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3,47

sur 728 notes
Tous les romans peuvent se résumer à …une grande blague, dixit Bernard Werber dans le rire du cyclope… et particulièrement ce dernier. Là je dois avouer que je suis quelque peu déçue. Je n'irais peut-être pas jusqu'à dire que je me suis ennuyée en lisant cette histoire, mais la limite n'était pas loin ! L'intrigue est très fantaisiste, mais bon, on peut accepter beaucoup de chose en lecture. Ce qui m'a particulièrement déplu, c'est le côté parachuté des personnages, les coïncidences hasardeuses : Lucrèce subit durant son adolescence, les vexations de sa meilleure amie, et comme par hasard, elle retrouve celle-ci au hasard de son enquête, on retrouve un Isidore bien contradictoire, qui commence par refuser de voir Lucrèce, qui réfute toute idée de participation aux recherches, puis qui finalement, lui le non violent, après quelques tentatives de coups à l'encontre de Lucrèce, se lance à corps perdu dans une enquête, on se demande si tout ce cinéma est bien nécessaire ???
Les pages traitant de l'histoire du rire et de cette fameuse blague qui tue sont pénibles, voir nos grands auteurs mourir les uns après les autres, victime de leur curiosité, c'est du délire et je n'ai pas trouvé cela particulièrement hilarant. Quant à la fameuse BQT (Blague qui Tue) c'est le moyen par excellence, trouvé par l'auteur pour entretenir le suspense, le problème, c'est que le suspense a déjà été produit de cette façon dans pas mal de roman de Bernard Werber, et le lecteur habitué n'y retrouve pas son compte.
Je reste amère car j'ai l'impression que les romans de Bernard Werber dont je raffolais, s'essoufflent. le seul que je n'ai pas lu à ce jour est le miroir de Cassandre, que je lirai certainement prochainement, j'espère ne pas tomber dans la mélancolie et la nostalgie thanatonesque et fourmiesque.
J'ai malgré tout passé quelques bons moment avec ce livre qu'il ne faut pas prendre comme un policier (trop de situations incohérentes, de crimes qui partent dans les oubliettes et restent impunis), mais qui doit être abordé comme une fantaisie sur le thème du rire.

Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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c'est avec plaisir que j'ai retrouvé Isidore et sa comparse journaliste. j'aime beaucoup les livres de Werber car ils permettent une certaine réflexion sur les choses de la vie; par contre il faut avouer que son univers est un peu particulier. Ce roman est ponctué de blagues un peu potaches que l'on retrouve dans les hedbomadaires TV. Certaines m'ont quand meme fait sourire..
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Mon avis : "Le rire du cyclope" trainait depuis au moins un an et demi dans ma PAL. Lorsque j'ai vu que son prochain livre sortait dans les mois qui viennent je me suis dit qu'il était temps de le lire en prévision de l'achat de son prochain. Je pense que cette dépense est fortement compromise ... il serait plus envisageable de l'emprunter à la bibliothèque et encore ce n'est pas certain. Tout cela pour dire que je me suis ennuyée et que j'ai trouvé ce livre terriblement long.

Nous retrouvons Lucrece et Isidore, deux personnages récurrents de Bernard Werber. Lucréce est dévenue journaliste scientifique au "Guetteur morderne" et Isidore est maintenant à la retraite, il habite dans son chateau d'eau avec ses trois dauphins et son requin "George".

Darius Wozniak dit "Le cyclope" est le comique préféré des français, à la suite de son one man show, il décéde dans sa loge d'une crise cardiaque. Après enquête, Lucréce se rend compte qu'il est mort à la suite d'un gros éclat de rire. Aurait-t-il succombé à la BQT : la blague qui tue.
Malgré un Isidore qui se fait un peu tirer l'oreille le duo d'enquêteur part sur les traces du tueur.

Du vu, du revu, du très vu ... une histoire entrecoupée d'une encyclopédie historique du rire parfois assez humoristique. du comique de situation chez l' homme préhistorique, jusquà à la fabrication des premières blagues, je dois dire que plus j'avançais dans ma lecture plus cela devenait barbant.

Un récit ponctué de blagues parfois très amusantes pourtant je me suis profondément ennuyée dans cette enquête qui piétine et qui a du mal à avancer.
L'originalité de Werber ne prend plus chez moi, aucune surprise car je me doutais bien que la fin nous apprendrait de toute façon une chose toute à fait rationnelle.

Dommage dommage .... mais bon, il me reste de trop bons souvenirs avec sa trilogie des fourmis et mon préféré qui reste "Les thanatonautes".
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Quand j'ai vu que ce roman mettait en scène Lucrèce Nemrod et Isidore Katzengerg, je n'ai pas hésité: j'ai foncé. J'avais adoré le duo de journalistes scientifiques dans "Le père de nos pères" et "L'ultime secret" lorsque j'étais adolescente, au point de vouloir appeler ma future fille Lucrèce. J'ai gardé le souvenir de deux personnages très charismatiques, pour lesquels j'avais beaucoup d'affection.

Le roman est-il simplement moins bon ou bien ai-je grandi? Un peu des deux je suppose. le duo que j'avais mythifié est tombé de son piédestal : Lucrèce, surtout, m'est apparue comme une brute un peu vulgaire.

Le livre n'était cependant pas ce que j'ai lu de plus désagréable, je dois bien l'avouer. Je regrette les raccourcis narratifs typiques de Werber (Marie-Ange qui surgit du passé de Lucrèce), mais ce n'est pas nouveau: Les fourmis regorgeaient déjà de très heureux hasards... Après tout, depuis le début, le but de Werber est de nous étonner, nous faire rêver, d'élargir "l'arbre des possibles", et le tout reste cohérent.

J'ai ri quelques fois en lisant ce roman ( La blague de la grosse mite, j'en ris encore), ce qui m'a fait du bien en cette période de stress lié aux stages... Dommage, la mayonnaise Werber ne prend plus comme avant. J'ai néanmoins passé un agréable moment.
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Mouais, bon, ben bof.

Comme une encyclopédie de l'histoire du rire et de l'humour, ce bouquin se perd dans les méandres des blagues, diverses et variées au cours de l'histoire.

En fait, je l'avais déjà lu, mais je m'étais dépêchée de l'oublier, et je pense que sera encore le cas.

On est loin du brio des fourmis, même si j'ai apprécié les deux héros, Lucrèce, Isidore, et leur enquête.

Bon après, ça se lit facilement ! Heureusement...
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Darius Mirolaslaw Wozniak, dit le Cyclope, un comique à l'apogée de sa carrière, meurt dans sa loge fermée à clef de l'intérieur après un spectacle à l'Olympia.
De l'avis de tous, l'artiste est mort terrassé par une crise cardiaque due à un fou rire. Mais pour Lucrèce Nemrod, notre journaliste scientifique du Guetteur Moderne, il s'agit d'un homicide ! Une occasion pour elle de partir sur les traces du mystérieux assassin. Elle tentera d'entraîner contre son gré Isidore Katzenberg, ancien comparse de ses précédentes aventures, qui lui a décidé de prendre une retraite anticipée, mais qui très vite sera fasciné par cet étrange pouvoir procuré par le rire.

C'est avec un évident plaisir que j'ai retrouvé Isidore et Lucrèce, le couple de journalistes improbable que j'avais découvert dans les romans, « le père de nos pères » et « L'ultime secret ». Un tandem que j'avais beaucoup aimé et qui m'avait entraînée dans deux enquêtes palpitantes et atypiques.
Dans ce troisième volet l'auteur nous livre enfin une partie du passé de la jeune femme Lucrèce à laquelle le lecteur s'attache sans peine.
Werber s'attaque au thème du « rire », exercice périlleux car on ne s'improvise pas forcément comique du jour au lendemain.
L'enquête nous conduira donc à la recherche d'un meurtrier qui tue avec une arme aussi inattendue que mystérieuse le « rire ».

Comme à son habitude, Werber intègre dans son intrigue des extraits, non pas de « L'encyclopédie du savoir absolu » ni de « L'arbre des possibles » mais d'une nouveauté « le grand livre de l'histoire de l'humour », j'ai beaucoup aimé la façon dont Werber a intégré l'histoire du rire à celle de l'humanité.

Werber parsème également le roman d'un tas d'histoire drôles, enfin qui se voudraient drôles mais elles ne le sont pas toutes hélas.

Le roman se décompose en trois actes.
Dans le premier Lucrèce enquête seule, cette partie lui est réservée avec de nombreux retours en arrière sur son passé.
Dans la seconde partie, Isidore rejoint enfin l'enquête et le rythme s'accélère, mais j'ai très rapidement été freinée dans ma lecture, car j'ai eu la surprise de constater que Werber avait intégré l'une de ses nouvelles extraite du recueil « Paradis sur Mesure ». Monsieur Werber s'est carrément plagié tout seul. J'ai retrouvé les même lieux, les mêmes personnages, la même intrigue que dans la nouvelle « Là où naissent les blagues », un texte que j'avais bien aimé mais le retrouver dans le roman m'a tout de même donné l'impression que l'auteur me servait du réchauffé! du coup j'ai clairement perdu mon intérêt pour l'intrigue, plus d'effet de surprise, Monsieur Werber vous m'avez eu mais pas dans le bon sens du terme.
A la fin du roman, Werber se justifiera en expliquant qu'il souhaitait mettre en avant l'importance du rire et des blagues dans la littérature, sa nouvelle « Là où naissent les blagues » étant arrivée en tête d'un sondage auprès de ses lecteurs internautes il a décidé d'en faire un roman tout en prolongeant les aventures d'Isidore et Lucrèce.

Le troisième acte nous conduira vers un dénouement décevant qui finalement ne me laissera pas un souvenir impérissable.

Je suis globalement déçue par le thème du roman,
C'est la première fois qu'un roman de Werber me déçoit, mais tout arrive finalement.

L'auteur a t il manqué d'inspiration ?

Était-ce une blague?
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Le nouvel ouvrage de Bernard Werber nous entraîne une nouvelle fois dans les pas de deux de ses héros récurrents : Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg. Ils doivent cette fois enquêter sur la mort mystérieuse du grand comique surnommé "le cyclope". Comment a-t-il pu mourir, un soir dans sa loge après une de ses représentation ? Ce meurtre en chambre close semble indiquer qu'il est mort... de rire !!
Et voici nos héros se penchant sur l'histoire de l'humour, l'art de la création de bonnes blagues... L'auteur en profite pour glisser de nombreuses blagues que lui ont proposé les internautes sur son site officiel.
Comme toujours avec Werber, en plus de quelques références toutes scientifiques, on tutoie ici une certaine philosophie de la vie - carpe diem et circulation de l'énergie à l'orientale entre autres. Alors, évidemment, on adhère ou on adhère pas... Mais moi, j'adore !!!
Une fois encore, les fans apprécieront. Quant aux autres... ils devraient également lire cet ouvrage pour décider si ils aiment ou pas ce nouvel opus !
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Comment Bernard Werber a-t-il pu trouver du plaisir à écrire cela ? Ses réflexions philosophiques sont du niveau de la maternelle, ses blagues sont éculées ..... j'arrête à la page 230, ce qui m'arrive une ou deux fois sur 100. J'ai apprécié Bernard Werber mais je trouve qu'il se laisse aller à la facilité, porté par ses succès passés. Dommage de terminer comme cela ....
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Ca faisait longtemps que je n'avais pas autant galéré dans une lecture.
Bon, il faut dire aussi que d'habitude je m'arrête quand j'en ai marre et je passe à autre chose.
Mais ce livre est un cadeau..de plusieurs années..pour moi, impossible de le balancer sans le lire et encore moins de le commencer sans le finir.
Eh bien, croyez-le ou non, j'ai poussé un soupir de soulagement en fermant ce bouquin.
J'ai mis du temps à l'entamer parce que je n'ai pas entendu beaucoup de bien de Werber à part au sujet des "fourmis" dont j'ai apprécié la lecture. le résumé ne me tentait pas non plus.
Bref, c'était mal barré. Mais comme c'est un cadeau, je lui ai laissé sa chance.
Le roman est bien documenté, ses personnages sont marrants..Mais dieu que c'est long. Il aurait pu faire la même chose avec moitié moins de blabla et plus de clarté et de fluidité.
Et puis trop de blagues tuent les blagues. On n'a plus envie de rire, on pense surtout à pleurer.
Bon, je suis difficile, j'avoue que j'apprécie les idées de ses livres mais il faut retravailler le scénario, éviter les longueurs, les scènes répétées, les dialogues similaires..effet de style? raté.
Approchez-vous des fourmis mais fuyez le cyclope.
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C'est l'encyclopédie imaginaire du rire, version polar, avec moultes blagues en interlude.

J'ai bien aimé l'évocation des mythes et épisodes historiques fondateurs, revisités : gags ou blagues de potacheles expliquent (Salomon, les Mayas et la fin du monde…)

Un peu moins les histoires entre les chapitres : elles sont archi-connues

Quant au polar, l'intrigue y est suffisament bien menée pour que l'on s'y accroche

Agréable
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