Le sixième sommeil

J'ai adoré le début de ce livre. Vraiment une excellente amorce et c'était un réel coup de coeur. Je me projetais réellement dans l'histoire!

Un livre vraiment instructif sur le thème du sommeil, où j'ai beaucoup appris.

Malheureusement à partir du milieu du roman, l'histoire a pris un autre tournant laissant place à une autre aventure pour le personnage principal. J'ai eu énormément de mal, je n'ai pas réussi à comprendre et suivre le fil. C'était comme si le roman avait changé d'histoire...

Je n'ai personnellement pas apprécié ce livre, c'est une déception pour ma part...
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Inconditionnelle de Werber, je dois avouer que cette fois-ci, je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire... La couverture était pourtant très belle et très prometteuse comme le sujet d'ailleurs : le sommeil. La lecture a été très très longue, propice justement au sommeil, mais je peux dire que je suis allée jusqu'au bout, espérant toujours un quelconque rebondissement mais ... non...

Il y a des années j'étais tombé dans les Fourmis de Werber.
Le premier tome m'avait enthousiasmé, le second tenu en haleine et le troisième m'avais largement déçu. J'avais trouvé que l'auteur avait bien usé le filon et j'étais passé à autre chose.
Depuis je n'ai plus jamais replongé dans ses livres.

Il y a quelques semaine je suis tombé sur ce nouveau livre de Werber et je me suis laissé tenté. le rêve fait parti de de mes dada ;0)
Après un bon début qui campe bien l'univers du rêve, le bouquin s'enlise. C'est franchement mauvais. Encore une fois je me demande comment un éditeur peu accepter de publié un tel nanard.

Le Sixième rêve s'est transformé en cauchemar pour moi ...

A oublié au plus vite et à poser dans une boite à livre par respect pour l'objet. Après tout il n'est pas responsable de ce que l'on a imprimer sur ses pages...

Je suis admiratif du travail de vulgarisation entrepris par Bernard Werber depuis « Les Fourmis ». S'appuyant sur les dernières recherches scientifiques et sur une large documentation, l'auteur – tel un Jules Verne du vingt-et-unième siècle – défriche régulièrement pour ses lecteurs des territoires inconnus parmi lesquels l'animalité (« Les Fourmis » donc, en trois tomes) ou encore la mort (« Les Thanatonautes »).

Cette fois, Bernard Werber s'attaque au sommeil. le propos est passionnant, on apprend au passage à mieux connaître ce fidèle compagnon de notre vie, et même le désir nous prend de mieux le respecter et de tenter des expériences pour nous rappeler de nos rêves ! Donc objectif atteint de ce côté-là pour l'auteur !
Je le répète, l'entreprise de vulgarisation est immense et mérite, à elle seule, des louanges ! le sommeil et les rêves sont deux sujets qui me passionnent, j'ai donc été heureux de voir exposées à un large public des techniques mal connues comme le rêve lucide ou l'hypnose. Un peu déçu par contre de voir cité Freud mais pas Jung qui se pose là en spécialiste du rêve !

Tout ça est emballé dans une histoire plutôt bien ficelée et originale, avec des personnages sympathiques, psychologiquement intéressants mais pas très épais. Cela dit, la lecture est prenante, au moins jusqu'au trois quart du livre. Bernard Werber a le sens de l'aventure et du merveilleux.
Je regrette quelques maladresses dans la narration, comme si l'auteur était pressé d'en finir pour reprendre ses investigations en vue d'écrire un autre roman !!! Et surtout l'écriture rapide, sans aucune recherche stylistique, avec des dialogues souvent très explicatifs et qui ne sonnent pas toujours justes. C'est vraiment dommage que le fond et la forme soient aussi déséquilibrés. Mon plaisir en a été diminué de beaucoup. Je n'avais pas ressenti ça avec les premiers opus de l'auteur… Peut-être est-ce ma propre exigence qui a évolué en vieillissant et en lisant ! Mais, il est vrai, je le répète, l'intérêt de ce livre ne réside pas dans son écriture mais bien d'en l'exploit de mettre à la portée de chacun une réflexion sur le sommeil, sur les limites humaines qu'il est possible de repousser. de ce côté-là, c'est réussi, on pourra dévorer ce roman en vacances, facilement, tout en ouvrant son champ des possibles.

Voilà bien longtemps que je n'avais pas plongé dans un roman de Bernard Werber.
Le thème m'a intéressé, j'ai appris plein de choses.
Mais j'ai été un peu déçue par l'écriture. A ce niveau je suis assez d'accord avec la critique de Kittiwake.

J'ai lu ce livre comme une fable qui, partant des connaissances actuelles sur le sommeil et ses différentes phases, nous propulse vers un imaginaire de possibles. Après tout, pourquoi pas, vu qu'on a encore beaucoup à apprendre sur notre cerveau. En passant, Bernard Werber, nous montre la forêt déforestée par l'homme, le sommeil si utile et réparateur dépeuplé de ses rêves à coup de molécules chimiques, des animaux qui ont des puces greffées au cerveau. C'est une lecture facile, où l'on note une certaine critique de notre société, ou tout au moins une invite à se questionner.

au début m'a captivé puis peu à peu j'ai retrouvé l'histoire des chats et j'ai décroché

J'ai l'impression d'avoir lu le même livre que les thanatonautes mais en beaucoup moins bien. L'idée est un peu la même (toujours aller plus loin dans l'inconnu, il remplace terra incognita par somnum incognutum ou un truc comme ça). Peut être que c'est parce que j'ai lu les thanatonautes et consorts plus jeune, mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas de "style", c'est un peu trop plat, un peu sans coeur, avec une logique froide, sans peps, aussi trop explicité comme si nous étions des enfants. Les relations entre les personnages me paraissent complètement irréelles (c'est pas parce qu'on est sur de la science fiction que ça ne doit pas être vraisemblable - on n'est pas sur de l'absurde !), les personnages en eux-mêmes manquent "d'humain", du coup peu crédible. Bref, bof. Ca se lit mais j'étais contente de le finir et de passer à autre chose.

Bernard Werber s'attaque à un continent inexploré et encore inconquis: le continent des rêves. En construisant une histoire autour de la découverte d'un sixième stade du sommeil, baptisé Somnus Incognitus, l'auteur nous invite à croire que l'on peut maîtriser son sommeil – voilà qui plaira aux lecteurs français, champions de la consommation de somnifères – et surtout maîtriser ses rêves. C'est avec cette séduisante théorie que l'on se plonge dans l'histoire de Jacques Klein, enfant, puis adulte, à la recherche de sa mère, Caroline Klein, neurophysiologiste travaillant sur un grand projet relatif au sommeil.

Comme d'habitude, Bernard Werber embarque son lecteur, tout en l'éduquant en même temps: de Paris à la Malaisie, un voyage se tisse. Puisque le rêve est indispensable au bon fonctionnement du cerveau, Bernard Werber a décidé de nous faire rêver. Il nous emmène chez les Senoïs, un tribu malaisienne qui ne vit qu'en rêvant, se bat contre le gouvernement corrompu et échappe à la mort. L'histoire est un peu rocambolesque mais le thème est suffisamment passionnant pour que le lecteur n'y fasse pas grand cas.

Bernard Werber a le mérite de nous rappeler que le réel passe toujours par le prisme de notre subjectivité. Dès lors, pourquoi nos rêves, qui sont notre réalité psychique, seraient-ils moins réels que la réalité matérielle ? Ils ne le sont pas pour Jacques Klein, et peut-être plus pour vous après la lecture de ce livre.

Lien : https://desruesetdeslivres.w..

J'ai trouvé toutes les explications sur le sommeil très passionnantes, mais l'histoire en elle-même est fade à côté. Je n'ai pas été entrainée, j'étais même fatiguée par la lenteur des actions. Dommage mais au moins j'ai appris beaucoup de choses sur le sommeil.