«... La face dans le sable, la jeune femme était étendue, sa jupe noire relevée, les fesses nues ; elle portait des bas jarretières, et, sur la jambe droite légèrement repliée, le bas était nettement déchiré. Malgré la souillure de la pluie, ce corps inerte n'avait rien de dégoûtant ; ses formes auraient pu être considérées comme affolantes ; il y avait à la fois la plastique de la jeunesse, et la maturité des courbes. On eût dit un nu endormi...»