aussi différents les uns des autres. On oublierait presque où l'on se trouve ! Et cette mer... immense, mystérieuse. La magie opère à chaque page, à chaque nouvelle rencontre ou découverte. La tension et le suspense ne nous quittent plus jusqu'à la fin.
C'est là que le génie et l'inventivité de Jules Verne prennent tout leur sens. Les images sont percutantes. Les décors envoutants.
Il est difficile d'apporter plus de précisions sans trop en dévoiler.
La plume de Jules Verne ne laisse pas indifférent et c'est avec plaisir que je lirai dans quelques temps un autre de ses romans.
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