Trois copines se retrouvent pour quinze jours de vendanges. Inès ne pense qu'à rentrer sur Paris et retrouver son petit copain, elle passe tout son temps libre accroché à son téléphone.
Caroline a de l'expérience et choisit d'être porteur, un rôle plus souvent dévolu aux garçons.
Laeticia va s'épanouir et rendre cette expérience enrichissante.
Un récit qui nous entraîne dans le monde particulier des vendanges, de son rythme, de son vocabulaire, de ses étapes et de ses rituels. Malheureusement, l'histoire force le trait des héroïnes et laisse au final un goût en demi-teinte. C'est dommage car le dessin et le scénario ne sont pas inintéressants.
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On suit une joyeuse bande de vendangeurs entre la fête et le travail dans les vignes. le vin coule à flot chez ce vigneron du domaine de Mercurey. La drague est permise car la chasse est ouverte. le point de vue sera celui des filles à travers Caro, Inès et Laetitia.
Je n'ai pas trop aimé cette bd car cela reflète une vision qui n'est certainement pas la France de notre époque mais une vision plutôt fantasmée. Les chroniques sentimentales dans le genre amourette sans sexe seront plutôt fades. Les explications sur le processus de la vendange sont plutôt ennuyeuses. C'est léger et cela le reste.
Un mot pour dire que le dessin reste le point positif car un trait plutôt doux avec une colorisation plutôt vive qui reflète les couleurs du soleil.
Ce breuvage sera assez passable au final.
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Aucun interêt pour cette bd
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Un album qui se lit comme on sirote un verre de vin, certes pas un grand cru, mais un bon vin de table qui donne envie de se resservir. C’est un album agréable à lire, dont les jours se suivent et rassemblent les différents protagonistes.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
L’ensemble fonctionne relativement bien, reste tout à fait propret et guilleret [...]. Le dessin est à l’avenant, attirant mais sans aspérités. Voilà un album comme un godet de vendangeur : vite bu, vite lu, pas désagréable mais absolument pas mémorable.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Les dialogues sont bas du front et répétitif. Les personnages, à défaut d’être caricaturales et drôles, sont tellement clichés qu’ils sonnent faux. Et tout s’enchaine à une vitesse exaspérante. Le final, se voulant à la fois dramatique, surprenant et "happy end" finit de faire souffler le lecteur. Un souffle d'exaspération.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Premières Vendanges nous offre deux semaines où le temps semble s’être arrêté. Sorte de récit initiatique, agréable et dépaysant, qui propose un bon moment de lecture, sans prétention.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
- Pourquoi ils courent comme ça?
- Pour choper une hotte. Y'en a pas pour tout le monde. Et le job de porteur est nettement plus peinard. Alors...
Nous, en bonnes femelles castratrices, on va couper de la grappe au sécateur.
Trente jeunes, les uns sur les autres, pendant deux semaines...le tout bien arrosé d'alcool...chauffé par le soleil, débilité par le boulot...
le maire nous unit, le curé nous bénit, vive le maire, vive le curé, vive le Mercurey !
Cueillez la grappe pendant qu'elle pend, on ne fait pas toujours vendange.
Des BDs & des Glacons : Premières Vendanges