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sur 1586 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
La jeune Cassandre Katzenberg, 17 ans, n'est pas tout à fait une adolescente comme les autres. de son enfance jusqu'à l'âge de 13 ans et l'attentat qui a coûté la vie à ses parents, elle n'a plus aucun souvenir. Par contre, elle peut voir le futur dans ses rêves, ou plutôt dans ses cauchemars où elle voit des attentats à venir avec une précision de détails rare. Mais comme son illustre homonyme de la mythologie, Cassandre n'est pas écoutée par ses contemporains. On la pense perturbée, voire folle. Alors la jeune fille fugue de son école et trouve refuge dans une immense décharge, aux portes de Paris. Là, elle découvre une petite communauté de SDF qui ont crée un village au milieu des détritus. Petit à petit, ces quatre originaux vont accepter la présence de Cassandre, croire ses prédictions et l'aider à déjouer les attentats. Ensemble, ils vont tenter de changer la marche d'un monde qui court inexorablement à sa perte.


Il y a quelques jours encore, je pensais que Bernard WERBER était un sympathique écrivain, spécialiste des fourmis. Mais ça c'était avant...Avant ma lecture de cette oeuvre magistrale qui m'a fait réaliser que Bernard est un grand visionnaire, un philosophe même! Grâce à lui j'ai tant appris que j'en suis encore sous le choc!
Vous saviez, vous, que vendre des armes c'est mal? Que les attentats tuent des innocents? Vous imaginiez que plus la société consomme, plus elle produit de déchets? Que la pollution, ça craint? Que les clochards, ça pue, ça rote, ça crache, ça picole? Que le monde va mal et que ça risque pas de s'arranger? Que l'eau ça mouille et le feu ça brûle?
Et bien si, comme moi, vous viviez dans l'inconscience des problèmes du pays, de la planète, de l'univers, lisez le miroir de Cassandre et puis, tant que vous y êtes, précipitez-vous sur L'arbre des possibles, il en fait une telle pub toutes les trois pages, que ça doit vraiment être génial! Et surtout, accrochez-vous! le chemin est long pour atteindre la Vérité. La soupe est indigeste mais très très délayée...
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Il existe des livres dont on peut parler des heures et des romans dont on a du mal à trouver les mots pour exprimer notre déception !
Eh oui, je n'ai pas aimé cette histoire. J'avoue que j'ai été tentée, à plusieurs reprises, de le lâcher et j'ai dû prendre sur moi pour continuer jusqu'à la fin. Je me forçais ...

Une grande partie de ce roman me rend malade. Non, pas que je ne supporte pas la misère mais les détails "nauséabonds" de Werber me prenaient à la gorge et les vulgarités tombaient sur moi comme des tuiles. Je n'ai pas aimé cet étalage d'insultes et de gestes indécents. Je conçois que l'auteur voulait nous faire plonger dans la déchéance des gens "jetés" par la société mais je suis restée bloquée par cette vulgarité "gratuite". Autant j'ai aimé les clochards du "Peuple de l'abime" de Jack London et ressentis de l'affection pour les personnages de "L'auberge des pauvres" de Tahar Ben Jalloun, autant j'ai détesté les "héros" (pas pour moi ) de ce récit.
En fin de compte et après la 785ème page (je suis tenace !), je peux confirmer que ce livre n'est pas pour moi !
Aucun attrait
Aucune compassion
et surtout aucun plaisir à la lecture !

J'ai dans la tête le goût amer de la déception et pour ce faire, je plonge, rapidement, dans un nouveau roman (un polar) afin de faire passer cette boule qui me reste au travers de la gorge et oublier cette rencontre ratée avec Cassandre.
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Pour tout dire, j'étais très contente de terminer cette lecture. C'était long, mais long et pour si peu de plaisir et de découverte. Mon premier Werber et je ne suis pas convaincue. Un étalage de notions qui sont liées par une trame très faible. Quelques mots découverts -le personnage principal, Cassandre, ayant un don particulier pour l'étymologie- ont retenu mon attention, et c'est à peu près tout ce que j'en garderai. L'idée d'un futur post-apocalyptique m'intéressait, d'autant que Cassandre avait un don pour lire l'avenir et son frère, un petit génie des mathématiques, avait développé un système de probabilités ingénieux permettant d'estimer le danger couru par un individu d'une seconde à l'autre. Mais il y a trop de prétextes dans ce roman qui diluent l'histoire et la dissolvent pour la perdre en chemin. La pollution, l'écologie, les sans domiciles, le cerveau gauche, puis le droit, l'origine de la création, le goût de la bonne pâtisserie, l'avenir de l'humanité et les bombes des terroristes ou encore les anti-proverbes et le ministère de la prospective… et les savants fous, je n'en pouvais plus. C'est rare à ce point, mais quel bonheur de l'avoir terminé !
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Heureusement que je l'ai emprunté et pas acheté !

Autant j'avais adoré les fourmis et les Thanatonautes, autant depuis "le papillon des étoiles" j'aime de moins en mois ce que fait Bernard Werber.

J'ai eu l'impression de lire toujours les mêmes idées réchauffées, recyclées. L'emballage et la sauce sont certes différentes mais il nous sert toujours la même soupe. Et j'insiste sur le terme de soupe. J'ai lu pas mal de choses de P.K. Dick et Werber (excepté les fourmis et les thanatonautes) c'est du Dick délayé à l'extrême. C'est long, mais c'est long, il répète, il rabâche ... Soit il nous prend pour des débiles, soit il a besoin de fournir un nombre donné de pages.

C'est d'autant plus agaçant qu'en plus, à un moment du livre il fait l'apologie de la SF, expliquant que l'histoire triera le bon grain de l'ivraie et je ne doute pas une seul instant que m. Werber se place dans le bon grain.

D'autant plus que des âneries il y en a ... Je ne vais pas en faire la liste mais ça agace quand le propos est étayé par un argument faux. Parce qu'on se dit que celui-là on l'a vu mais qu'en est-il de tous ceux qu'on n'a pas vu.

Et je ne parle pas de la pub qu'il fait pour ses romans : pub, recyclage d'idées ou "on tourne en rond sans avancer" ... Je ne sais pas quelle est l'hypothèse haute mais c'est pas franchement intéressant.

Ah oui, j'oubliais la chute ... le mystère de l'enfance de Cassandre. Bien vu. J'avais déjà entendu parler de l'expérience en question. Mais au bout de 600 pages, on en a tellement marre que ce qui était une bonne idée nous trouve usés et pressés d'en finir. Dommage.

Bref.

Un roman prétentieux, sans grand intérêt. Dommage car en réduisant tout ça de moitié (et écrit par un auteur qui se regarde un peu moins écrire) ça aurait pu faire quelque chose de pas mal.

Vite quelque chose d'agréable à lire.
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Et bien j'ai rarement lu un livre aussi...décevant de toute mon existence.
La plume de Bernard Werber y est pauvre, son écriture est vraiment commerciale et bâclée. J'ai eu l'impression de lire un livre pour adolescentes aux hormones chatouilleuses.
C'est niais, dégoulinant, mielleux.
Rempli de phrases et de pseudo-concepts bien pensants sur-réchauffés.
On nous sert ça dans une bouillie indigeste de récits incohérents et tout ça pour n'aboutir à rien du tout. Même Disney n'aurait pas osé nous servir une fin aussi écoeurante.

J'ai eu la nausée plusieurs fois à la lecture de ce livre et quand je n'avais pas envie de vomir, je me faisais royalement chier. Les personnages sont creux , les récits d'actions mal fagotés .
Et puis bon on nous présente tout ça avec un bonne doses de "théorie scientifiques" largement contestées depuis des années, de proverbes interminables, de probabilités à la capillotractées, de morales bien-pensantes sur l'écologie et sur le comportement de l'humanité...

A ce stade on pourrait se dire "okay c'est un livre jeunesse" sauf que ce bouquin avoisine les 800 pages durant lesquelles Bernard Werber radote à l'infinie ses théories vaseuses d'utopistes du dimanche. Et ça délaye et ça délaye. Et pendant ce temps le lecteur je m'ennuis.
Je pense qu'en condensant son récit et en occultant les nombreux passages de radotage on aurait facilement gagné 400 pages et un regain d'intérêt du lecteur.
C'est ça de vouloir nous servir à tout prix un pavé. Ce livre je le vois comme surtout comme le fruit d'une mégalomanie incroyable. L'auteur se cite lui-même tout au long du bouquin et utilise même son "arbre des possibles" comme un "concept visionnaire".
Bernard redescend sur Terre!

Conclusion:

Vous l'aurez compris, même si vous êtes fan de Werber: Fuyez ce livre!!
C'est long, c'est chiant, abrutissant et indigeste.
Quelle déception!!
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J'ai été très déçue par ce roman, je crois que je ne lirai plus de romans de Bernard Werber. Il n'arrive plus à se renouveler, je n'ai trouvé qu'un ramassis de lieux communs et des répétitions sans nombre. On est loin des "Fourmis" !
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acheté des parution car grand fan de Werber, achevé pour rentabiliser l'achat!
Perso, ai trouvé cela long,lent et lourd, style limite vulgaire ( et je ne suis pas pudibond), Werber en fait des tonnes ,ca sonne faux.
en un mot comme en cent, je n'ai pas du tout aimé.
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Abandonné en cours de route, ce roman m'a profondément ennuyée. J'ignore si tout le livre est écrit comme les cent premières pages, mais j'ai trouvé le personnage de Cassandre particulièrement gnangnan et l'histoire à l'avenant. Je n'ai pas accroché du tout du tout.
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En lisant le quatrième de couverture et le Titre je m'attendais à une chose phénoménale .... quelle déception ! ceci dès les premières pages , redondance dans les faits les dires. le sujet est à mon gout mal exploité et pourtant porteur - J'ai décidément beaucoup de mal avec cet auteur .
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Dans l'impossible impossibilité de le terminer. L'idée est certes bonne mais l'écriture est puérile...... le charme est rompu, je ne vous lirai plus M. Werber.
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